Dans le bulletin régional de la SRC du 16 septembre: Lancement du livre: Blanche est la nuit, de Liz Orphan.
La ville de Sherbrooke a connu un événement qui ne se présente pas souvent dans la vie culturelle d'une communauté comme Sherbrooke. Hier se déroulait le lancement du dernier livre de madame Liz Orphan, ce livre s'intitule, Blanche est la nuit. C'est un livre très bien pour les gens qui aiment les histoires à l'eau de rose, avec une certaine dose d'action. Se type de livre est en mon sens destiné à la gente féminin. Il n'a pas assez d'action pour attirer un lectorat masculin. C'est un Livre d'une grande qualité pour ce type d'ouvrage. Personne ne peut dire le contraire, pour ce qui est de ce roman, il n'est pas dans la branche romantique habituelle de l'auteur, mais bien dans celle ou elle incorpore de l'action pour favoriser un public plus large. On peut citer d'autre livre de cette auteure dans cette lignée, comme Mourir Demain et Consentement Clandestin. Je crois que les gens qui ont apprécié ces livres vont adorer Blanche est la nuit.
Pour ce qui est du lancement qui c'est fait dans l'ancienne Église Sainte-Thérèse-d'Avila, la nef aujourd'hui. C'est un endroit très branché pour l'art dans la ville de Sherbrooke. Je crois que c'était une idée géniale de faire cet événement dans cette endroit. Pour ce qui est de madame Liz Orphan, j'ai trouvé quelle semblait fatiguée et un peu exténuée. La cause de cette fatigue devait être son lancement. J'ai parlé avec des journalistes d'ailleurs au Québec qui avait déjà vu un lancement de madame Orphan, ils m'ont dit que d'habitude, elle est plus passionné.
Je dois aussi souligner la présence de mademoiselle Amandine Audet, une jeune femme d'origine française qui est venue faire ses études dans la ville de Sherbrooke. Elle est bien connue dans le milieu de la culture de cette cité et plusieurs personnes espèrent qu'elle restera après ses études. Depuis qu'elle est là, le milieu artistique prend plus d'ampleur. Un souffle nouveau dans le domaine des arts sur cette ville ainsi que madame Orphan, Sherbrooke laisse enfin place à l'art.