Entre l'hotel Wellington et nulle part...

Guillaume avançait rapidement dans le sombre corridor, s'arrêtant parfois quelques secondes pour écouter les échos qui venaient de la salle. Il semblait nerveux mais chacun de ses mouvements trahissait une connaissance appronfondie de chacune des parcelles du long couloir, évitant les objets qui traînaient ici et là sans même regarder devant lui. Lise, Jack et le nosfératu arrivèrent à une intersection. Guillaume tourna vers la droite dans une section encore plus sombre et profonde de son domaine.

-Faites attention, le sol pourrait être glissant par endroits...

Guillaume ouvrit machinalement son cellulaire afin d'y voir un peu plus clair. De longs reflets bleuâtres sur les murs révélaient la présence de quelques fuites d'eau. Il fit une brève pause avant de s'enfoncer dans un escalier descendant, étirant l'oreille pour entendre un son qui ne vint pas. Son rythme était un peu plus lent, il regardait souvent par-dessus son épaule afin de s'assurer que les deux Toreadors suivaient la cadence.

-Vous tenez le coup?

- Je vois que le guide est compétant, alors aucunes inquiétudes !

Lise avançait d'un pas hésitant et prudent, plus intriguée qu'incommodée par l'état de l'endroit. Elle avait une mine renfrognée, absorbée par ses pensées qui se bousculaient frénétiquement les unes les autres.

Elle ne répondit pas à l'interrogation de Guillaume tout de suite, tant elle était absorbée par ces inquiétudes et ces outrages auxquels elle fut confrontée.

Lorsque Jack répondit à Guillaume, l'écho glauque et caverneux des voix la sortit de sa tête, abruptement.
Elle parla tout bas, afin de se faire des plus discrètes.

- Je suis encore là, Monsieur Guillaume, mais je vais vous admettre en toute humilité que je ne sais pas si je tiendrai le coup. La situation est on ne peut plus...

Elle s'arrêta de parler, réalisant qu'en fait, ce n'était pas la question.

- Oh! non... pardonnez-moi... ce n'était qu'au sujet du trajet, n'est-ce pas?... Je suis désolée.

Elle se tourna dans la direction de Jack, et elle enchaîna tout aussi doucement, le plus naturellement que cela lui était possible:

- En matière de compétence, nul doute que Monsieur Guillaume en soit doté. Qu'en est-il de ces services que vous m'offrez si allègrement, Monsieur Jack? Non pas que je m'en plaigne, mais certains éléments tirés de mon expérience personnelle me poussent bien malgré moi vers plusieurs inquétudes variées... D'autant plus que, puisque tout le monde s'évertue à m'enseigner que " les gens ne sont pas gentils ", je me permet de m'imaginer qu'il puisse y avoir la possibilité qu'un profit quelconque ait motivé cet altruisme. Ne m'en veuillez pas. Si je me trompe, je vous prie d'accepter d'ores et déjà mes plus sincères excuses, si je ne me trompe pas, la sincérité de ces mêmes excuses sera équivalente à la vôtre car... vous ne me le diriez pas de toutes façons, je crois, non?

- Ne vous inquiétez pas je tien parole au risque de ma personne car je considère Michel comme mon frère du point de vue de nos âmes aiguisées sont sur la même longueur d'onde.

- Je risque fort peux, malgré tout, de m'excuser... mais je suis prêt a réparer mes erreurs commise par contre ! Et vous ?

Lise continuait de suivre Guillaume avec précautions, s'assurant de demeurer entre le nosfratu et ce nouveau garde-du-corps par interim. Jack exposait ses arguments quand un détail la surprit. Elle s'arrêta un bref instant, le temps de se retourner vers Jack, de hausser ce sourcil qui lui donnait l'air de dire : "kézako!", et de demander, toujours à voix basse:

- Dites-moi, Monsieur Jack, de quelles erreurs parlons-nous ici, au juste ?

Attendant la réponse, elle reprit aussitôt la marche derrière Guillaume.

Plus en avant dans le couloir, une très faible lueur pouvait être perçue. Guillaume ferma son cellulaire plongeant soudainement le tunnel dans une obscurité presque totale. Sa cadence ralentissait. Était-ce pour permettre aux Toréadors de suivre le rythme ou pour mieux les écouter...Difficile à dire!

- Je n est pas le besoin d exposer une erreur pour la circonstance présente, je souhaite plutôt que notre randonner ce termine le plus tôt possible et regagner la sécurité de mon bar.

- Vous y êtes la bienvenue, si jamais quelques choses tournes mal, veuillez vous présenter a cette adresse. C'est dans un bloc appartement qui est dans mes acquisitions et qui devrait être libre d'occupant pour vous réfugiez.

lui donnant une carte d affaire, il inscrit l adresse au dos.
- Je souhaite ne pas en avoir besoin ...

Lise continuait d'avancer, sans remarquer le ralentissement de Guillaume et parlait toujours à voix basse.

- Je crains, Monsieur Jack d'avoir beaucoup de difficultés à comprendre ce que vous faites et ce que vous dites... comment puis-je saisir le message que vous essayez de transmettre?

- Vous me parlez d'estime, d'un refus de vous excuser pour une erreur dont j'ignore la nature et que vous n'auriez pas à exposer malgré le fait que ce soit vous qui abordiez le sujet. Y a t'il quelque chose dont je devrais être renseignée ?

- Suis-je à ce point une corvée à vos yeux pour vouloir ainsi terminer cette collaboration au plus tôt? Je doute qu'une simple adresse grffonée sur une carte d'affaire dans l'obscurité soit suffisante pour considérer que vous assurez ma protection au nom de Monsieur Michel. Bien que j'apprécie du fond du coeur le geste, soyez en assuré, je crois que vos intentions ainsi que les clauses de cette entente entre vous et Monsieur Michel me concernant se doivent d'être mieux définies et je désire en être informée.

Elle s'arrêta net et se retourna pour faire face à Jack. Elle attendit qu'il avance jusqu'à ce que son visage se dessine dans son champ de vision obscur. Leur visage se touchaient presque quand son regard se plongea dans celui de cet homme aux intérêts ambigüs et reflétaient la plus pure détermination d'une femme qui venait de vivre l'innommable.

- Je refuse qu'on joue encore ma survie à la roulette russe.

Elle resta un moment silencieuse, les yeux plongés dans ceux de Jack, pour s'assurer qu'il comprenait bien qu'elle en avait déjà trop subi et que, dans les circonstances, la confiance était primordiale... puis elle reprit sa marche vers Guillaume...

- J ai mes raisons. Mais si vous me faite pas confiance alors c'est que vous ne faite pas confiance en Michel, fiez vous a son jugement plutôt qu'a vos inquiétude ! Je suis prêt a me sacrifier pour respecter ma parole, même si plusieurs crois qu'elle est du vent. Combien m'avez vous entendu donner ma parole d 'honneur? Elle est d'or.

- L'adresse que je vous est donner est seulement une précaution et non dans le bus de me débarrasser de la protection que je vous offre en ma demeure. J ai parler d erreur oui serte mais pas que je n'avais commise une... Vous ne devriez pas vous croire toujours viser par les mots prononcés, peut être je fais allusion a d'autre.

puis sont regard devin fixe, a quelque centimètre l'un de l'autre. il sembla hypnotiser par les yeux de lise

Lise avait fait quelques pas, laissant Jack pantois pour ce bref instant, puis se retourna à nouveau, retournant auprès de lui pour lui parler face à face, tout près, tout bas...

- S'il y a une cohérence dans tout votre discours, Monsieur Jack, je ne peux qu'en conclure qu'il y a un code à déchiffrer entre nous, car j'ai la constante impression d'une ambivalence déconcertante entre ce que vous dites et ce que j'entend. J'ai pourtant vraiment cru que vous me demandiez si j'étais prête à réparer des erreurs qui auraient été commises. Vous comprendrez alors mon trouble, j'en suis sûre, de recevoir un refus de précision au sujet de ces erreurs évoquées. Aussi, je n'ai pas tout à fait compris pourquoi vous semblez croire que je pourrais attendre quelconques excuses de votre part...

Elle le fixa le temps d'une légère pause, puis elle reprit:

- Oh, Monsieur Jack! Si vous saviez comme je n'ai que ce seul désir de pouvoir m'accrocher à cet espoir qu'il puisse y avoir quelqu'un en qui je puisse avoir confiance...

Elle déposa délicatement la main sur la joue de Jack, à la base de la mâchoire.

- ...mais tant de confusion m'assaille et me paralyse. J'ai besoin que cette entente soit mieux définie pour me permettre d'envisager le portrait de la situation que je suis en train d'exprimenter dès à présent.

- Je ne suis pas prophète ou devin, mais pour l'heure je vous pris de me faire confiance si nous tardons trop ici nous allons perdre de vus Monsieur Guillaume !

Il la pris par la main et avança a grand pas pour rattraper guillaume qui avais plus de 10 m d avance puisque il avais que trop parler .

À quelques enjambées de là, Guillaume attendait appuyé contre l'une des parois du couloir qui semblait sèche. Dès qu'il vit Lise et Jack arriver, il se remit en marche.

-À partir de maintenant, restez silencieux.

Le trio arriva au bout du tunnel. Une échelle en métal rouillée montait jusqu'à une grille de métal, obstruée en partie par un gros objet. Les quelques brèches laissaient passer une lumière bleuâtre. Guillaume s'approcha des Toreadors et leur dit en chuchotant.

-Au-dessus de nos têtes c'est l'ancien poste de contrôle du stationnment à étages. C'est un espace exigu et il arrive parfois qu'un itinérant utilise cet espace comme refuge. Je vais monter en premier pour vérifier...

[i]Guillaume mit son portable en bandouillère et commença l'ascension vers la lumière.

Lise s'était laissée prendre la main et entraînée par Jack vers Guillaume. Elle ne dit plus un mot, n'exprima plus aucun son, dès que Guillaume en fit la requête. Elle regarda au-dessus de leur tête, inquiète, puis elle suivit Guillaume du regard alors qu'il escalada vers la grille l'échelle rouillée.

Elle n'avait pas laché la main de Jack non plus. Elle la considérait, sans même y penser, comme un soutien l'empêchant de sombrer dans un abîme inconnu.

Elle attendit que Guillaume fasse signe que tout était sécurisé avant de lâcher la main de Jack. Elle aggripa les barreaux de l'échelle couverts par la corrosion et entama son assension. Elle se remercia intérieurement d'avoir choisi de porter ces chaussures à semelles de caoutchouc ce soir.

Cependant, elle ne pu retenir un petit gémissement de douleur, malgré tous ses efforts de demeurer silencieuse. Grimper dans cette échelle ravivait une souffrance difficile à soutenir. Elle fit une pause au troisième barreau, afin de se maîtriser, puis en monta deux autres avant d'échapper un nouveau gémissement de douleur qu'elle réprima aussitôt, faisant une nouvelle pause.

Elle parvint au bout de ce défi, le visage défait par la sensation pénible qu'elle ressentait. Son poing se serrait sur son coeur, et elle trébucha dans les bras de Guillaume qui les attendait.

Lise se redressa tentant de reprendre une posture plus digne et moins affaiblie. Elle fixa Guillaume avant que Jack ne sorte. Son regard était intense et désorienté. Elle étudia Guillaume avant de murmurer:

- Je dois faire un tel choix? Là, maintenant? J'ai si peur, j'ai si mal et j'ai si soif! Comment pouvez-vous croire que je sois disposée à déterminer ce qui soit la meilleure des décisions dans pareilles circonstances? Saurez-vous me ramener auprès de Monsieur Michel avant le lever du jour? Ou même demain? Il y a tant de choses à éclaircir! Ce brouillard m'assassine. Ne me laissez pas ainsi perdue, Monsieur Guillaume, je vous en prie.

La sincérité de son désarrois ne laissait aucun doute. Elle ne voulait pas quitter la compagnie rassurante de Guillaume, mais ne voulait pas non plus s'enlever des chances en offensant Jack qui pretendait vouloir bien faire et surtout "savoir" quoi faire. Le temps de préciser ces intentions lui suffirait à se faire une opinion, mais d'ici là, elle ne pouvait que se résigner à suivre le courant jusqu'à un répit pour obtenir des réponses et réfléchir.

- Vous souffrez Dame Lise, y a t il quelque chose qui ne va pas ?!

jack avais que quelque seconde après la sortie du trou pour comprendre bien des choses sur Lise.

Lise, qui avait reprit un port plus soutenu, porta ses yeux vers la ville et regarda défiler une série d'images mentales, de souvenirs imprécis qui se succèdent. Elle répondit, inquiète de son propre état:

- J'ai pour ainsi dire subi quelques... blessures...

Puis elle reprit:

- Comme il serait bon de me nourrir!

Sur un ton qui réflétait l'extase que cela lui procurerait. Puis, poursuivant la rêverie:

- Et j'aimerais tant m'asseoir et discuter de tout ceci...

Elle tourna la tête gentilment du côté de Jack:

- ... afin de comprendre ce que je n'ose comprendre...

Puis du côté de Guillaume:

- ... ainsi je pourrais réagir adéquatement!

Son regard passait de Jack à Guillaume les yeux remplis de questions, déroutée par l'ampleur de la situation face à laquelle elle se trouvait.

Au bout du stationnement apparurent deux molosses sombres. Ils s'approchaient assez rapidement du groupe de vampires, mais arrêtèrent leur course à quelques mètres de celui-ci. Guillaume fit un signe de tête en leur direction tout en émettant quelques sons gutturaux. Les deux chiens s'asseyèrent tout en continuant de regarder Guillaume.

-Bon, Monsieur jack avez-vous un endroit sur ou vous pourriez attendre mon retour? Je n'ai pas l'intention de vous laisser mais je dois régler quelques affaires avant de vous rejoindre.

Guillaume sortit son cellulaire, l'ouvrit et commença à taper un message texte. il continua de parler sans trop regarder ce qu'il écrivait.

-Vous devriez éviter votre demeure ou votre bar par mesures de sécurité. Si vous ne possédez pas de refuge adéquat, allez à l'hotel Delta. Madame Marchand pourra prendre une chambre pour vous deux. J'imagine que l'argent n'est pas un problème pour vous. Je tenterai de vous y rejoindre d'ici une heure avec des développements... Entre temps, trouvez-lui quelque chose à boire...

Guillaume regarda Lise un sourire de compassion dans les yeux.

-Allez avec Monsieur Jack, si tout se déroule comme je le conçois vous allez revoir Michel avant le lever du jour.

Guillaume approcha sa main du visage de Lise. Puis à quelques centimètres du visage il arrêta son mouvement et replia ses doigts...Il se retourna pour faire face aux chiens, puis tournant sa tête vers Lise pour qu'elle ne le voit que de profil il lui dit:

-J'espère revoir votre sourire...

Puis il se détacha du groupe pour aller rejoindre les molosses qui se lèvèrent lorsque Guillaume fut près d'eux. Il se dirigea vers l'un des escaliers et entreprit la montée.

L'espoir qui animait à nouveau Lise illumina son visage à l'idée de revoir Michel très bientôt. Les yeux clos, elle laissa Guillaume approcher sa main, anticipant le contact... qui ne vint pas. Elle ouvrit les yeux en entendant le souhait qu'il formula et le regarda s'éloigner dans la nuit.

Elle se tourna ensuite vers Jack dans l'attente d'un geste de sa part, incertaine et intimidée. Mais, elle avait toujours cette même franchise qui teintait son regard profond et perçant et qui transperçait Jack sans scrupule.

- Si guillaume crois que mon bar est surveiller, nous irons de ce pas vers le bloc pas très loin d ici sur la rue Alexandre. Nous pourrons être discret a cette endroit, mais avant je vois sent pâle, je dois faire un appel.

jack pris son portable et composant un numéros une courte discussion d une rencontre dans un petit bar sur la rue Alexandre est mentionner et de faire quelque détour et déguisement pour ne pas être reconnue.

- Je remarque que vous avez un certain goût pour les chevaliers servants, mais avant de vous offrir mon sang, je vous propose mon calice ! Nous la rejoindrons sous peux.

Lise observa Jack prendre les dispositions qui s'imposaient avec reconnaissance. Elle lui sourit gentilment lors de sa dernière remarque haussant les sourcils, étonnée.

- Oh! Ce n'est pas que j'aie développé un certain goût pour la chevalerie, mais je doute que vous puissiez trouver quiconque qui ne sache apprécier pareille considération à son égard. J'aimerais qu'il soit entendu que jamais je n'ai souhaité nécéssiter de telles interventions, d'ailleurs. De prétendre que je puisse affectionner pareille situation est bien mal me connaître. Aussi, sachez que je ne désire d'aucune manière du sang qui coule dans vos veines, sans offenses, Monsieur Jack. Je suis certaine que vous savez que les conséquences d'un tel acte sont fort peu souhaitables, d'ailleurs, n'est-ce pas? Mille mercis de m'offrir de m'abreuver sur votre calice. Bien que je doute qu'elle puisse suffir, à elle seule, à mon besoin actuel, je saurai me retenir afin de préserver sa santé. Je trouverai bien un autre moyen qui comblera le reste, sans conteste. Vraiment, je vous remercie de votre générosité.

Elle lui lança un dernier regard sincère, puis s'engagea lentement sur la voie qui les mènerait vers la rue Alexandre.

Arrivant au bloc de black jack, il semble subitement las, et d un regard plein de question

-Dite moi Lise, avez vous quelques talent en crochetage ? Je crois fort bien que j'ai oublier la clef a mon bar, il est évident que je n'avais pas prévu cette escapade ici ce soir...?

- Ou peut être devrions nous allez au petit pub attendre ma tendre amie ?

Lise eut l'air surprise. Elle regarda la serrure et plissa le regard, évaluant si elle saurait s'y prendre pour la crocheter. Elle s'approcha du trou, analysa comment pouvait être fait ce mécanisme, dans une réflexion concentrée.

Elle se redressa et se recula. Elle observa l'immeuble, évaluant les ouvertures possibles, les fenêtres.

Elle réfléchit un instant puis, se tourna vers Jack, l'air désolée.

- Mais, pourquoi attendre avant de visiter ce pub, au juste, mmmh? Je doute qu'il y ait là-dedans quelconque rafraichissement digne de ce nom, n'est-ce pas? Alors ne tardons plus...

Elle fait quelques pas et prend le bras de Jack pour l'entraîner avec elle. Elle s'appuie légèrement sur lui, pour s'aider à marcher, et tout en marchant dans le direction du ce pub, elle commence à converser sur le même ton que des banalités d'usage.

- Je ne possède pas, Monsieur Jack, de capacités semblables... bien que j'accepterais volontiers d'apprendre, je n'ai jusqu'ici jamais eu à user d'un tel talent. Et, à quoi servirait une clé s'il était si facile de crocheter?

- Vous savez, cela est comme les trucs d'un magicien.

Emboitant la parole au mouvement

- Les tour de carte sont jolie pour le public ais aussi discret dans une partie de carte !

Jack avait 2 as qui ce transformais en valet et qui ce transformais a nouveau en 21

- Un des plus grands talents de la famille est ça grande dextérité et un sens pointu de l art.

- Je ne voulais pas arriver trop tôt au pub pour ne pas a avoir a consommer, ces humains sont très a l 'argent !

Lise sembla oublier petit à petit la tension et les tourments de l'heure à mesure que Jack lui montrait son petit tour de cartes. Ce petit truc l'amusait beaucoup... elle sourit en essayant de comprendre comment ca fonctionne.

- Étonnant! s'exclama-t-elle.

- Mais qu'entendez-vous par trop tôt? Je pourrai prendre une entrée, peut-être... Il ne faut pas être aussi radin! J'adore humer ces cognacs et ces portos. J'estime que ce simple plaisir vaut bien la dépense...