La nuit du 26 avril 2008

André d'un air bien ammusé, dit:

Mais ma foi, tous ici sont sur le pied de guerre. Si il vous faut absolument savoir ce que je fais ici, en clair je vais ou on me dit d'aller. Je venais tout juste d'arriver de mon voyage on ma précipité à Sherbrooke personne n'a pris le temps de penser qu'il était si important d'avisé ... Comme tout bon toutou que je suis, j'ai immédiatement été où on m'a envoyé. Et non je n'aime pas les test alors je vais passer mon tour pour celui la. Mais s'il vous plais appler a Québec pour vérifier qui je suis ils se feront un plaisir (petit rire étoufé)

André se tourna ver Evra d'un air intterrogateur cachant un petite quelque chose au fons de ses pensé.
- est-il sage de dérangé la dame pour cette question ?

André se tourna vers Monsieur le député avec un grand sourir.

-Monsieur le député si vous jugé bon de m'interroger ou faire passer des test je 'm y soumettrai. Mais il faut que sa vienne de vous, car il semblerais que vous êtes présentement l'autorité.

Guillaume fut surpris de la réaction de Black Jack. Il le dévisagea longuement.

-Vous êtes l'être le plus instable que je connaisse. N'est-ce pas vous qui prôniez l'ouverture et le dialogue lors de nos premières assemblées? J'ai émis mon opinion voilà tout! Si cela ne vous plait pas...Et bien allez le pleurnicher à votre charmant papa.

Guillaume se renfrogna un peu et ajouta à mi-voix en imitant ironiquement quelqu'un qui pleurniche.

-Le méchant Nosfératu est pas gentil avec moi...bouhouhou.....

Il fit ensuite un sourire forcé à Black Jack.

Evra souria en regardant André...Pour elle, cela n'avait guère d'importance...Mais s'il savait la vraie situation chez les Tremeres en ce moment...Il saurait que oui cela avait de l'importance...et que seule Dame Larochelle aurait pu l'informer de cela...

- Très cher, il semble effectivement que vous n'êtes pas au courant de tout ce qui se passe ici à Sherbrooke, sinon vous comprendriez pourquoi cette confirmation était importante...Malgré tout, si vous préférez faire affaire avec Monsieur le Député, je ne peux que respecter cette demande. Il est effectivement en ce moment le remplaçant de Dame Isabelle.

Evra qui avait seulement commencé à composer le numéro avait cessé en regardant André...Il ne semblait pas comprendre, qu'ici à Sherbrooke, Dame Larochelle était le supérieur direct de tous Tremeres....Elle avait voulu l'appeler pour lui éviter de passer à un interrogatoire contraignant...mais si tel était son désir. Elle se ravisa en se disant que cette affaire irait à plus tard...Elle alla s'assoir à nouveau se désintéressant de tout ces désaccords...

D'un air parfaitement serin, André posa les yeux sur Evra

- Ma chère ne vous interronpez pas pour moi, allez faite. La situation semble si sérieuse que je m'en remet à vous et à votre jugement. Si ce que vous allez faire peu m'éviter de long débpoire inutile j'en serais soulagé.

André continua paisible de regarder sa consoeur ...

Quand Louve entend les dernières paroles de Guillaume, elle porte la main à sa bouche pour étouffer un rire. Elle qui croyait que les anciens étaient des paranoïaques, voilà que les neonates étaient encore pires.

Bien qu'elle fut surprise par la réponse d'Arianne, cela ne fit que renforcir son idée à l'égard de l'ancien Gangrel : ce n'était pas une bonne idée de se rendre sur son territoire.

Elle repense à la réponse ô combien assassine de Guillaume envers Black Jack, se disant que de pleurnicher de la sorte auprès de son sire lui aurait vallu une raclée. Elle se permit une parole :

- Bien que la venue de Monsieur André soit inattendu, je suis certaine que tout sera mis en oeuvre pour éclaircir ce mystère. Est-ce que tout a été dit par rapport à ce qui s'est passé avec Isabelle la semaine dernière ?

Louve regarde tout le monde, avec ce drôle de sourire aux lèvres.

*Arianne dévisageait à présent Guillaume, non elle le fixait. Ses yeux semblaient vouloir scruter les profondeurs de son âme. Elle semblait intriguée par le comportement du nosfératu. Cependant, elle finit par repporter son attention sur André.*

- Je vous prie monsieur d'adopter une attitude plus complaisante. Cela nous ferait grandement garder du temps, qui nous est précieux en ce moment.

- Mon chere Guillaume, ce n est pas moi qui ce cache derrière un masque d illusion et qui habite un égout. De plus, je suis sure que vous êtes plus que moi, dans les jupons de Québec a rapporter tout ce qui ce dit a sherbrooke !

L'attention d'André arriva sur Arianne, il lui fit un petit signe de la tête et ajouta.

-Le temps, le temps vous en parlez comme s'il importait ... Mais et que me faut-il faire pour vous faire gagner du temps. Je ferai de mon mieux si faire ce peux.

*Arianne était toujours souriante, bien que ce sourire ne fut pas sincère.*

- Il serait bien que vous soyez plus transparent dans vos interventions. Donc, vous êtes envoyé par votre clan ou par les dirigeants de Québec? Et considérez-vous comme l'un des notres, c'est-à-dire sujet à être assigné à une tâche par les autorités de la ville? Si vous voulez bien répondre franchement sur vos intérêts à être ici ce soir et leurs implications, nous pourrons ensuite entrer dans le vif du sujet.

Prenant un ton des plus sérieux et sincère se tournant ver Arianne.

- Pour reprendre les mots d'un de vos confrère ici présent Québec à entendu ses suplications. Donc me voici ici catapulter au milieux de ce belle environement. Si je suis ici c'est probablement parce qu'ils pense que peu être utile à quelque choses!. Donc je met mes talent au services des autorité de la ville. Si ce dont il exiges de moi est dans mes cordes.

D'un ton las : " cela satisfais-tu votre curiosité Madame"?

Correction,il est une des DEUX autorité presente dans la ville durant labsence de Isabelle Monsieur André,tennez en comptes.

*commenceant a etre assesz agacé que tout le monde se fiche de sa tache ou fasse comme si de rien etait et cela se voyait*

André fit volte face et d'un aire très interrogateur.

- hmmm il me semble avoir dit DES AUTORITÉS de la ville, mais bon. Si ce n'est pas le cas pardonnez moi, ce n'était pas intentionel.

*Le sourire d'Arianne s'agrandit.*

- Donc, j'imagine que c'est Québec qui vous envoit, à titre d'exécutant.

*Arianne lança un regard apaisant à Morgan, puis s'adressa à tous.*

- Donc, je récapitule un peu ce qui s'est dit. Nous savons ce qu'Isabelle a subit comme traitement, elle a vraisemblablement été agressée par un membre du clan Malkevian. Il n'y a pas de moyen semble-t-il pour accélérer son rétablissement, alors pour ce qui est de son retour à la normale, il faut laisser le temps faire son oeuvre et espérer. Pour ce qui est du groupe d'agresseurs, il semblerait qu'ils ne soient pas de Montréal et ces individus auraient été vu dans la région de Salem au Massachussetts. Aucun de nos territoires, à notre connaissance, aurait été violés cette semaine. Le tatouage dont parle Paradoxe aurait des origines magiques, mais n'aurait pas été crée par des tremeres si j'ai bien compris. Je crois que c'est tout ce qu'il y a été dit.

*Arianne fit une pause pour reprendre ensuite.*

- Je crois qu'il y a 3 points dont nous devrions discuter. En premier lieu, ce dit taouage, auriez-vous, cher Paradoxe, une idée de celui qui aurait pus le faire ou de sa signification? En second lieu, *Arianne s'adressait à M. le député.* si quelqu'un est venu faire le diagnostique d'Isabelle, j'imagine qu'il y a aussi eu d'autres informations par rapport à l'évènement lui-même qui ont été recueillies. En dernier lieu, cet endroit n'est pas sécuritaire. S'ils ont attaqués Isabelle la semaine dernière dans l'élysée, il est fort possible qu'ils soient au courant des autres endroits qu'Isabelle a à sa disposition pour faire ce genre de réunion Alors, à moins que ce ne soit pour apâter nos agresseurs, je trouve que le choix de l'endroit ne sied pas à la situation.

* Paradoxe regarda Arianne. *

- Le tatou est écrit dans une langue bizzare et dit quelque chose comme : Par ma pensée, je me libère de mes démons. C'Est cool hein!? ça fait pas mal poèetique... héhéhé... Je ne sais pas qui peut avoir faitça... J'ai le préssentiment que c'est hot comme piste et je vais la creuser.

*Arianne se retourna vers Paradoxe.*

- Très bien, je vous remercie beaucoup de cette information. Cette langue étrange, vous la connaissez ou vous avez simplement eu "l'intuition" que c'est ce qu'il était écrit?

- Disons... que j'ai regardé et ... j'ai compris...

*Arianne sourit.*

- Très bien.

L'homme avait écouté les gens parler depuis un moment. Il avait retenu les choses importantes sur le crimes d'Isabelle. Il trouvait la situation assez drôle pour le tremere de Québec. Il semblait être un homme qui savait se débrouille seul. Pour ce qui est de la situation actuelle dans l'assemblée, il trouvait que ça dégénérait. Il devait mettre un terme à cette soirée en queue de poisson. Il applaudit en prenant la parole sur un ton neutre.

-Chère madame Arianne et monsieur Alister, je crois que c'est facile de comprendre pour quoi c'est pas vous qui êtes les députés de madame Isabelle. Vous ne savez que parler et donner des ordres. Il y a des personnes qui sont capables de faire leurs travaillent dans cette ville qui n'ont aucune reconnaissance pour leurs actions. Vous devriez commencer par voir ce que vous pouvez faire pour aider votre ville au lieu de critiquer mes decisions ou ceux de Morgan. Pour ce qui est de l'endroit au se fait cette rencontre. Il a trois raisons pourquoi je suis venu ici. La première c'est que j'avais accès au contact d'Isabelle. Deux, je voulais savoir si les hypothèse paranoiaque de tous le monde était fondé. Pour ce qui est de la troisième, c'est pour encourager monsieur Alister, le nombre est une force qui ne faut pas négliger contre trois individus.

Il fit une pause et regarda la dame Tremere, il dit sur un ton neutre.

-Es-ce que vous avez eu votre réponse de madame Larochelle?

Il attendit la suite...

Le Blackberry d'Evra bippa. Elle eut un sourire satisfait...bien, bien alors cela ira. Elle releva la tête vers Monsieur le Député.

- Monsieur est bel et bien du renfort envoyé par Dame Larochelle. Nous pouvons donc continuer paisiblement cette assemblée et revenir à ce qui est le plus urgent à l'instant, le cas de l'attaque sur Dame Isabelle et sur notre ancien Élysée.

Evra s'accota sur son dossier de chaise retrouvant le silence. Et tourna toutefois la tête vers André et lui fit un signe de tête d'approbation comme si elle lui disait...va falloir qu'on se parle... Entre Tremere on se comprend souvent d'un seul coup d'oeil après tout.

*Arianne se retourna vers monsieur le député. Elle examina son visage avec attention. Elle avait une lueur de défit dans les yeux.*

- Mesurez bien vos paroles monsieur, car je n'ai pas l'habitude d'oublier la façon dont on me traite. De plus, vous n'avez pas répondu à ma question, à savoir si vous avez des informations provenant des souvenirs d'Isabelle ou de je ne sais trop quelle autre médthode sur ce qui s'est passé. Si vous avez quelque chose de pertinent à ajouter à la discussion, faites-le. Dans le cas contraire, je vous conseille de ne rien ajouter, puisque vous ne semblez pas savoir comment vous exprimer avec la politesse qui sied à votre fonction. Prenez mes paroles comme de simples conseils et si vous voulez quelques leçons de savoir vivre, je serai heureuse de vous les enseigner en temps et lieu.

L'homme regarda Arianne et ce mit à rire. Il dit sur un ton sarcastique.

-Je sais comment vous réglé vos conflits. Soit, vous tombé dans une rage violente sans raison comme la semaine passé. Sinon, vous demandez au autorité de la ville de sanctionner les personnes qui nuise à votre réputation. Vous allez demandé réparation à Morgan, vous allez demander ma mort ou bien mon exile de la ville de Sherbrooke. J'ai hâte de voir cette action de votre part envers cet affront que j'ai fait à votre égard. je crois que ce petit jeu ce joue à deux madame la primogène toréador.

Il regarda Arianne et sa réaction et continua à rire...

*Arianne serra les poings. Elle se concentra pour calmer ses passions.*

- Je ne me metterai pas en colère, je ne vous ferai pas ce plaisir. Mais, vous prouvez que rien de pertinent ne sort de votre bouche. Je considère donc que ma participation a été inutile ce soir et que vous nous avez tous fait perdre notre temps. Je me vois donc dans l'obligation de quitter pour mettre fin à cette farce.

*Arianne détourna le regard du député et ramassa ses affaires.*

Evra ferma les yeux quelques instants...Elle bouillait...Est-ce que ces soirées allaient toujours finir ainsi...Elle parla tout bas...

- Enough of this...

Elle secoua la tête et détourna à nouveau son attention, se désintéressant de tout cela à nouveau. Elle murmura à l'oreille de William qui lui fit un signe négatif de la tête. Elle sembla déçue, mais sans plus...

Isabelle fit son entrée dans la pièce. Elle regarda tous le monde dans la pièce. Elle regarda Arianne et lui fit signe de s'assoir. Elle regarda monsieur l'homme qui parlait à Arianne et le regarda avec un regard assez autoritaire. Elle prit la parole sur un ton autoritaire.

-Bonsoir à tous, j'aimerais remercie l'homme qui m'a remplacé en mon absence. J'aimerais que madame Arianne reste pour que cette rencontre continue. J'aimerais excuser le comportement de cette homme à votre égard madame Arianne. Il aime pousser les gens dans à bout. J'espère que vous ne lui tiendrait pas rigueur. De toute manière, cette rencontre n'allait nul part. Pour les événements qui se sont passés la semaine passé, nous allons en parler sous peu.

Isabelle fit une pause et regarda les gens dans la pièce. Elle prit la parole sur un ton amical.

-Bonsoir Madame marchand, j'espère que vous n'avez pas eu peur de cette assemblée et de son côté très dynamique mais un peu chaotique. Bonsoir André, je suis contente de vous revoir, il y a un certain temps que vous n'étiez pas venu au Québec. Je présume qui si vous êtes ici, c'est pour les services de madame Larochelle.

Isabelle fit une pause et regarda l'assemblée, elle sembla plus sévére et autoritaire. Elle prit un ton de nouveau autoritaire.

-Je crois qu'il y a des gens dans cette ville qui pense que je suis tombé au main de l'ennemi. Je vous conseille de changer d'opinion à mon égard. Je ne suis pas femme à me laisser à voir. J'ai souffert du mal que l'homme ici présent à dit. Je ne souffre pas de domination, ni de possession. Les autorité de la ville de Québec savent ce qui m'est arrivé et me font toujours confiance. J'ai parlé à monsieur De La Verra il y a peu de temps. Je suis toujours le pouvoir exécutif de cette ville. Si une personne n'est pas en accord avec cette désicion, qu'il le dise sur le champs.

Ces paroles furent appuiées par un coup de poing sur la table qui la fit trembler et près que se rompre. Isabelle regarda tout le monde avec le même regard autoritaire qu'on lui connait.