La nuit du 26 avril 2008

*Arianne soutenait le regard d'Isabelle, elle parla sur un ton neutre.*

- Je ferai comme vous désirez madame. Cependant, je ne crois pas que personne ici croit que vous ayez été manipulé d'une quelconque façon, cette hypothèse a été balayée par monsieur le Député. Sachez que je suis agréablement surprise de votre rétablissement si rapide.

André Regarda Evra et aquièça de la tête et fit un clind'oeil à la jolie Tremere pour lui montré qu'il avait bien compris son message.

A l'arrivée de dame Isabelle André fit une petite révérence pour lui témoigné respect.

Il attendi poliment d'avoir un instant pour parlez devant la dame et puis se lança.
- Bonsoir madame c'est un plaisir de vous revoir. Il vrai, je vien tout juste d'arrivé au Québec et je suis effectivement ici pour des affaires de Clan. Vous lizez toujours en moi comme dans un livre ouver. Je suis heureux que vous soyer déja sur pied. si vous avez besoin de mes service n'hésité pas.

Lotus regarda Isabelle et sursauta qnad celle-ci donna un coup de poing sur la table.
Elle se raprocha un peut de Paradoxe et n'osa plus bouger de là. Elle s'arrangea pour
ce faire toute petite. Elle ne voulait pas encourir la colère d'Isabelle sur elle.

Louve fut surprise de l'arrivée d'Isabelle. Elle était sans contredit pleine de ressources. Elle se lève debout devant sa chaise, penche la tête en signe de respect et de salut à Isabelle :

- Madame, contente de vous revoir sur pied si rapidement. Des hypothèses avaient été émises quant à vos assaillants mais je crois que vous pourrez davantage nous éclairer sur la question afin que NOUS puissions, ENSEMBLE, prendre les actions qu'il faudra pour protéger le territoire qui nous a été généreusement donné par Québec.

Louve marque une pause puis rajoute :

- Je suis certaine que nous parviendrons à nous entendre sur ce point qui est de faire de cette ville une Camarilla et un territoire protégé. Cette vision est sans doute utopique, mais c'est le premier objectif que nous avions quand nous sommes arrivés ici en novembre. Personne ici n'est parfait, moi la première. Malgré tout, est-ce que ce serait possible de travailler ensemble pour faire en sorte que ce projet prenne forme et de s'écouter un tant soit peu ?

Louve s'arrête pour regarder la réaction des gens autour d'elle.

Alister n'avait pas bouger d'un poil pendant le quart d'heure qui le séparait de sa dernière intervention. Même les propos du préfet et la réaction d'Arianne n'avait éveillés en lui qu'un léger sourire frustré. L'arrivée d'Isabelle ne le bouleversa pas plus que cela, seul son coup de poing sur la table le fit cligner des yeux. Il prit alors la parole a la suite de Louve d'un ton calme et néanmoins satisfait.

- Bienvenue chez vous Isabelle, même si mes sens restent modérés, mon esprit se réjouit de vous voir a nouveau présente parmi nous. Cela permettra sa doute d'amener a notre groupe le ciment dont est fait votre ame.

Les propos d'Arianne sont justifiés, mais les exces dans un sens ou dans l'autre ne sont pas la bonne solution a une décision de compromis. Les tords sont partagés sur cette discussion a présent close et je pense que nous pouvons tous apprendre grandement les uns des autres.

Quant aux dire de Mademoiselle Morgan et de Madame Sullivan, je pense qu'ils sont de loin la meilleure chose que j'ai entendu ce soir.
La présence du Trémere étant a présent éclaircit, je vous prierai de vous remettre au travail, si brillament entamé la semaine dernière. Une oeuvre de cohésion et de conciliation est notre seul source de salut face a la déprédation dont fait preuve nos ennemis.

Alister se tourna ensuite vers Morgan et le Député.

- Monsieur, laissez moi vous dire que ma reconnaissance envers vous est toute relative, permettez moi d'orienter le choix de mes pensées comme je l'entends.
Cela dit, vos paroles sont a coup sur sourcesd'enseignements, même si je pense que la correction sera dure a acquerir a la suite d'une banale phrase contre les défauts acquis en près de 90 années d'existence.
Pour le reste, je donne toute ma confiance a celle qui s'est montrée digne de l'autorité qui lui a été remise. Je suis d'ailleurs surpris que sa sagesse et sa pondération n'aient pas plus éclairé le débat.
Cela est sans doutes due au retour fortuit de Madame Isabelle que je ne saurait plus saluer que par une respectueuse réverrence.

Alister marqua une pause et se tourna vers Isabelle.

- Je crois Madame, que vos prochains propos seront le point d'arrivée de notre investigation et nous permettra de lever les derniers doutes restant quant aux auteurs, a leurs moyens, et a leur mobile. Aussi, j'attends avec un impatience que je croyais éteinte en moi depuis longtemps,vos conclusions et votre approbation quant a la meilleure méthode pour réparer cet affront qui nous a été fait la semaine passée.

Alister croisa les doigts et plissa les yeux légèrement comme pour montrer a tous qu'il ne perdrait pas une miette des dires de l'autorité suprème de Sherbrooke.

*Morgan regarda Isabelle entré et fit un sourire a son attitude et lui dira*

C bon de te voir remise,jen suis contente.

*puis dira a lintention de guillaume et Jack*

Vous deux il serais sage de cessé ces enfantillages,on a dautre chat a foueté,et mon avertissmeent pour conservé lharmonnie de lelysée tien encore et celui qui la trouble,surtout en ces temps,seront chatié croyé alors je vous prie,cessé tout de suite!!!

Se levant lentement, comme si une douleur intérieure l'empêchait de se mouvoir aisément, Guillaume prend ses effets désposés sur la table.

Il dirige son regard vers Isabelle.

-Madame, j'espère que vous ne me tiendrez pas rigueur de vouloir quitter si tôt votre présence. Je me sens...

Il laissa sa phrase en suspens et quitta la pièce la tête basse, perdu dans ses pensées. Graduellement, son apparence changea de nouveau, puis lorsqu'il poussa la porte il avait son allure habituelle.

André resta de glace, il écoutait d'un aire songeur cachant quelque chose, ce que les autres avaient a dirent. (Que pensait-il au fond ... ) Il l'aissait parraitre un petit sourir en coin en attendant la suite des évènements.

Lise avait réagit discrètement mais poliement à tout ce qui s'était dit jusque là. Elle aurait bien aimé parler, mais tout le monde ne faisait que s'écouter eux-même... alors elle se contenta de sourire. Son sourire devint plus effacé depuis que guillaume avait attiré l'attention sur elle. Elle était nerveuse, surtout lorsqu'elle croisait le regard de M. McEnroy, craignant un tel traitement envers elle comme il avait agi envers M. André.

L'arrivée d'Isabelle sembla la soulager, intensément. Lorsque la dirigeante de la ville lui demanda si elle avait eu peur, Lise sourit et secoua la tête en guise de dénie, mais le fond de son regard laissait transparître une innocence qui ne pouvait qu'être troublée à la vue de la scène d'agression à laquelle elle référait.

Ce trouble se transforma en frayeur à la vue de l'apparence effrayante qu'aborait désormais guillaume. Elle tenta de cacher, malhabile, son malaise qu'elle masqua à l'aide de son calepin qu'elle sortit de son sac à main, fébrile, et qu'elle noircit d'encre par séquance de traît de plume appliqués.

C'en était trop pour Lotus, à la vue de Guillaume qui changeait d'apparence à vue
d'oeil, elle s'assit et regarda le mur du fond de la salle espérant de tout coeur qu'il
ne s'approche pas d'elle. Lotus tira sur la manche de Paradoxe pour lui glisser
quelques mots à l'oreille...

Euh... c'est normal ça?

Elle osa jetter un oeil encore sur Guillaume au moment qu'il quittait, mais son
apparence était redevenue ce qu'elle avait toujours vue de cet homme.

D'accord, je crois que j'ai des hallucination maintenant....

*Lorsque Guillaume changea d'apparence, il attira l'attention d'Arianne. Cependant, elle concentrait son regard sur ses yeux. L'expression sur le visage d'Arianne réflétait de l'interrogation. Elle ne dit rien et fini par reporter son attention sur Isabelle, attendant qu'elle s'exprime.*

- Nous pouvons continuer, je crois que nous allons avoir enfin des indices de la derniere soirée.

Rien n avais pertuber Jack de ce qui c étais passer au tour.

*Paradoxe ce pencha vers Lotus *

- C'est normal oui et non... c'Est un nosferatu comme je te parlais l'autre jour, ça malediction c'est ça face ... mais c'est pas normal qu'il aille mal...

* Paradoxe avait l'air perturbé par ce qu'il avait vue, non pas par l'apparence de Guillaume mais son malaise soudain. Il mit la paume de sa main sur le front de Lotus pour voir si elle n'était également atteint d'un mal inconnu *

- T'as l'air correct...

* Et fit la même chose avec lui même... *

Isabelle regarda tous les gens dans la pièce. Elle entendit leurs paroles et fut satisfaite de voir que personne ne mettaient son autorité en cause. Elle regarda Guillaume et se dit qu'elle devrait savoir ce qui se passe de ce côté. Elle devait parler d'elle, se fut toujours pénible pour elle de faire ça. Elle devait faire ça pour les gens qui croyaient en elle et pour les éclairer sur les événements de la semaine passé. Elle prit la parole sur un ton détâché.

-Il y a très longtemps, j'ai vécu des choses difficiles. J'ai commencé ma vie dans la noirceur comme servante d'un règnant lasombra. Je vivait avec lui dans la belle ville de Rome. Elle n'était plus très belle après ça chute et le commencement de l'âge des ténêbres. À cette époque, il n'avait pas de Sabbat ni de Camarilla. Il n'avait que les anciens et les Princes. Personnes ne pouvait contester leurs autorités. Mon règnant avec plusieurs de ses frères étaient partis en Espagne libérer leur frère de sang du jouc des anciens. C'est le commencement de la guerre Anarch. Je me suis battu au côté de mon régnant pendant longtemps. Un jour, des hommes comme mon sir au décidé d'arrêter cette guerre et de former un organisation qui aiderait les jeunes. Cette organisation se nomme la Camarilla. Contrairement au membre des Lasombra. Mon régnant avait décidé de suivre l'enseignement de mon sir. Après la convention des ronces, les lasombras et les tzimices ont formé la sabbat. Les lasombra ont chassé leur frère qui n'était pas dans la sabbat. Mon régnant est tombé sous la lame des Lasombras Sabbat à cause de l'homme qui est venu me voir la semaine passé. Cette homme était comme mon frère et servait le même régnant. C'est à cause de lui que mon régnant est mort. J'ai failli perdre la vie, c'est grâce à l'intervention de monsieur Dutoit et de ses disciples que je suis encore en vie. Mon frère a vendu mon père pour devenir vampire et promouvoir l'esprit de la sabbat. Je suis devenu Brujah et fille de monsieur Dutoit pour venger mon premier père et éliminer ce chien. J'ai tué beaucoup de sabbat pour le retrouvé. Je n'ai jamais mis la main dessus. C'est lui qui est venu me retrouver la semaine passé pour venir me pousser à bout...

Le regard d'Isabelle était remplit de haine et ne semblait plus voir les gens dans la pièce. Elle semblait être dans ses souvenirs. Elle continua sur le même ton.

-et me pousser à l'affronté. Ce n'est qu'un lâche qui ne connais que la ruse et la traitrisse. Il ne mérite pas de vivre et je vais venger mon père. Il faut que je le retrouve avant qu'il ne fasse quoi que se soit au gens que je dois m'occuper.

Isabelle frappa de nouveau la table dans un excès de colère. Elle semblait sur le point de perdre son sang-froid. Elle frappa la table pour la dernière fois car la table vola en morceaux dans la pièce. Isabelle semblait faire de gros effort pour ne pas perdre la maîtrise d'elle même.

L'homme écoutait le récit d'Isabelle. Il voyait qu'elle avait de la misère à garder son sang-froid. Il se leva et alla près d'elle pour être sur que tout se passe bien. Quand Isabelle frappa la table de nouveau et la détruisit, il la prit dans ses bras et commença à lui parler. Elle semblait sur le point de perdre la maîtrise d'elle même. Il l'aggrippa fortement et prit la parole sur un ton très autoritaire.

-Morgan et André, es-ce qu'il serait possible d'amener les gens à l'extérieur un certain temps. Je vais m'occuper d'Isabelle et je vais aller vous chercher quand elle se sera calmé. Allez-y!

L'homme continua à parler à Isabelle et essayer de la calmer...

*Arianne se leva pour quitter la pièce. Elle avait un sourire mesquin sur les lèvres.*

- Dame Morgan, je vous suis !

Jack prit le temps d enlever les débris sur ces vetements et suivi Morgan

André aquièça d'un signe de tête, se leva et se dirigea vers la porte, il s'accota sur le mur à côté. Il attendait ...

Bien sur

*puis pris son blouson que elle mis disant a tout le monde*

Allez tout le monde on sort prendre lair.

*puis sen va vers la sortie et dira a Isabelle en sortant*

Si ta beosind e moi je suis prete nimporte quand

*se voulant presente pour elle,puis sortie*

* Paradoxe remis son soulier qui était sur la table depuis le début de la rencontre, ce leva et dit à Lotus avant de sortir de la pièce: *

- Il me semble que j'ai pu voir des arcades dans la salle de jeu de l'Hotel. Une petite partie de machine à boules?

Je te defie a ca Paradoxe si tu veut bien

En sortant,

Ouain, moi aussi, j'pas pire avec les boules...