La nuit du 28 juin 2008

L'usine de Shermag dans l'arrondissement Lennox est fermé depuis près de 6 mois. La rencontre va se dérouler dans l'entrepôt.

Il y a des caisses de bois et des chaises placé autour d'un table de fortune fait avec une feuille de contre-plaqué.

Isabelle était déjà là, même si les rayons de soleil était encore présent un peu sous cette voute nuageuse. Elle semblait être très contrariée. Elle attendait l'arrivé des autres.

Alister arriva dans un Mini-Van apparement neuf de Location. Lorsque la porte s'ouvrit un petit ponton descendit automatiquement. Et Alister fit la descente sur un fauteuil roulant éléctrique qui devait a voir l'appareil valoir son pesant d'or. Après avoir passé le troittoir grace aux trois roues rotative de l'engin, il entra et fit quelques mètres jusqu'a isabelle et prit place non loin d'elle. Il dit d'un air non chalant totalement déshumanisé.

- La Bonne Soirée Isabelle, je constate que votre humeur est pareille a mon état de santé, totalement détestable. Par avance veuillez excuser ce que vous allez entendre et ce a quoi vous allez assister. Il n'est pas dans mes habitudes de me fendre ainsi du cotès le plus vil de notre existence, au demeurant je pense que des eclaircissements gagneront a être évoqués ce soir.
L'endroit est lugubre et inhospitalier, il conviendra j'en suis sur aux besoins de cette soirée.
Maintenant si vous le permettez, je vais garder le silence en attendant les autres, je pense être un peu en avance.

Alister avait sur ses genoux son attache case, qu'il détacha de son poignet et qu'il ouvrit sur la table. Il le referma peu après et conserva un air strict en regardant la montre a gousset présente dans le gilet de son costume.

*puis ce fut au tour de morgan de faire son arrivé dans l'entrepot,flanqué par son molosse,elle s'avancea vers Isabelle,la salua,et alla prendre place sur une caisse en bois,et alluma une cigarette,son humeur,est pour comment dire,neutre,et froide*

* Paradoxe entra dans l'usine marchant main dans la main avec Lotus. Cela faisait longtemps qu'ils étaient séparé. Et le fait de ce retrouver enfin semblait leur apporter un grand bonheur. Paradoxe salua Isabelle avec un sourire avenant *

- Bonjour Belle-Isa, me re'vla! désolé d'avoir manquer ces dernières rencontres. J'espère tout va relativement bien pour vous.

*et sursauta en voyant Alister *

- Woh!!! mon cher, qu'est-ce que c'est que cé qui vous est arrivé??!?!? Vous êtes tombé amoureux au grand prix de Montréal???

* Il n'y avait pas de méchanceté apparente dans ses propos mais semblait réellement surpris de voir le ventrue dans cet état.*

Alister sourcilla a l'exclamation du malkavien, puis avec une certaine empathie dans le regard, il lui répondit.

- Bien pire que cela Paradoxe, il semblerait que cette fois ci, je soit tombé dans les exces les plus bas de notre condition. Ceci n'est guere qu'un artifice, rassurez vous. Bien que les blessures furent réelles, il n'est plus guere utile que pour justifier auprès de mes hommes qui m'ont vu gravement blessé une certaine continuité dans l'évolution de mes blessures voyez vous.

Alister salua néanmoins le malkavien de la tête.

- Laissez moi ajouter que cela faisait fort longtemps et vous vous êtes assurément privé de beaucoup de nos querelles habituelles, j'espere que vous aurez a coeur d'en savoir plus a ce sujet, car c'est présentement la raison de notre réunion de ce soir.

Alister invitant d'un geste Paradoxe et Lotus a prendre place, il en devint dessuite après silencieux.

En arrivant devant l'usine abandonnée, Louve était prête à tout. Elle ne regrettait pas son geste et allait totalement l'assumer . Ces deux semaines de retraite lui avaient fait du bien. Elle avait cet air confiant quand elle est entrée à l'endroit prévu pour la réunion. Elle marche d'un pas assuré et regarde tout le monde au passage.

- Bonsoir à tous.

Elle tourne la tête et s'arrête pour saluer respectueusement Isabelle de la tête sans la quitter des yeux :

- Bonsoir Madame.

Louve alla s'asseoir au bout de la table en silence, les mains croisées sous son menton. Elle jeta un regard distrait en direction d'Alister, puis retourne à ses pensées. Bien qu'elle fut très calme, la Gangrel semblait préoccupée.

Lotus pris place aux côtés de Paradoxe et observa les gens entrés les uns après
les autres. Elle semablaient d'huemur asser joyeuse, ce qui contrastait avec certainnes
personnes de l'assemblée. Elle salua gaiment tout les nouveaux venus.

Son habillement, aussi extravageant que d'habitude jettait une touche de couleur
dans l'assemblée.

* Paradoxe écoutait Alister en hocha la tête. *

- Alors vous n'avez plus vraiment besoin de la chaise! Alors je peu en faire des farces sans trop vous insulter, c'est cool.

* Paradoxe sourit*

- Pour ce qui est des querelles, ça ne m'interesse pas de savoir que certains ont pu ce lever du PIED gauche. J'aime mieux quand les réunions vont comme sur des ROULETTES. Mais si il y a des nouvelles interessantes, je MARCHE.

Une autre moto arrive à proximité et se stationne. Lise et Michel en débarquent.

Lise salua tous les membres de l'assemblée d'un signe de tête accompagné d'un doux sourire. Ayant fait le tour des gens, elle regarda ailleurs, une main devant la bouche.

Michel salua l'ensemble des gens d'un simple :

Yo.

Lise semblait d'assez bonne humeur. Son sourire était radieux. Lorsqu'elle posa les yeux sur Jack, elle le regarda plus longuement, le dévisagea un instant, son sourire s'accentuant davantage.

Elle posa ensuite son regard sur la chaise roulante d'Alister, fronça les sourcils, perplexe. Elle demeura discrète, toutefois, ne passa aucun commentaire et laissa errer son attention ailleurs.

Elle remarqua Evra, constata son état d'esprit, et inclina la tête en signe de compassion profonde. Puis, lança aux fils, à tout hasard:

- Monsieur William ne vous accompagne-t-il pas?

Après quelques instants au cours desquels il semblait apprécier la caisse sur laquelle il était accoté, il s'adresse à Alister.

- Nouvel engin, homologue?

Alister tourna la chaise a 45° vers Michel et répondit d'un air froid mais légèrement cynique.

- A n'en point douter, si vous y goutiez je suis certain que vous abandonneriez sans tarder votre motocylclette de grosse cylindrée. C'est a se demander si je ne vais pas la garder pour le reste de ma non vie....

Alister fixa Michel un instant et laissa passer quelques secondes sans rien dire avant de reprendre sur son ton habituel.

- Cela froisse odieusement mes costumes et me fait passer pour un faible tout en me donnant un air vaguement sympathique. Les humains pensent réellement que les handicapés sont plus aimables que le reste de la population.
De ce fait, pour ces deux raisons aussitot finie ma soit disant période de repos ordonnée par mon médecin traitant que j'ai totalement dominé.
Je me débarrasserai volontiers de ce caddie encombrant et de l'air idiot et négligé qu'il me donne.
Au passage je suis ravi qu'il vous plaise d'autan que le prix de ce chariot suffirait a subvenir aux besoins d'une famille modeste pendant des mois.
Je pense que vous me pardonnerez de ne pas avoir choisis le modele qui clignotte, chante "Petit Papa Noel" et lance des feux d'artifices...

Alister fit a nouveau un quart de tour en sens inverse avec sa chaise pour se remettre correctement a table.

Lise tiqua, regarda Michel, puis Alister, puis Michel à nouveau... puis enfin Alister... Elle regarda au final ailleurs... laissant glisser tout bas:

- En effet... fort vaguement...

Elle se mordit la lèvre inférieure, et pris un siège sur une caisse de bois, installée bien droite dans sa robe, ravalant ses paroles...

Alors qu'Alister mentionnait que de l'essayer, c'est l'adopter, Michel se mit à rire. Se reprenant pour la suite, qu'il écouta, l'air tout autant amusé.

- C'est vrai que l'air qu'y vous donne n'est pas sans sympathie. On pourrait presque dire charmant. À vous voir ainsi, j'ai du mal à comprendre pourquoi votre médecin ne vous a pas mis au repos à vie...
Je suis bien ravi que vous admettiez l'erreur de n'avoir pas choisi le meilleur modèle... Mais j'peux vous le peinturer, si ça vous dit?

* Écoutant la discussion entre Alister et Michel, Paradoxe dit: *

- Wow! il a l'air super l'autre modèle! si vous avez besoin d'un opposant pour des courses dans le quartier, achetez le moi et le party est pogné!

* Disant tout bas pour lui même.*

- Wow... Petit papa noel... James Bond peu aller ce rhabiller

* Ce retournant a nous vers Alister avec un air innocent *

- Y' en a avec des spikes, une glacière et un prise pour le Ipod?

Alister tourna encore son fauteuil en direction de Michel dans un léger bruit de mecanisme électrique.

- En effet, ce n'est pas le modele toutes options, mais je préfere cela. Pour ce qui est de vos ouvrages artistiques, je les laisse volontiers pour le moment servir d'urinoir aux clochards sur les murs des quartiers crasseux de notre bonne ville.
Pour ce qui est de mon Médecin, il aurait tout autan pu me dire qu'il avait une personne a interner d'urgence car souffrante de schizophrénie manifeste et se créant une personnalité de rebele étant donné que je lui dictais ses pensées.
Enfin, pour l'air sympathique, je le prends comme un compliment rassurant, converser avec vous est toujours un plaisir amère auquel je ne manque pas de m'adonner, même si pour cela je suis forcé de vous écouter.

Puis Alister se tourna en direction de Paradoxe.

- Hélas mon ami, d'autres projets nécessite cet investissement, au demeurant, je tacherai de faire bonne figure en votre honneur pour la fête du 4 juillet.
Quant aux courses, c'est une habitude qui m'est passées, le confort des limousine use assez rapidement le frisson des voitures de sports ou des motocyclettes, cela est souvent le signe de la fin de l'adolescence.

Michel se repositionne, faisant alors face à Alister. Il affichait un léger sourire.

- Je vais retenir votre proposition quant à l'urine des clochards de cette ville, homologue. Je suis persuadé qu'elle a plus de vision artistique que votre chère personne.
Pour votre médecin, il doit bien être faible d'esprit, à vous laisser ainsi lui dicter ses pensées.
Aussi, je suis bien content de pouvoir vous offrir ce plaisir... Mais je suis peiné que vous considériez être forcé de m'écouter... Ne serais-ce pas préférable si vous pouviez rester isolé dans votre demeure, à ignorer le reste du monde?

- Je vous en pris... Cette discussion mène nulle part et je doute fort que Dame Isabelle est d humeur a cela, il y a des choses très importantes à discuter sur ce qui a eu lieux le 15 juin au soir.

- J aimerais que tous soient conscient que la ville de Sherbrooke est dans l eau chaude et que nous devons nous tenir les coudes plutôt que de ce chamailler. S il vous plais, veuillez vous abstenir de certain conflit, je vous en remercie de le faire pour nous tous !

* Paradoxe lève les sourcils et regarde Jack *

- Il est arrivé quoi le 15 juin? l'ouverture du 49e Congrès eucharistique internationale à Québec?

Lorsque Lise posa la question sur William elle eut droit à un regard presque noir de toute la famille...De toute évidence, elle venait de toucher au sujet qu'elle ne devait SURTOUT pas toucher. Elle répondit sèchement à Lise.

- William n'est pas toujours là...C'est loin d'être la première fois qu'il ne m'accompagne pas alors je ne vois pas la pertinence de poser cette question.

Evra n'en dit pas plus...Elle semblait d'une humeur encore plus massacrante qu'Isabelle. Elle retourna aussitôt dans son silence alors que Mikael entoura son bras autour des épaules d'Evra pour la réconforter.

Lise haussa les sourcils, visiblement touchée par le drame que pouvait vivre actuellement la famille Von Horstën, quel qu'il puisse être.

- La pertinance était seulement que ... Je... je ne voulais pas... mille pardons... Il... il a...? Il n'a pas...?
Puis après une interminable seconde elle reprit, pour elle même...

- À quoi bon...

Lise parût ensuite fixer un point devant elle et plisser les yeux devant les images mentales qui défilaient dans sa tête. L'expression de son visage paraissait si terrassé, soudain.

*Arianne arriva dans la pièce. Elle était, malgré la chaleur, plus habillée qu'à son habitude. Elle portait de longues bottes chics et de longs gants. Elle portait une robe à col roulée si bien qu'on ne voyait presque pas sa peau sauf au niveau du visage. Elle était d'ailleurs un peu plus maquillée qu'à son habitude. Cependant, elle portait toujours son tube à dessin. Une femme qui parraissait un peu plus vieille qu'elle (mi-vingtaine) la suivait. Elle salua les gens présents dans la pièce, en portant une attention particulière à Isabelle à qui elle fit un sourire. Elle lança un regard furtif vers Evra, mais ne s'attarda pas. Elle prit place près d'Isabelle.*