la nuit du 24 mai 2008

Alister avait écouté calmement les différents intervenants. Puis, une fois que le silence se fit, il prit la parole d'un ton désabusé et incisif.

- Hum, et bien, je pense que le temps récréatif est a présent terminé, sauf si l'un ou l'autre d'entre vous a encore envie de montrer a tous ici l'immensité de ses talents d'humouriste, de jonglage ou de je ne sais quoi d'autre...

Si vous le permettez, et ce dans le but que nous ne nous perdions pas sur les chemins étroits et sinueux de la drolerie, je propose que nous passions au plus vite aux choses qui nous importent.
Car, croyez bien que si je ne regarde pas la télévision, ce n'est pas pour voir ici les flots ininterrompus de divertissements pour enfants en bas ages.

Aussi, je pense qu'il est temps de se préoccuper de nos priorités afin de fixer l'ordre du jour de cette scéance qui bien qu'étant à son début, ne brille présentement pas du sceau de la réflection, de l'union et de la progression.

Pour conclure, je dirais qu'aussi étrange que cela puisse nous paraître, le temps est important même si cette notion peut sans doutes préter a rire pour certains.
De toutes évidences, les coups que nous jouerons ce soir, seront a coups surs, une avance que nous prendrons sur nos ennemis.
Je tiens a ce sujet a rappeller que la chose qui nous différencie de nos opposants est l'ordre et la discipline, par conséquence, faisons honneur a cette assemblée je vous prie.

Sur ces mots Alister fit une légère réverence de la tête a l'ensemble de l'auditoire et reprit sa position qui n'était pas sans rappeller ces statues humaines qui se trouvent sur les grands places lors de manifestations populaires.

Lise était on ne peut plus contrariée. Elle gardait pourtant un calme et une prestance sans faille, et c'est sans hausser le ton, avec le sourire, qu'elle s'adressa à Alister.

- Vous me fascinez, Monsieur McEnroy...
Vous qui êtes si prompt à octroyer des leçons sur la réflexion avant la parole, j'ose assumer que vous êtes vous-même adepte de la pratique de ces mêmes leçons...

Or, si vraiment vous avez longuement réfléchi à vos paroles avant des les prononcer, il est tout-à-fait troublant de constater que, de toutes les façons possible d'exprimer votre pensée, ce soit les plus cyniques, déplaisantes et dénuées d'altruisme que vous ayiez sélectionnées.

Puisque chaque fois que vous ouvrez la bouche, Monsieur, c'est principalement pour vous écouter parler, pourquoi ne pas partager avec nous tous des éléments d'informations qui pourraient nous mettre davantage à jour sur la situation qui nous préoccupe plutôt que de jouer les pédagogues infantilisants qui tentent de dicter la conduite de leur prochain. Ainsi, peut-être, nous avancerons et cesserons d'être ralentis par un flot de paroles qui n'ont d'autres utilités que de provoquer, contrarier ou insulter ceux qui n'ont d'autres choix que de vous écouter, ne serait-ce que par politesse...

Isabelle regarda Evra entrer dans la pièce et lui sourit. Elle écouta la discution actuelle et prit la parole sur un ton autoritaire.

-J'aimerais monsieur MacEnroy que vos propos soient plus mesuré à l'avenir. Je comprend que vous vouliez que cette assemblée avance dans la même direction et de façon plus vite. Sauf qu'il ne sert à rien d'humilier au diminuer les gens pour les pousser à réagir. Au contraire, vous pousser les gens à se fermer sur eux-même et en pêcher l'interaction dans cette assemblée. Je crois qu'il est clair, que je suis le pouvoir exécutif dans cette ville et que j'ai déléguer mes pouvoirs pour rendre mon travail et votre sécurité plus efficace.

-Pour ce qui est des points que j'aimerais discuter ce soir, c'est savoir où sont rendus vos recherches sur les anarch, les gens qui m'ont agressé et toute autre menace qui semble préoccuper tous les gens dans cette pièce mais surtout monsieur MacEnroy.

-De toute manière Monsieur MacEnroy, je crois que vous désirez nous parler de quelque chose d'important aussi. Après avoir fait le point suivant, peut-être pourrions nous écouter votre point qui était pas prêt la dernière fois que vous n'avez parlé mais qui doit être correcte depuis le temps.

Es-ce qu'il y a d'autre point que vous voulez rajouter à ceux que j'ai déjà mis pour cette rencontre. Après que tous les points seront discutés dans cette assemblée. Il aura une période pour les points qui ne figurait pas dans les ordre de la rencontre, qu'on devrait parler ou bien que vous trouvez important de parler.

Es-ce que tous le monde est en accord avec cette façon de faire? De toute manière, je crois que ça va nous aider à être plus productif.

Es-ce que vous avez d'autres point à ajouter, sinon nous pourrions parler du premier point que j'ai parlé plus haut.

Isabelle attendit la réaction de l'assemblée à ses paroles.

*Morgan prie la parole*

Pour ce qui est des anarchs,nous savons ou plusieur loge,c a dire,tout autour de lestrie,mais aucun a Sherbrooke,.
Je me permet de reccomandé de ne rien entreprendre contre eux pour l'instant,et je le sohaite,jamais,car on ne tiendrais pas face a une guerre ouverte.

*regardant tout le monde,raclement de gorge,elle dit*

Je vais poussé un peu plus mes recherches et tentez de savoir leurs intentions plus precisements dans les prochains jours.

Lotus ouvrit grand les yeux au propos de Lise... Enfin une qui disait tout haut ce que....
Elle lui offrit un large sourire et écouta les paroles d'Isabelle. Elle n'osa tourner la tête
vers Alister de peur d'avoir une réaction déplacée.

Aux propos de Lise Alister réagit avec une surprise relative. Il ouvrit grand les yeux et en la regardant d'un air légèrement surpris lui dit.

- Je suis surpris que vous preniez pour vous mes recommandations, néanmoins si tel est le cas, c'est que vous avez sans doutes quelquepart a en souffrir. Je confesse devant vous ma chère que mes propos sont abruptes parfois.
J'ai de détestables manies croyez le bien, mais au fond, je suis sur que tous ici en ont...

Alister regarda une dernière fois la Toréador.

- A l'avenir ne vous arretez pas au sens premier de mes paroles, mais prenez les plutot comme un encouragement général. Je sais que les votres ont une tendance a exprimer trop franchement leurs sentiments, et cela est bien votre gloire et fait l'envie de nombre d'entre nous, pour autan, ne vous laissez pas séduire par la facilité d'interprétation, cherchez plutot la quintessence.

Alister se retourna alors vers Isabelle a qui il fit une marque de respect.

- Veuillez pardonner ma Vindicte Dame Isabelle, je ne pensais pas insulter quiconque, mais seulement donner l'élan nécessaire a la bonne poursuite de cette assemblée, comme vous l'avez compris.
Je comprends néanmoins que certains puissent être heurté, et je veillerai a l'avenir a prendre les gants nécessaire a la bonne acceptation par tous de ces encouragement aux travail.
Par ailleurs, je suis plus que satisfait de l'ordre du jour que vous avez fixé, et comme vous l'avez dit, j'ai moi même une proposition à ajouter au tableau en fin de scéance.

Pour conclure, je tiens a vous transmettre par ces mots le plus grand dévouement de ma personne a notre cause et mon plus ardent désir de voir nos projets se conclure de manière favorable. De ce fait, il est vrai que parfois je peine a comprendre les remarques de certains de nos membres, malgré cela j'ai bien conscience que ce sont nos différences qui nous renforcent. Je tacherai a l'avenir de faire corps avec les propos plaisants et humains qui semblent convenir a cette assemblée.

Alister se tint silencieux une fois terminé son discours. Il fit néanmoins un signe de tête approbateur a l'attention de Louve en clignant des yeux a son encontre.

Lise étouffa, pour la forme, un rire qui aurait eût un éclat déplacé, accentua son sourire envers Alister, et prit un ton tout-à-fait cordial pour répliquer:

- Oh, mais je doute, Monsieur McEnroy, qu'il y ait parcelle de quintessence dans chacun de vos propos ! Or, Vous vous méprenez de croire que j'aie eût à prendre quoi que ce soit de vos inepties, ainsi d'ailleurs qu'aucun de ceux qui sont réunis ici...

En fait, je crois que vos paroles ne s'adressent qu'à vous-même, puisque, de deux interventions, l'une n'a servie qu'à provoquer, et l'autre à vous en excuser... Nous sommes forcés de remarquer qu'aucune n'a servie à prodiguer de plus amples informations sur quoi que ce soit... ni à faire avancer cette assemblée... Et ce, malgré le fait que vous ayiez sommé chacun d'entre-nous d'emprunter cette voie, ni après avoir été explicitement invité à le faire par Dame Isabelle...

Lise regarda ensuite les autres membres de l'assemblée, puis poursuivit, sur le même ton cordial:

- Sur ce, je crois qu'il est temps de commencer, si vous le voulez bien... La nuit ne cesse de courir après le jour et j'aimerais bien me rendre chez moi avant les premières lueurs, cette fois-ci.

Alister saisit la balle au bond, une fois le discours de Lise achevé. Il ne bougea pas d'un poil pendant son discours comme si il savait ce qu'elle allait dire.

- Je vous remercie mademoiselle pour ces précieuses avancées dans le domaine qui nous interesse tous. En effet, je pense que je devrais prendre le temps de noter que votre plus ardent désir est de rentrer chez vous.

De plus, je suis passionné par votre non vie, croyez le bien, mais au fond, votre remarque n'a eut que pour but de prouver a tous que vous etiez a même de me tenir tête?
Alors, je vous laisse cet honneur pour ce soir. Vou allez sans doutes pouvoir l'écrire dans votre journal intime, juste au dessous du paragraphe ou vous dites:

" J'ai rencontré un loubard en moto, il fait vibrer mon coeur mort..."

Alister après avoir pitoyablement tenté d'imité une jeune fille récitant son journal intime laissa faire le silence pour enfin revenir a un discours raisonnable.

- Pour de plus amples informations, j'aimerai aborder deux thèmes, que la politesse qui me fut jadis éduquées m'a poussé a ne dévoiler qu'une fois les ordres du jours proposés par Isabelle clos.
Mais puisque votre jeune sang boue d'impatience, je vous fait l'honneur de vous les confier.
En premier lieu, j'aimerai annoncer a tous, que j'ai formé la Brigade de Sécurité dont je parlais jadis, je pense qu'il sera important de discuter ensemble du role a donner a cet outil non négligeable que j'entretiens a mes frais pour cette assemblée.
Dans un second temps, j'aimerai revenir sur le projet sur lequel je travaillais avec Messire Paradoxe et qui nous permettrais entre autres a recenser toutes la populations cainites de la ville ne faisant pas parti de cette présente assemblée.

Alister lanca un regard a la Toréador, comme pour attendre son assentiment, puis quelques seconde après il reprit.

Mais je suis sur que ces deux derniers projets n'ont que peu d'importance a vos yeux, aussi en toute humilité je préfère taire leurs descriptions avancés, le temps que vos sens reprennent posséssion de cette puerilité invétérée qui vous pousse outre le fait d'être la dernière arrivante en ces llieux, a prendre une place qui ne vous reviens pas. Celle de juge des paroles citées ici.

Pour le reste, sachez qu'il fut un temps, j'étais comme vous, mais rassurez vous, la non vie vous apprendra tot ou tard a respecter l'ordre et a vous éloigner des futilités que vous nourrissez puisque c'est là, la tare de votre clan.

Alister une fois fini, reprit son carnet de notre pour faire rapidement quelques schéma didactique afin de pouvoir exposer a tous les plans qu'il avait annoncé de la manière la plus intelligible possible.

Lorsqu’Alister parla de jounal intime, Michel retint un rire

Hmpf

Puis, lorsqu’il eut terminé,

D’abord, merci pour le compliment, j’suis flatté qu’tu m’considère comme un grand séducteur.

À part de t’ça, merci pour ton dévouement à notre cause. Étant donné que j’ch’t’un voyou, j’vais ben commettre des délits, ça va d’soi. Comme preuve de ma bonne foie, quand ça s’ra l’cas, j’manquerai pas d’en aviser notre nouveau corps de police privé!

Aussi, j’te f’rai r’marquer qu’c’est pas l’délais d’arrivée qui donne à que’qu’un son esprit critique. Pis du côté d’juge des paroles, mettons qu’on est pas limités à un dans’place. P`t`être que ça t’peine de d’voir céder une partie du rôle?

*Arianne avait conservée une expression neutre durant le dialogue entre Lise et Alister, jusqu'à sa dernière phrase. Arianne tiqua aux derniers mots d'Alister. Elle se leva pour prendre la parole d'un ton neutre.*

- Monsieur, je vous prie de laisser en dehors de vos petites querelles vos idées sur mon clan qui, comme vous les avez exprimées, pourraient être prises comme offense par chacun d'entre nous *désignant les toréadors*. Croyez bien que je serais peinée de devoir vous administrer un quelconque châtiment pour ce que je crois être une simple formulation maladroite. De plus, si vos projets sont bien ce que vous dites, nous aurons à travailler ensemble et je préfèrerais que nos relations soient à tout le moins cordiales.

*Arianne resta debout un instant puis se rassit.*

Louve assiste, un brin amusé, à cette lutte d'égos. Par contre, elle semble agacée que les choses n'avancent pas. La tension ambiante ne fait que la rendre encore plus nerveuse. Elle enlève doucement ses gants, découvrant des griffes bien entretenues. Comme elle ne pouvait pas se lever et marcher de long en large, elle commence à tapoter la table de ses griffes, un tapotement, qui trahissait l'agacement aïgu de la Gangrel.

Elle tourne son regard vers Alister et lui lance quelques mots dans une langue étrange, un demi-sourire sur le visage.

Alister écouta attentivement Arianne. Puis lorsqu'elle eut fini il lui adressa a la suite d'un signe de la tête.

- Je ne puis que comprendre votre position chère Arianne. Au demeurant sachez que je ne désirais en rien faire offense a votre clan. Pour le reste, nous avons tous autan que nous sommes, nos propres défauts issue de la malédiction qui nous touche.
Cela dit, je pense que je ne suis pas le moins du monde en tord.

Et si il vous est cher que nous nous mettions a travailler de concert, c'est que nous partageons alors les mêmes buts. Aussi, je laisse passer pour cette fois.
Je vous laisse seule maître de mon indigence et regrette sincèrement d'avoir fait porter le fardeau clanique a un simple emportement tout ce qu'il y a de plus individuel.

Je reste a votre disposition pour le developpement des nouvelles que j'ai précédement citées pour mon cas, mais je suis bien sur qu'il y en a d'autres parmi nous qui ont aussi avancé dans la quête qui continue de nous unir malgré de légeres divergences de point de vue.

Alister n'avait pas sourcillé une fois de plus alors qu'il discutait. C'était comme si il était en train de lire une page qu'il avait au par avant préparé.

Le député avait resté passible depuis le début de cette échange musclé entre Alister et Lise. Son humeur changea après qu'Alister est répondu à Arianne. Son regard se remplit de haine et se tourna vers Alister. Il prit la parole sur un ton sarcastique.

-Alister, car je sais que vous ne méritez pas la politesse que vous exigez de tous. Un homme aussi conservateur et arrièrer que vous devrait comprendre que les choses peuvent évoluer et changer. Si vous n'êtes pas capable de vivre dans notre époque c'est votre problème. Si vous fantasmez autant sur l'enseignement des anciens et leurs actions, c'est peut-être car vous n'etes pas capable d'assumer votre état actuel. Peut-être devriez-vous accepter votre état lamantable au lieu d'essayer d'écrasser les autres. Je suis tânné des agissements enfantin que vous causez dans cette assemblée.

-Vous êtes tellement rendu bas, que vous dénigrez le clan toréador et Arianne par le fait même. Je crois que vous devriez vous excusez devant cette assemblée pour le manque de respect envers cette institution qu'est le poste de prévôt mais aussi pour la femme qui a fait beaucoup pour cette ville jusqu'à présent. En plus, votre clan est le plus chiant des clan car vous semblez n'être capable de faire qu'une seule chose, a baissé vos semblable pour mieux prendre les rêne du pouvoir. J'aimerais aussi que vous preniez la peine de remercier Lise et Michel de l'enseignment d'humilité qu'ils vous ont donné aujourd'hui.

Le député avança lentement vers Alister avec un regard remplit de haine.

Isabelle regarda et écouta les échange autour de la table. Elle avait aussi écouté le député. Elle se leva quand il avança vers Alister. Elle prit la parole sur un ton autoritaire.

-MONSIEUR LE DÉPUTÉ, RETOURNER À VOTRE PLACE. C'EST UN ORDRE!

-Arianne, je vous demande de sanctionner votre député pour le remettre à sa place. Si c'est moi qui le fait, ça va être très douloureux pour lui.

Isabelle attendit la réaction d'Arianne.

*Arianne avait une expression découragée lorsque le député insulta Alister. Elle écarquilla les yeux lorsqu'il s'approcha du ventru l'air menançant. Elle allait prendre la parole lorsqu'Isabelle intervint. Elle attendit qu'Isabelle eut fini et acquiessa de la tête à ses ordres. Elle prit la parole sur un ton calme, mais qui ne laisse pas place à la discussion.*

- Monsieur le député, il n'est pas plus tolérable pour vous que pour un autre membre de cette assemblée de s'attaquer à un clan. Ici n'est pas l'endroit pour ce genre de choses.

*Arianne fit une pause.*

- Je ne vous ferai pas l'humiliation de vous châtier en public, seulement vous garderez le silence pour le reste de l'assemblée de ce soir, à moins qu'une question ne vous soit adressée spécifiquement. Le cas advenant, je m'attends à ce que vous y répondiez avec savoir-vivre sans vous éterniser. Est-ce clair?

Evra avait déjà un caractère impatient en cette journée et elle le cachait de moins en moins. Son regard s'était durcis alors qu'elle tappotait plus fortement sur la table avec ses faux ongles tout comme Louve. Son exaspération fut clairement lisible après l'éclatement de colère du député et les dernières paroles d'Alister. D'un voix très calme, elle décida de s'en méler avant de perdre le peu patience qu'il lui restait.

- Mettons une fin à cette conversation. Nul ne sert de plus s'acharner sur Monsieur MacEnroy et Alister...N'en rajouter pas

La voix d'Evra était anormalement autoritaire envers MacEnroy mais cela n'était qu'amical, pour lui faire comprendre qu'il devait cesser d'aggraver son cas.

- Personnellement, j'ai une question pour vous Dame Isabelle. Savez vous ce qui se passe entre Ottawa et Québec? J'ai entendu dire que les relations entre les deux villes étaient tendues. J'aimerais en savoir plus surtout qu'il ne faudrait pas que de tels désaccords retombent sur nous...

Il était évident qu'Evra avait volontairement détourné la conversation pour en arrivée à du concret...

À l'intervention d'Arianne, Michel sourit.

Vraiment? Aucun membre de cette assemblée ne devrait s'attaquer à un autre clan...

Plus les conversation allais plus André semblais avoir un aire moribon. Les intervention d'Alister lui enlevais lentement le sourir. Quand monsieur le députer intervin, on aurrais pu pratiquement lire dans les pensé d'André (criss lui en une, après on va pouvoir arrêter les connerie)

Après L'intervention d'arianne ...

On pouvais voir qu'André semblais avoir perdu toute ptience...

-Nul ne sert de punir Monsieur le DÉputer, il répondait simplement a un afront..

Ayant repris le contrôle

Hmm hmmm désolé me suis un peu emporté

On devrais essayer de rester concentré sur le sujet a l'ordre du jour au lieu de se faire chier dans des procédure verbale inutile.

*Arianne se retourna vers André et le fixa du regard. On pouvait entendre l'antipathie dans sa voix.*

- Monsieur, en parlant ainsi vous vous élevez contre mon autorité et celle d'Isabelle. Sachez que je vous en aurais punis en vous faisant subir le même châtiment que celui face auquel vous vous êtes révolté. Mais, vous avez su vous rendre compte par vous même de votre écart de conduite, alors je laisserai passer, pour cette fois. Rappellez-vous bien, monsieur, que vous êtes loin d'être juge de quoi que ce soit ici. Je ne sais pas à quoi vous avez été habitué et cela n'a aucune importance, car dans cette assemblée, vous êtes au dernier échelon, comme beaucoup ici, tâchez de vous en souvenir.

*Arianne détourna les yeux.*

- Autre chose, de votre part, je me serais attendue à un langage plus... formel. Vos emportements font ombrage à votre image.

Louve pousse un soupir d'exaspération et croise ses mains sous son menton. Elle regarde tous les membres de l'assemblée en hochant de la tête. Elle tente de changer de sujet en se levant de sa chaise :

- Au cas où ça vous intéresserait, tout se passe bien avec les garous, ils sont tranquilles pour le moment, je continue à faire mes rondes.Si vous voulez m'excuser, Je vais prendre l'air un moment.

En remettant ses gants, La Gangrel attrappe son sac au vol et sort de l'Élysium. Ah que l'air de la nuit est doux. Elle croise la personne près de la porte d'entrée, elle la salue de la tête.

Elle passe près de la Porshe de Black Jack, sans y toucher. Elle va se réfugier dans le petit boisé, histoire de retrouver son calme.

Après avoir nonchalament écouté le discours de chacun, Guillaume écarquilla les yeux en appercevant sur son écran un individu qui se déplaçait à l'extérieur. Il se leva promptement de sa chaise, laquelle tomba à la renverse

-Il y a quelqu'un à l'entrée! dit-il en pointant son moniteur

-et il s'approche de la porte...