Le couronnement du Prince de Sherbrooke

Alan prit la parole sur un ton interrogateur en voyant Arianne arriver.

-Madame D'Archer, je suis vraiment attrister de voir l'état lamentable de votre clan dans cette ville. Je n'aimerais pas avoir des gens comme eux dans ma ville. Ils ne savent pas vivre et n'ont rien de courtois. Un prend la défense d'une femme sans son consentement, c'est vraiment exécrable. Il ne m'a près que pas adressé la parole, juste quand ça avait de l'intérêt pour lui, ce qui ne semble pas arriver souvent. Pour ce qui est de la femme dans votre clan, elle semble plus imbuse d'elle-même que tous les gens dans cette pièce. Je prends la peine de m'intéressé à elle et de l'invité dans ma ville, je suis courtois et amical et elle semble s'ennuyer en ma présence. Un moment donné, elle décide qu'elle est vraiment tânnée de m'avoir à ses côtés, elle me demande de lui présenté des gens. Je lui présente les gens ici présent autour de moi. Elle semble retrouver un intérêt pour ce qui l'entour, mais lors qu'elle est tânner de nouveau, elle part en ignorant Annabelle. Je crois que madame Desbiens aurait du apprendre le savoir vivre au gens de votre famille dans cette ville avant de s'en prendre à ce jeune homme qui n'avait près que rien fait. Quand penses-tu Victor?



Victor prit enfin la parole après qu'Alan est fini de parler. Il prit la parole sur un ton courtois.

-Merci Alan de me donner enfin la parole, même si la première question ne t'étais pas destinée. Je suis bien d'accord avec toi, mais je vais répondre à Arianne avant de te répondre, j'espère que ça ne te dérange pas.

Alan prit la parole sur un ton courtois.

-Madame D'Archer, je m'excuse pour ce manque de courtoisie envers vous, je me suis laisser emporté par ma passion. Victor la parole est à toi.

Les deux femmes avaient un sourire sur les lèvres en entendant les deux hommes parler.

Victor prit la parole de nouveau sur le même ton courtois.

-Arianne, je suis content de venir dans cette ville pour un événement en ton honneur. Je suis certain que tous va bien se passer et que ton règne sera très long. Pour ce qui est de l'événement triste et l'événement heureux, certaines personnes à New-York t'en veulent encore, même si je sais que ce n'est pas de ta faute. J'essaie de tout faire en mon pouvoir pour le faire comprendre aux gens consernés. Pour ce qui est de madame Migneault, les dernières nouvelles que j'ai d'elle, date d'un certain temps et elle était en Europe pour des affaires à elle. Je ne sais rien de plus sur elle, je suis vraiment désolé.

Victor fit une pause avant de regarder Alan et de répondre à sa question sur un ton courtois.

-Alan, la jeune femme qui est venu tantôt doit être très jeune, elle ne doit près que rien connaître sur nous et nos rangs et responsabilité dans nos villes respectives. À part la ville de Sherbrooke, elle semble être totallement ignorante des activité de notre famille dans la camarilla et dans le monde. Soit indulgent avec elle, même si il lui manque le savoir vivre et la délicatesse de saluer tous les gens qui ont prit la peine de parler avec elle.

Victor attendit la suite des événements.



Annabelle prit la parole sur un ton courtois tout en regardant Arianne.

-Madame D'Archer, je suis désolé que mes deux homologues ici n'est pas pris la peine de me présenté et présenter ma primogène. Voici madame Claire Stewart primogène du clan toréador de Chicago et moi-même, Annabelle Treabelle de la même ville et aussi Toréador. Je suis vraiment contente de vous rencontrer, Victor nous a parlé énormément de vous en bien. Vous commencez aussi a avoir un bonne réputation dans la famille Toréador. Claire et moi ne voulions pas râter votre coronnement, il est rare que des jeunes vampires de notre clan monte si vite en responsabilité. Je suis vraiment contente de voir que vous ressemblé à l'image que je m'étais fait de vous. Je vais prendre soin de me rappeler de vous. Pour ce qui est de votre jeune amie, madame Marchand, elle semble à peine se soucient de votre passé et des réussites qui vous on fait arriver à votre nouveau poste. Il est vrai qu'elle est égocentrique et semble n'avoir d'intérêt que pour les choses qui l'entour et la conserne. Je ne lui tiendrai pas rigueur, car je sais qu'elle est totallement ignare de ce qu'est le clan toréador et ce qu'il fait pour le bien être de tous dans la camarilla. J'espère qu'elle s'ouvrira un jour à autre chose qu'à elle.

Annabelle fit un pause en regarda Arianne.



Claire prit la parole sur un ton amical.

-Je suis enchanté de faire votre connaissance madame D'Archer, il est vrai que Victor nous a parlé énorméement de vous en bien. Je suis contente d'être ici avec Annabelle pour vous voir prendre les rêne de la destinées de la Camarilla de Sherbrooke. Je vous souhaite un règne remplis de succès et de réussit, et que vous vous accomplisiez dans cette tâche. Pour ce qui est de madame Marchand, je l'ai trouvé courtois et correcte. Je crois que vous vous en faites pour rien mes chères amis.

Claire attendit la suite de la conversation.

*Arianne sourit à tous, elle répondit à Alan en premier.*

- Je suis désolée pour vous mon cher que le clan Toréador de Sherbrooke déplaise autant à Washington. En fait, ce que vous me dites m'étonne beaucoup. Lise a habituellement tendance à plaire et à être très agréable avec ceux qui ont le bonheur de croiser son chemin. Si ce que vous dites est bien vrai, je suis convaincue que les circonstances ont grandement à jouer sur son comportement si déplacé, si vraiment il l'a été. Je vous prie de reconsidérer votre jugement sur la situation, car je suis convaincue que tous ceci n'est que malentendu.

*Arianne répondit à Victor.*

- En effet, comme vous l'avez mentionné, Lise est jeune et n'est dans la région que depuis peu, comme nous tous. Cependant, elle a de grandes qualités qui la serviront bien. Elle sait où est sa place et n'a aucune curiosité mal placée. Elle ne perd pas son temps avec des choses qui ne la regarde pas, ce qui lui évitera de toute évidence beaucoup d'ennuis.

*Arianne se retourna ensuite vers Annabelle.*

- Je dois vous avouer madame que je n'ai pas habitude d'étaler ni mon passé ni ma vie privée au grand jour. Bien que la réputation peut apporter beaucoup à une personne, je préfère que l'on me considère pour ce que l'on peut constater sur moi au moment où l'on me cotoie que par des racontars ou des éloges que l'on ait pu dire à mon propos. Donc, je crains que vous ne trouviez ici que peu de personnes qui puissent vraiment vous renseignez sur ce que j'ai bien pu accomplir. Peut-être est-ce à vos yeuz un excès de pudeur, mais je préfère la discrétion et me confier qu'aux personnes que je crois digne de recevoir mes confidences. Alors, je vous demanderais de ne pas juger trop rapidement comme un manque d'intérêt ce qui n'est que respecter la réserve d'autrui.

*Arianne se retourna vers Claire.*

- Je suis heureuse de vous rencontrer madame. J'espère que vous vous plaisez ici.

Evra écouta les paroles de Lise avec un demi sourire aux lèvres, un sincère sourire et ce, dès le premier chuchottement dans son oreille. Elle hocha la tête silencieusement avec les yeux brillants...Il y avait en fait quelque chose d'étrange dans sa réaction car elle semblait totalement sincère...Elle semblait presque trouvé cela drôle...Visiblement, elle avait quelque chose en tête...Elle garda la même attitude au fil des paroles de Lise, même suite à la mention de William. Calmement et patiemment, elle répondit par la suite aux questions de la torreador avec un ton sympatique et doux.

- Je vous remercie de votre sollicitude très chère. N'ayez crainte, malgré le mystère qui entoure les malheurs de ma famille dernièrement, je ne m'inquiète pas que tout entrera dans l'ordre. Vos paroles sont très sages et elles sont appréciées malgré que c'est effectivement quelque chose que j'ai appris à la dure à Washington...Certes, dernièrement je les met plus ou moins en pratique, mais parfois, il y a des situations qui nous dépassent...Il suffit de s'y adapter, mais toutes adaptations nécessitent une période de chamboulements...Mais j'ai des enfants dévoués qui sont là pour m'aider à surmonter ces moments difficiles. Voilà une chance qui n'est pas donné à tous. J'ai confiance que tout entrera dans l'ordre, soyez en assurée.

Elle prit une pause en cherchant Jared du regard...Voyant son absence, elle fronça les sourcils avant de retourner son attention sur Lise.

- Pour ce qui est de William...Ce n'est rien de grave...Enfin, ce ne devrait pas. Certes, j'aimerais l'avoir à mes côtés en ce moment, mais il a des obligations ailleurs semble-t-il. C'est moi plutôt qui devrait m'excuser pour ma réaction excessive de l'autre jour face à votre question qui cachait de bonnes intentions. C'est simplement la première fois qu'il quitte aussi longtemps sans nous donner de nouvelles, cela a certes inquiété mon coeur de mère...

Evra eut un doux sourire aux lèvres très affectueux à la pensée de son fils.

- Pour ce qui est de Monsieur Clerson, c'est un homme digne de Washington...On ne peut vraiment comprendre ou connaître la réalité de la vie vampirique dans cette ville sans y avoir mis les pieds. Washington est la capital américaine et la vie nocturne porte cette saveur politique et très très upée. Et les hommes, de grands charmeurs qui aiment la beauté de la femme il n'en fait aucun doute. Monsieur Clerson est un homme efficace est très cultivé. Il est certain qu'on ne peut qu'apprendre en le côtoyant...Mais comme tous les hommes de Washington, il a son jardin secret et ses mystères. Le conservatisme est ce qui caractérise le mieux les Élites de Washington. Pour ce qui est de sa manière de faire la cour...

Evra posa son regard sur Alan avec un large sourire aux lèvres.

- ... Il est un homme plutôt direct en la matière. Et il n'a pas l'habitude de se faire repoussé...ni remettre à sa place. Vue votre beauté assez particulière, il n'est pas surprenant qu'il est placé quelques insinuations à ses propos. Ne le prenez pas mal, il est seulement un homme qui est peu avare de compliments et d'admiration envers les magnifiques femmes.

Josée termina sa discution avant de parler avec Guillaume. Elle le regarda quelques instants avant de lui adressé la parole. Elle parla sur un ton courtois.

-Bonsoir Guillaume, je crois que vous êtes la personne qu'on doit remercie pour le calme qui règne ce soir. Je crois que vous faites trop bien votre travail. Pour ce qui est de me rencontre, je crois que ça pourrais être possible, à la fin de cette soirée que je puisse prendre un peu de temps pour vous parler. Je suis certaine que notre discution pourrais être très intéressante. On se reparle plus tard Guillaume.

Josée attendit la réponse de Guillaume.

Suzie regarda sa montre et décida que la rencontre était assez avancé pour que la soirée prenne enfin son envole. Elle alla chercher Arianne. Elle prit la parole sur un ton courtois.

-Monsieur Clerson, Monsieur Duffield, madame Stewart et madame Treabelle, je m'excuse de vous enlever madame D'Archer. Il est temps de commencer la soirée.

Suzie tira délicatement Arianne par le bras d'un côté de la pièce qui faisait face à tous les invités. Le jeune homme blond suivit Arianne dans ces déplacements. Elle prit la parole sur un ton cérémomieux.

-Je remercie tous les gens ici ce soir qui ont répondu à mon invitation et à celle d'Annie. Certaines personnes ne connaissaient près que rien de madame D'Archer avant cette soirée. Je vous remercie tous de vous être déplacés. Je suis certaine qu'elle est contente que vous soyez tous venus ici ce soir pour un événement qui changera sa vie, celui de devenir responsable d'une Camarilla. Il n'a pas de petit ou grande Camarilla, dans le monde dans lequel ont vie, il est difficile de concevoir la vie sans la protection et la facilité que nous procure la Camarilla. Il y a des gens derrière chaque Camarilla, chaque poste est important. Le poste de Prince est la cohésion entre tous les postulaires d'une ville, pour faire le succès de cette entreprise. Je suis certaine que plusieurs personnes ici, sont conscientes de ce que je dis, mais il est important de voir à quelle point ce n'est pas toujours facile de faire tout entre pouvoir pour protéger et aider les gens qui nous tienne à coeurs, les membres de notre camarilla. J'aimerais donner la parole à Isabelle, la personne qui dirigeait cette ville au nom de la ville de Québec, Isabelle si tu veux bien prendre la parole.



Isabelle s'avança près de d'Arianne. Elle la regarda un instant, avant de prendre la parole sur un ton neutre.

-Chère Arianne, je suis ici en tant qu'amie et fille de mon père Michel Dutoit. Il te dit bonjour et te souhaite beaucoup de succès dans cette entreprise. Nous sommes ici ce soir rassemblé à un endroit qui changea le cours de l'histoire de cette camarilla à plusieurs reprises. En 1976, je n'étais pas au Québec dans ces années-là, mais mon père dirigeait cette ville. Il espérait former des gens pour prendre la direction de cette ville après lui. En automne 76, le gens voulaient prendre leurs destinés en mains et nommèrent Arianne pour accomplir cette tâche. Les menaces étaient trop grande pour une ville ou les vampires se dispersaient pour rester en vie. Arianne a dû faire une croix sur son rêve à cette époque. Francesco qui est ici ce soir voulu faire revivre ce rêve 32 ans plus tard. Il savait que cette partie du Québec avait du potentielle et pouvait prospérer avec nos frères et nos soeurs. Il invita des gens à venir ce joindre à son rêve. La plupart des gens de la ville de Sherbrooke qui se trouvent dans cette pièce sont les gens qui ont permis à ce rêve de se produire. Près de 7 mois après le commencement de ce rêve, la ville de Sherbrooke va pouvoir vivre de ces propres choix. Elle devient enfin une camarilla à part entière. Cette camarilla sera dirigé par une femme qui à le potentielle et la volonté de faire de cette camarilla un succès. Mon Père, il y a 32 ans avait vu le potentiel d'Arianne, j'ai aussi vu le potentiel d'Arianne aujourd'hui. Je suis certaine que Francesco a fait le bon choix en donnant cette ville à Arianne. Le manoir Hovey servit de tremplin à Arianne en 76. Il y a 7 mois, il permit à Francesco de commencer son rêve, et aujourd'hui il sert à nouveau de tremplin pour Arianne, je suis sur que cette fois-ci, tous se passera pour le mieux. Bonne chance Arianne.

Isabelle donna la bise à Arianne sur la joue avant de lui murmurer quelque chose à l'oreille. Elle alla part la suite près de Francesco.

Suzie prit la parole de nouveau, sur le même ton.

-Merci énormément à Isabelle pour ce discours, j'aimerais maintenant donner la parole au Prince de la ville de Québec, monsieur De La Verra.



Francesco arriva aussi près d'Arianne. Il prit la parole sur un ton courtois.

-Arianne, nous sommes tous ici ce soir pour célébrer avec toi ta nouvelle nomination. Il me fait plaisir de te donner les pouvoir de la ville de Sherbrooke, ainsi que de la camarilla de cette ville. Je sais que cette tâche peut sembler difficile par moment, il faut s'entourer de gens qui vont nous soutenir dans notre tâche et pouvoir nous conseiller en temps de besoin. Connaissant tes capacités à affronté l'adversité, tu sauras diriger cette ville avec la sagesse et le doigté de bien des anciens de ce monde. Je connais déjà ta réponse à la question que je vais te poser, mais j'aimerais que tu puisses la dire à tous les gens dans cette salle, pour que tous sache que c'est ton souhait.

-Arianne acceptes-tu les pouvoirs et les responsabilités de diriger la Camarilla de Sherbrooke?

Francesco attendit la réponse d'Arianne.

*Arianne parcoura la pièce du regard. Elle semblait heureuse, bien que manquant un peu d'entrain. Elle répondit à M. De La Verra.*

- Accepte avec honneur les responsabilités que vous m'offrez. Je renonce par le fait même à ma vie en France pour consacrer mes énergies à faire de Sherbrooke un endroit digne des nôtres.

Lise écoutait Evra sincèrement attendrie. Elle la regardait, mais sans plus la voir. Elle semblait voir plutôt au delà, des pensées reliées à ce qu'elle entendait. Son air réjoui s'estompait graduellement, laissant place à une douce mélancolie d'un souvenir précis, douloureux, qu'elle regardait défiler dans son esprit, impuissante. Sa rêverie s'interrompit brusquement lorsqu'Evra aborda à nouveau le sujet de Clerson. Elle lançait des regards furtifs vers lui à mesure qu'Evra en parlait.

- Je n'ai rien contre ce qui est direct, bien au contraire... Je suis d'avis que tout peut être dit si l'on s'assure que ce soit bien dit. Encore faut-il savoir bien le dire pour se targuer de l'oser. Et j'ai pour habitude d'apprécier les compliments même si souvent j'en suis légèrement intimidée. Les flatteries ont un effet particulièrement positif sur moi.

Elle haussa les épaules dans un petit rire délicat, mais sonore, puis continua la discussion un peu plus bas pour se faire plus discrète après cet éclat. Cette discussion perdura jusqu'à ce que la délégation de Québec commence ses discours de passassion de pouvoirs. Elle écoutait leurs annonces en observant l'environnement, déçue de constater qu'il n'y avait aucune musique pour danser, ni animation pour maintenir l'atmosphère festive. Lorsqu'elle reporta son regard vers Arianne, elle lui offrit un sourire ému. Malgré sa surprise de remarquer combien brèves avaient été les interventions de chacun, elle semblait réellement touchée par l'énoncé de cet engagement qu'elle sentait lourd de sens et de sacrifices.

*Morgan tourna son regard alors vers Arianne et De la vera.
Les detaillant tout 2 sans emotion particuliere,songeuse plusieur chose lui traverse l'esprit.
Le pouvoir......tous le recherche,bien sur elle espere et crois que il sera entere de bonne main,elle lache un leger soupire,puis sourie en coin secouant doucement la tete,apres tout,qui sais,peut etre cela sera encore mieux que avant,esperon le,puis elle regardera la nouvelle prince*

Francesco fut content d'entendre la réponse d'Arianne. Il la regarda avec un sourire amical sur les lèvres. Il prit la parole sur un ton courtois.

-Je sais que cette ville grandira par tes efforts, et que tu ne la laisseras jamais dans la besoin. Je sais que toute les personnes de cette ville peuvent compter en tout temps sur ta sagesse et ta dévotion pour eux et pour la cause de la camarilla. Maintenant, la ville de Sherbrooke à un nouveau Prince, Arianne D'Archer, félicitation Arianne.

Francesco s'éloigna d'Arianne pour aller proche d'Isabelle.



Josée s'avança près d'Arianne, elle prit la parole sur un ton courtois.

-Bonsoir à tous, je suis Josée Tucci, Archonte de madame Guil, je suis ici ce soir pour officialisé l'alliance qui c'est formé entre trois camarillas d'Amérique. La camarilla de Washington, dirigé par monsieur Marcus Vitel, la camarilla d'Ottawa dirigé par monsieur Constantin Landreville et la camarilla de Québec dirigé par monsieur Francesco De La Verra, cette alliance fut possible avec l'aide d'un événement en l'honneur d'Arianne à Washington. Je suis sur que les personnes concernés sont contents de l'avancement de leurs discutions sur cette attente. Je suis venu pour donner mon aval à cette alliance, mais aussi pour le couronnment d'Arianne. J'espère que la nouvelle camarilla de Sherbrooke avec Arianne à sa tête vont aussi faire partie de cette alliance pour contrée l'avancement de la sabbat sur le territoire américain. Je sais que plusieurs personnes ont fait des concessions pour arriver à cette attente, mais je crois qu'elle sera profitable à tous les camarilliens de ces villes. Longue vie à Arianne, et que l'alliance entre ces villes dure longtemps.

Josée ce retira près des deux femmes de Paris. Elle leurs parla tout bas.



Suzie retourna vers Arianne, elle prit la parole sur un ton amical.

Chers amis, je suis contente de félicité le nouveau Prince de Sherbrooke, félicitation Arianne. Je suis persuadée que la ville de Québec et la ville de Sherbrooke vont continuer de collaborer ensemble. Je remercie les Princes des trois villes mentionnées par Josée, de c'être déplacé pour cette événement. Je remercie aussi les gens de la France d'être venu dans cette ville, pour félicité Arianne. Je remercie aussi tous les gens qui sont venus ici ce soir et que je n'ai pas eu la chance de remercier. Pour ma part et celle d'Annie, la soirée touche à sa fin, mais je suis persuadé que la plus part des gens désire encore parler entre-eux. Il y a des chambres disponibles ici ce soir, si vous n'avez pas d'endroit au dormir. Je vous remercie tous encore.

Suzie retourna près d'Annie pour discuter avec elle.

*Arianne conserva un sourire neutre tout au long des déclarations. Elle fit des signes de tête respectueux à la fin de chaque intervention. Elle attardait son regard sur "ses sujets". Quand tous eurent terminé, elle prit la parole.*

- Je vous remercie tous de ces chaleureux encouragements. Je tâcherai d'être à la hauteur de vos attentes. Je prends le moment ce soir pour annoncer aux résidents de la ville que je ferai une rencontre offcielle dans un mois. Je vous contacterai pour vous annoncer l'endroit et la date exacte. Mais ce soir est soir de fête et j'espère sincèrement que vous vous plaisez, je ne retiendrai pas plus votre attention.

*Arianne salua l'assemblée puis se dirigea vers les femmes venant de France.*

- Je crains de ne pas avoir pus vous saluer personnellement depuis le début de la soirée, laissez-moi remédier à la situation. J'espère que la France se porte bien?

Josée vit Arianne s'approcher d'elle et prendre la parole. Elle prit la parole à son tour sur un ton courtois.

-Madame D'Archer ou de Gonsaque, je suis enchanté de faire votre connaissance, les deux femmes qui sont avec moi ce soir m'ont énormément parlé de vous. Je ne savais pas qu'on vous connaissait dans autant de camarilla. Je ne connaissais que l'action qui a permit de rendre cette alliance possible entre toute ces camarillas. J'espère que vous allez entériner aussi cette accord avec les membres de votre ville. Je crois qu'il est temps que la camarilla forme une vraie famille et qu'elle s'unisse face à la Sabbat. Je suis persuadé que vous êtes d'accord avec moi.

Josée fit une pause et regarda Arianne et les deux autres femmes près d'elle. Elle prit la parole de nouveau sur le même ton.

-Je m'excuse Arianne, vous avez adressé votre question aux gens de la France, et j'ai pris la parole dans un élan de passion, je vais laisser la parole aux autres femmes avec moi.



Hélie prend la parole sur un ton courtois, elle regarda Arianne et dit.

-Madame de Gonsaque, la France se porte à merveille, je suis persuadé qu'elle vous manque et même si vous êtes Prince de cette cité, j'espère que vous n'oublirez pas vos origines. Il est bien d'avoir des responsabilités, mais il ne faut pas oublier d'où on vient et comment nous sommes arrivé jusqu'ici. Pour ce qui est du clan Toréador en général en France, je vais laisser le soin à la primogène de votre clan en France vous en parler.



Diane avait écouté la conversation depuis le début, elle prit la parole sur un ton courtois après sa sénéchal.

-Madame de Gonsaque, je suis vraiment contente de votre avancement dans la camarilla. Il est certain qu'un poste dans la camarilla de Paris aurait été encore mieux, mais pour faire ces classes, Sherbrooke semble être une bonne place. Les membres de votre camarilla semble propice à avancer dans la même direction que vous, c'est merveilleux. Je suis ici ce soir pour vous félicité au nom de tous les toréadors de France. Plusieurs d'entre eux seront deçus d'apprendre que vous ne semblez pas vouloir revenir à Paris avant un certain temps. Plusieurs personnes attendent de savoir ce qui est arrivé avec vous lors de votre dernière visite dans notre ville. J'espère que vous allez vous trouvé une personne de confiance dans votre ville pour vous secondez et vous permettre d'entretenir vos relations en France. Je présume que vous ne viendrez plus séjourné en France longtemps, mais que vous nous oublirez pas. Je souhaite que vous veniez nous voir très bientôt avec peut-être un activité, comme le vernissage de Washington que madame Von Hörsten et monsieur Vitel nous ont décrit. Je suis sur que les gens de la ville de Paris serait enchanté d'organiser ça pour vous. Je pourrais invité madame Von Hörsten et monsieur Vitel à cet événement quand dites-vous madame de Gonsaque?

Diane ainsi que les deux autres femmes attendir la réponse d'Arianne.

Suzie s'approcha d'Evra, elle prit la parole sur un ton courtois.

Madame Von Hörsten, j'aimerais discuter avec vous en privé quelques instant. J'espère que ça ne vous dérange pas trop madame Marchand. Je vais essaye de faire le plus vite possible.

Suzie attendit la réponse des deux femmes devant elle.

Lotus avait écoutée avec attention les propos de tous ces gens venus
pour proclamer les qualités d'Arianne. Elle se raprocha de Paradoxe et
fit de son mieux pour ne pas montrer qu'elle s'ennuiyait.

Lise regarda Mme Desbiens s'approcher et lui sourit. Elle l'écouta, puis se leva pour lui laisser la place qu'elle occupait auprès d'Evra.

- Prenez tout le temps qu'il vous faudra, Madame, vous n'avez pas à converser en hâte seulement pour ma personne. Nous remettrons cela une autre fois. De toutes façons, nous en avions terminé, n'est-ce pas...

Lise s'éclipsa discrètement en saluant de la tête mesdames Desbiens et Von Horstën. Elle alla se placer plus loin et regarda les invités disposés en groupes, conservant une distance, pour ne pas s'imposer. Son regard s'attarda plus longuement sur les groupes à qui elle n'avait pas encore été introduite, mais elle sembla intimidée et attendit qu'on vienne à sa rencontre plutôt que de risquer d'interrompre qui que ce soit.

*Enfin la soiré fini,elle s'etire un moment et puis se leve,allant vers Arianne,elle dira alors poliement a cette derniere*

-Puije me retiré madame la Prince? je crois que ma presence ici n'est plus requise pour le moment,a moin que vous voyez un utilité a ce que je reste ou avez besoin de moi pour une tache quelquonque?

*elle attendit la reponse patiament*

*Arianne s'excusa un instant au près des femmes avec qui elle discutait pour se retourner vers Morgan.*

- Biensur, je ne vous retiens pas si votre désir est de quitter. Cependant, j'aurai à vous contacter très prochainement. Notre dicussion aura un caractère moins festif je le crois bien, alors il est préférable de remettre cela à plus tard. Merci encore d'être venue ce soir.

-Le plaisir est pour moi majesté d'avoir assisté a cette soiré.

*elle s'inclina,puis se releva apres un regard etrange et neutre,puis elle s'eloigna en disant*

-Le plaisir sera grand de discuté avec vous.

*un leger rire qui lui est propre,et elle sortie,apres quelque mot a Foxy,et un regard Jared*

*Arianne répondit à Foxy.*

- Je ne crois pas cela nécessaire. Je crois que vous pouvez retourner à vos occupations premières.

*Puis Arianne répondit à Josée.*

- Je suis persuadée que l'union de nos forces aura la puissance nécessaire pour repousser les frontières sabbat. Je crois qu'il est même possible d'espérer un jour unir la côte est de l'amérique sous une même banière si je puis m'exprimer ainsi. Mais loin de moi pour le moment sont ces idées de grandeurs. Manager cette première alliance sera un défis bien assez grand.

*Arianne s'adressa particulièrement à Diane.*

- Soyez assurée madame que je ne manquerai pas de refaire un retour en France. Biensur, à cet évènement je pourrai inviter de mes amis. Je ne peux malheureusement pour l'instant établir de date précise. Vous comprendrez bien qu'avec mes nouvelles fonctions, j'aie déjà beaucoup à m'occuper. Cependant, il me tarde évidemment de revoir la France, ainsi que ceux-là bas qui me sont chers.

*Arianne continua à discuter avec les dames de France, elle semblait trouver la conversation agréable, bien qu'elle soit un peu tendue.*

Evra se tourna vers Dame Desbiens et lui fit un signe de respect de la tête. Elle allait répondre lorsque Lise quitta le groupe. Elle tourna donc brièvement son regard vers celle-ci avant de retourner son attention vers la sénéchal de Québec. Son regard était neutre et son ton courtois et respectueux.

- Dame Desbiens, que puis-je pour vous?

La tremere retrouva son silence attentive aux paroles de Suzie.

Suzie fit un sourire à madame Marchand quand elle quitta la conversation. Ensuite, elle prit la parole sur un ton courtois en regardant Evra.

-Madame Von Hörsten, j'aimerais vous présenter des excuses en mon nom et aussi au nom de tous les gens consernés dans le petit incident de tout à l'heure. Je crois que c'est un malentendu regrettable envers vous et votre infant. Je comprend la colère que vous avez pu ressentir après une situation de la sorte. J'espère que vous réussirez à oublier cette événement désagréable envers votre famille et pourrez ne pas garder rancoeur envers les gens qui se sont laissé entrainer dans un élan de passion. La passion n'excuse en rien la situation et le geste, mais j'espère que vous serez clémente. Si je peux faire quoi que se soit pour vous être utile, vous n'avez qu'à demander. Je suis vraiment désolé de la tournure des événements. Je vous remercie de votre compréhension madame Von Hörsten.

suzie attendit la réponse d'Evra.

Arthur avait été en retrait après l'éclat de colère de certaines personnes. Il savait qu'il aurait des comptes à rendre, mais pour le moment tous ce passait bien. Il prit la décison de rendre service à une amie en échange de cette soirée inoubliable. Arthur s'approcha d'Alister, il prit la parole sur un ton courtois.

-Je m'excuse de vous déranger madame, monsieur, une amie commune à moi et à vous monsieur MacEnroy, voulait que je viens me présenter à vous ce soir. Je me présente, Arthur Element du clan Ventrue d'Ottawa. Je suis venu aussi vous donner ma carte d'affaire pour qu'on puisse entrer en contact à un moment opportun et qu'on puisse peut-être voir si des affaires peuvent être possible entre la ville de Sherbrooke et Ottawa. Je ne voudrais pas m'incrustrer, je crois qu'on pourrait avoir des sujets intéressants à discuter ensemble monsieur MacEnroy.

Arthur tendit un carte à Alister et attendit la réponse d'Alister.

Evra fit un signe de tête respectueux et affirmatif en réponse aux excuses de Dame Desbiens. Elle garda toutefois son visage neutre et sa tenue courtoise.

- Je vous remercie pour ces excuses Dame Desbiens. Je me suis certes emportée, mais comme je disais à Monsieur Vitel, j'ai travaillé fort pour l'éducation de mes fils et d'ailleurs, celle-ci est encore ma plus grande priorité... Il n'y a pas pour moi plus grave offense que de remettre en question l'éducation que j'ai légué à mes fils, surtout si ces reproches sont futiles. Quoi qu'il en soit, je ne vous en tiendrai pas rigueur puisque je sais que vous n'avez que répondu à une demande de nos illustres invités.

Evra porte un regard vers le blondinet accompagnateur d'Arianne et son collègue avec un regard sombre avant de retourner son attention sur Dame Desbiens.

- Je tiens tout de même à moi même m'excuser pour avoir perturbée cette soirée que vous avez organisé par mes excès d'humeur. Et j'espère qu'il y aura un peu plus de respect envers ma famille les prochaines fois...Même si je ne porte pas de titres officielles et même si je ne suis pas de renommé mondial, je crois qu'en cette ville, certains de vos invités auraient mieux fait de rester respectueux envers leurs hôtes. Nous avons tous fait de grands efforts pour stabiliser cette ville après tout.

Evra jetta un regard vers ses fils qui étaient en grande conversation.

- Je ferrais part à Mikael de vos excuses...Il en sera surement soulagé. À ce propos, laissez moi vous remercier pour l'organisation de cette soirée. Ce fut très généreux de votre part. Vous remercierez également Dame , votre travail fut sans l'ombre d'un doute grandement apprécié par notre nouvelle Prince. Sur ce, la soirée se fait tard et je désirais encore aller discuter auprès de certains invités que je n'ai pas croisé encore. J'apprécie que vous ayez pris le temps de venir vous excuser soyez en assurée.

Evra fit un fit de tête respectueux avant d'échanger des salutations avec Dame Desbiens pour se diriger ensuite vers le primogène torréador de Washington.

- Messieurs, Mesdames, pardonnez moi de perturber vos conversations, mais je tenais à vous saluez Monsieur Clerson avant que cette soirée ne finisse.

Evra se tourna vers Alan

- Monsieur Clerson, j'aimerais vous remercier pour votre présence au Vernissage d'Arianne. La soirée fut un succès et je ne peux qu'être heureuse de la participation des torréadors de Washington. D'silleurs, je suis ravie de vous voir à Sherbrooke ce soir.

Evra fit un sourire chaleureux vers Monsieur Clerson avant de se retourner vers ses interlocuteurs pour faire un signe de tête respectueux en guise de salutation mais aussi de remerciement pour lui avoir permis de placer quelques mots à Clerson. Elle attendit par la suite la réponse du primogène silencieuse tout en gardant une tenue très courtoise.

Alan fut content de voir Evra venir lui parler. Il prit la parole sur un ton amical.

-Madame Von Hörsten, je ne pouvais pas faire autrement pour Marcus. Pour ce qui est de l'organisation du vernissage d'Arianne, se fut un plaisir et une joie de rendre ce service à une membre de notre famille. Je suis aussi heureux que vous ayez apprécié la soirée. Je suis aussi content d'être venu ici, dans la ville d'Arianne pour venir vous saluez et rendre hommage au nouveau Prince de la ville de Sherbrooke. J'espère que vous viendrez vite nous voir à Washington, Marcus serait vraiment content de vous faire visiter la ville. Il y a plusieurs choses qui ont changé depuis votre départ de la ville. Je suis content de vous avoir vu ce soir madame Von Hörsten, j'espère que vous viendrez me dire bonjour quand vous passerez à Washington.

Alan attendit la réponse d'Evra.