la nuit du 24 mai 2008

Lotus fit le saut quand la chaise de Guillaume toucha le sol.
Mais eu carrément peur quand elle vue sa réaction à l'approche de
l'intrus. Lotus se leva, pris la direction de la porte et se placa de façon
à ne pas être vue quand la persone entrerai, mais se garda bien d'avoir
une libertée de mouvement pour intervenir rapidement. Son regard était
perdue dans le vide, comme si elle ne réalisait pas complètement ce qui ce
passait. Elle resta immobile attendant la suite des événements.

*Arianne lança un rapide coup d'oeil à Morgan et à son autre député. Elle appuya son tube à dessin sur la table. Elle prit la parole à l'intention de l'assemblée.*

- Attendons-nous quelqu'un?

Le député savait qu'il aurait droit à une réprimande pour son action face à Alister. Il avait entendu André prendre sa défense et lui sourit du regard. Il fit signe à André que tout était correct. Il se dirigea vers la porte d'entrée sans un mot pour aller voir ce qui se passait. Il passa près d'Arianne et lui murmura quelque chose à l'oreille.

Ensuite, il se dirigea vers l'extérieur de la salle et alla à l'entrée.

Isabelle regarda la scène se produire après son intervention. Elle commençait à être fatigué de tout ces soirées où les conversations dégénéraient. Quand Guillaume se leva de sa chaise, Isabelle garda son calme et prit la parole sur un ton rassurant.

-Vous n'avez rien craindre, si la personne qui arrive a des intensions hostilles envers nous, nous allons régler ce petit problème assez rapidement.

Isabelle regarda Guillaume, prit la parole sur un ton neutre.

-Qui est la personne qui arrive, et à quoi elle ressemble?

Isabelle attendit la réponse de Guillaume.

Alister avait été effaré de la réaction du député qu'il prenait pour un être aussi posé qu'Isabelle. Il avait apprécié qu'Isabelle s'interpose et même qu'Arianne ne tolère pas ces agissements. Néanmoins il avait compris la parabole et savait pertinement qu'il y avait un enseignement a retenir de cette altercation.
A l'annonce de la présence d'un étranger devant la porte Alister répondit comme a son habitude sur le ton de la défense a outrance.

- Bien, je n'aime pas les surprises, pas plus que je n'aime les étrangers qui rodent autours de notre lieu de réunion. Devons nous prendre les armes? Dois je appeller mes hommes?

Alister attendait une réponse que la précipitation des choses ne lui permettrai certainement pas d'obtenir.

- En tout état de cause, si c'est un invité, il est clair que j'ai d'ores et deja utiliser mon bon de sarcasme et de mise a l'épreuve pour ce soir, aussi, ne soyez pas surpris que je prenne un ton faussement acceuillant avec ce nouveau membre honoraire.

Bien sur dans le cas ou les ennemis d'Isabelle feraient surface a nouveaux, je tiens a être de ceux qui lutteront.

Alister se leva calmement, remis sa veste et la boutonna avec grands soin.

- J'ai peine a croire qu'une fois de plus je sois sorti sans armes, bah après tout je pense qu'Edison me protège. Je suis des a présent peiné d'être aussi méfiant et ceux d'entres vous qui me connaissent un peu savent que je préfère un mur de béton armé et un fusil a détection thermique plutot qu'un sourire confiant et amical.

Il sorti de son attaché-case un Taser, qu'il fit crépiter pour en vérifier la bonne marche.

- C'est peu... Mais en même temps... Que craignons nous?

Alister ferma consciencieusement sa malette et vint se place aux cotès d'Arianne comme pour la protéger.

- Je ne pense pas être un bon garde du corps, mais je suis loin d'être de ceux que l'on impressionne, aussi permettez que je prenne place a vos cotès, ne sait on jamais...
Arf, et Dame Sullivan qui est sortie... Je n'aime pas cela...

Alister resta debout la main dans la poche ce qui lui donnait un air de mondain décadent.

Michel restait accoté sur le mur, commençant à ouvrir sa veste. Il jetta simplement un regard à Lise, s'assurant qu'il se trouvait entre elle et la porte. Puis il dit :

J'espère qu'on attend quelqu'un... Sinon, y'en a qui ont pas fait leur job...

*Morgan poussa un soupir de lassitude et de colere,se prendre un vent et ces foutu connerie denfantillage commence a bien faire,elle croisa les bras un instant et puis se leva eyt pris son blouson le mettant elle dira*

Quand lassemblé deviendra interessé a ce qui se passe,faite moi signe,jen ai marre dentendre des connerie de qui a le plus gros ego,qui est meilleur que lautre bla bla bla,jmen vais prendre lair avant de tapé quelqun.

Isabelle je revien quand je serais calmé jai besoin de prendre lair.

*Puis Morgan sortie de la piece en colere et alla dehors devant lentrée,pour sen grillé une,histoire de se calmé*

Lise, satisfaite de la leçon d'humilité octroyée à Alister, ne prononça plus rien jusqu'ici... aux déformations volontaires de ses propos par le Ventrue, elle ne fit que secouer la tête, découragée par le pathétisme qui teintait de plus en plus les interventions de ce pauvre homme sur qui tout le monde avait choisi de s'acharner après qu'elle lui ait fait part du fond de sa pensée.

Lorsque Guillaume attira l'attention sur l'intrus, Lise parut inquiète. Elle regardait partout, à la recherche d'une cachette ou d'une autre issue, sans succès. La panique aurait pu la gagner à cet instant même, mais elle affichait une sérénité toute faite et souriait, béatement, devant Michel qui semblait prêt à se dévouer pour sa protection.

Le portable d'Alister se mit a sonner, ainsi l'Hymne des US Marines emplit la salle au demeurant silencieuse, Alister bien que pret a en découdre, saisi son portable dernière génération et décrocha apres avoir regarder la provenance du Numero.

- MacEnroy...
-...
- Hum, je vois, bien j'en ferai part aux membres de l'assemblée, Permettez moi de vous remercier pour l'information.
-...

Alister ponctua sa phrase par une courte citation dans une langue qui vous est inconnue.
Puis en raccrochant, il se dirigea vers sa place, sorti le taser de sa poche pour le remettre dans sa malette qu'il referma dessuite.
Il enleva calmement sa veste et la mis sur le dossier du siège de manière méticuleuse.
Après s'etre assis avec tout le mal du monde pour ne pas froisser son pantalon, il dit a l'assemblé.

- D'après ce que je sais, la personne devant l'hotel n'est pas hostile et apparement, elle vient a notre rencontre. Le député devait manifestement être au courant étant donné qu'il est lui même en train d'acceuillir ce nouvel arrivant.
Et pourtant en même temps que je vous dis cela, je dois avouer que j'ai un mauvais présentiment.
Enfin, il est clair qu'il n y a pas a douter de la véracité de mes sources.

Alister garda le silence a la suite de cela, et se tint près a acceuillir ce mysterieux invité comme il se devait. Il regarda un instant dans la direction de Lise et esquissa un sourire puis il plongea son regard sur Guillaume qui scrutait frénétiquement son écran.

*Arianne se retourna vers Alister l'air surprise. Elle lui sourit.*

- Merci monsieur de votre dévouement. Étant donné que ma député a cru bon de sortir, j'imagine pour prêter main forte à l'autre membre de mon équipe, il faut bien quelqu'un pour assurer la sécurité à l'intérieur. Mais bon, si vos sources sont bonnes, il n'y a pas à s'inquiéter. J'aimerais m'entretenir avec vous prochainement lorsque vous en aurez le temps.

*Le ton sur lequel Arianne parlait indiquait clairement qu'elle déplorait la conduite de Morgan.*

Voyant la colère dans le regard de sa mère, Mikael comprenait qu'elle n'allait pas s'excuser d'elle-même ne voulant pas perdre contrôle de sa patience, il décida ainsi de s'excuser lui même à l'assemblée pour le départ de sa mère.

- Veillez excusez le départ de ma mère, elle a besoin de décompresser et ne sentant pas sa présence requise dans cette assemblée, elle a préféré se défouler à l'extérieur...

Mikael avait du même coup subtilement fait passer le message qu'Evra n'aimait vraiment pas être totalement ignorée...

*morgan revin dans la piece un peu apres,et se rassie,visiblement ca lui a fait du bien de prendre lair,elle retire son blouson et le met sur le dossier de sa chaise,sans un mots*

Lotus ne bougea pas quand le député, Evra et Moragene passant devant elle.
Elle ne sembla pas remarquer que l'agitation se calmait. Les yeux perdus dans le
vide, Lotus ne parrassait pas affectée par le changement d'ambiance.

Guillaume sembla surmené par toute la cohue qu'il avait causée...Il prit quelques secondes pour observer la scène entre l'inconnu et le député.

-Il...Elle...Euh...l'individu est plutôt grand, mais courbé sur lui-même. Il est peut-être blessé, il semble se mouvoir difficilement...Je dirais qu'il s'agit d'un clochard mal en point...et...oh!...Il semble être irrité par la présence du député.

Il tourna ensuite son portable vers l'assemblée pour que celle-ci assiste à la rencontre entre les deux créatures.

*Arianne releva un sourcil.*

- Irrité han? Laissez-moi m'assurer de leur bonne entente.

*Arianne sortie de la salle et alla rejoindre son député.*

Paradoxe observait la scène dir un mot, il ne réagit lorsque le député insulta Alister pas plus que lorsque Guillaume annonca la présence d'un étranger. Lorsque Alister sorti son taser gun, Paradoxe sourit. Il ce pencha vers Lotus et dit:

- Tu crois que nous devrions sortir ton fer plat et ton sèche cheveux lui il a sorti son appareil pour griller les points noirs... C'est fou comme un s'amuse... Je n'ai jamais vus de réunion aussi décousu, même l'assemblée annuelle des personnes atteintes du syndrome de la tourette, le touretteux, a plus de sens...

En enttandant la voix de Paradoxe, Lotus sembla sortir de sa transe.
Elle regarda vers Alister et sembla surpris de le vori sortir cet arme.
Tournant la tête vers le reste de l'assemblée elle remarqua que tout était
calme. Elle repris place auprès de Paradoxe et lui dit ces quelques mots.

Je suis désoler Paradoxe, je ne les trainent pas avec moi.
Mais j'ai un stylo si tu veux?

Elle luitendi un stylo bille tout simple avec un garnd sourire au lèvres.
Puis réalisant qu'Évra n'est plus présente elle se lève et se dirige vers la sortie.
Son sourire avait disparue.

Isabelle était vraiment tanné de toute les raisons qui sont bonnes pour sortir de l'assemblée. Elle se leva et dit sur un ton neutre.

-Je n'ai plus rien à faire dans cette rencontre. Les gens sortent et entre comme dans un moulin. Personne ne demande vraiment la permission ou s'en foute de l'avoir. Les gens s'énervent un peu quand une personne arrive près de notre lieu de rencontre. Je fais confiance au gens que j'ai nommé pour faire la sécurité. Vous ne semblez pas être en accord avec mon choix car vous êtes tous perturbé par l'annonce de notre gardien des élysées qui à bien fait son travail. Quand les gens dans cette pièce seront plus mature, peut-être que cette ville et ses rencontres vont se passer autrement. J'espère que ce que j'ai vu ou entendu ce soir, c'était pour la dernière fois, sinon je vais vous faire comprendre qu'il y a des règles dans un élysée et il faut les respectés.

-Guillaume, je vous laisse le soins de fermer la rencontre et la salle quand les gens se seront retirés. Vous m'avertirez de ce qui c'est passé à la fin de cette rencontre qui montre un fois de plus que Sherbrooke et une ville de qui ne sait pas ce que le mot unité et groupe veut dire. Je vous souhaite une bonne soirée et j'espère que c'est la dernière fois que cette assemblée perd son sang-froid sinon, je vous promets de vous faire comprendre les règles d'usages dans notre grande famille. Au revoir.

Isabelle sortit de la salle et se dirigea vers un couloir.

Lotus qui s'était arrêter devant la porte, laissa parler Isabelle.
Puis la laissant passer, elle se tourna ver Paradoxe, un regard
interrogateur au visage.

* Paradoxe regarda Lotus et lui fin un petit signe discret en indiquant sa chaise vide, il prit le stylo et commenca a griffonner quelque chose sur un carnet de note au logo du motel. Un fois son oeuvre d'art terminé, il le place devant lui, le doigt près a fondre sur un bouton rouge dessiné au stylo *



- Ne vous en faites pas gang, la prochaine fois, j'ai l'arme parfais pour ce genre d'intrusions.

Michel écouta le sermon d'Isabelle, après lequel il dit :

Moi, j'dirais pas qu'c'est une question d'être d'accord avec son choix. Mettons qu'on est pas habitués de s'trouver dans un endroit sécuritaire.

En voyant le dessin de Paradoxe, il ne put s'empêcher de sourire.

Quoi qu'avec ça, on n'a pu à s'en soucier!

Après quoi il prit son sac, auquel était accrochée la roue de vélo, et le mit sur son épaule.

J'sais pas pour vous, mais moi, j'ai trouvé ça assez constructif, comme soirée...

S'adressant ensuite à Lise, avec un sourire en coin,

J'en conclus qu'un tour de vélo, ça vous dit pas?[/i]

Puis il sortit avec désinvolture.