Tandis qu'elle médite, Louve se sent devenir légère et euphorique en même temps. Son coeur est bercé par la quiétude des lieux, loin des mondanités vampiriques, qu'elle détestait de plus en plus, mais auxquelles elle devait se conformer.
Cette guérison était pour elle une bénédiction, et la lune accompagnait ce moment, comme une musique apaisante. Louve se mit à fredonner doucement, la chanson que sa mère lui avait appris, qui parlait des femmes de l'Irlande.
Elle lève les yeux au ciel, ses yeux verts miroitants, une larme de sang coule sur sa joue, puis une autre, qui va choir sur sa main qui, doucement se guérit.
- Merci de veiller sur moi.
La Gangrel reste là un moment, ne serait-ce que pour savourer la beauté de la nuit.