La nuit du 28 juin 2008

* Paradoxe écoutait les débats et explications qui avaient lui dans l'entrepôt, sur les paroles de Alister ...

Citation :

Alister a dit : ...si cela est dans les projet de Quebec de faire de nous les cibles de la colère injustifiée de ses membres.

... Paradoxe retire sa main de sous celle de Lotus et ce met à applaudir, comme un spectateur ayant apprécié la dernière réplique de l'acteur au théâtre. Ne remarquant pas les regards de désapprobation et de surprise autour de lui (ou les ignorant) il replace ses mains sur ses genoux et continue son écoute avec les épaules un peux avancer et les yeux grands ouverts essayant de mieux entendre la suite.*

Anne-Marie avança un peu vers les gens en voyant le visage d'Isabelle se crisper sous la colère et la rage qui bouillonnait en elle. Elle regarda les gens dans la pièce et dit sur un ton autoritaire.

-Les gens qui sont ici ce soir, pour ce faire juger ne devrais pas pousser leur chance un peu trop loin. Je crois que mettre Isabelle en colère n'aidera pas votre cause, au contraire, vous êtes déjà plus enclin à souffirr de cette affront envers tous les postulaires de la ville de Québec et de Sherbrooke réunnient ce soir dans cette salle. Je suis attristé que ce jugement ne se soit pas passé à Québec. Il y a longtemps que des gens dans cette pièce ne dirait pu un mot. Isabelle est vraiment clémente, je lui demande la permission de châtier MacEnroy pour son manque de respect en vers vous et le manque de respect à notre intelligence à tous. Il devrait souffrir longtemps pour avoir pris la parole après son propre jugement. Tous le monde ici a comprit qu'il désir vous pousser à bout pour que vous commettiez un erreur et qu'il puisse vous le reprocher par la suite. Isabelle, donnez-lui ce qu'il désir, la mort pour le crime de Louve et pour lui-même, qu'une insulte pareil et manque de savoir vivre ne se reproduise plus dans aucune Camarilla. Si Arianne ne veut pas le faire je suis prête à le faire.

Anne-Marie arrêta de parler et fit signe à Emmanuel de s'approcher lentement d'Isabelle. Elle ne voulait pas que ça dégénère.

*Arianne baissa les yeux vers le sol un moment et serra les poings. Elle grimaça légèrement de douleur une seconde ou deux, puis elle releva la tête après une courte hésitation et regarda la Shériff de Québec. Elle lui parla calmement sans animosité ni arrogance.*

- Sauf votre respect madame, permettez-moi de commenter vos propos. Je ne crois pas qu'il soit nécessaire de supplier Isabelle de rendre jugement, ni de lui suggérer aucune peine. J'ai pleine confiance en elle, et encore plus dans les circonstances présentes. J'attendrai sa décision, et comme le veut ma positon, l'exécuterai comme il se doit. Si vous voulez réparation pour l'affront que vous croyez que ces deux personnes vous font, alors demandez-le. Cependant, je vous demanderais de laisser Isabelle décider seule de ce qui doit être fait, pour eux comme pour la ville.

*Arianne fait une pause avant de reprendre avec moins d'assurance.*

- Leur attitude est certes combative, cependant, ils sont les seuls défenseurs de leur cause qui soient entendus ce soir. Les manières de leur discours sont peut-être inadaptées à la situation, mais peut-être n'ont-ils seulement pas eu la chance de recevoir la meilleure des éducations. L'essentiel de leur discours n'est pas dénudé de sens et je crois qu'ils peuvent bien clamer leur inoncence tant qu'ils le veulent, ce sera à Isabelle d'en juger. Voyez, ce soir il y a quelque chose de fort intéressant ici, malgré tout affront qu'il peut avoir été commis. Longtemps j'ai entendu à Québec ou ailleurs parler de Sherbrooke comme une Camarilla désunifiée, cependant, ce que je vois ce soir, c'est tout le contraire. Je vois deux membres dans une mauvaise position qui se tienne et qui se défendent. Cependant, je réitère encore une fois ma position, je ferai tel qu'Isabelle commandera. Et j'attendrai, si elle le désire, qu'elle me demande mon opinion avant de me prononcer sur ce qui se passe ce soir et ce qui s'est passé cette fameuse nuit.

*Arianne avait parlé calmement, mais on pouvait déceler la nervosité chez elle, ou peut-être la peur.*

Isabelle semblait vraiment sur le point de tuer tous le monde. Elle sembla reprendre des couleurs quand Arianne prit la parole. Elle fit signe à Emmanuel de rester loin d'elle, il s'exécuta sur le champ. Elle prit la parole sur un ton autoritaire teinté de colère.

-Je remercie les gens qui viennent de prendre la parole. Je crois que la plus part des gens dans cette pièce ne comprennent même pas la situation ou encore pense la comprendre, mais je peux vous dire que vous vous trompez tous. Ce soir, je n'ai jamais eu autant envie d'éliminer des gens. Je ne veux pas détruire le projet de monsieur De La Verra. Alors je vais me contrôler. Je vais donner ma décision dans peu de temps, mais je vais encore une fois être pédagogne, pour que vous compreniez c'est quoi la camarilla et que vous n'agissiez jamais comme Alister, ou ce qu'il a l'intention de faire dans l'avenir.

-Louve n'a pas respecté la deuxième tradition, celle du domaine. On se fout de la raison et des choses qu'ils l'ont poussé à le faire. Elle est coupable et mérite un châtiment pour cette affront à notre institution ainsi qu'à la parole de monsieur De La Verra et la mienne. Elle n'a pas réfléchit à ses paroles et c'est contre dit à plusieurs reprise dans cette assemblée. C'est aussi me manquer de respect et manqueé des respects à tous les gens dans cette salle. La vérité est une chose primordiale dans une situation pareille. Elle subira un châtiment mineur pour cette affront.

Isabelle fit un pause et reprit la parole sur un ton autoritaire.

-Louve je vous condamne pour la première offense à vous faire arracher les griffes de la main que vous vous servez le plus. Vous ne pourrez pas guérir ses blessures avant deux semaines. Alister sera chargé de vous surveillé sur ce point et de faire un contre rendu à Arianne. Si vous ne respecté pas cette punition. Elle vous sera refaite dans deux semaines. Arianne va vous arracher les 5 griffes et les bruler au fer rouge. Pour ce qui est de votre manque de cohérence, vous devez une dette mineur à notre gardien des élysées, pour ce manque de respect à mon égard et à l'égard de tous.

-Pour ce qui est d'Alister, je me fous vraiment de votre sécurité personnelle, si vous n'êtes pas capable de vous défendre c'est votre problème, mais dans un situation comme la dernière fois. C'est les responsables de la ville qui s'occupe de la sécurité comme si la sabbat nous attaquait ou les anarchs. Si vous voulez vous débrouillez seul et vivre votre vie en dehors de nos lois, faites le, mais pas dans cette ville, es-ce que je me suis fait entendre. Vous devez aussi une dette mineur au gardien des élysée pour votre manque de respect à mon égard, et aussi pour avoir perturbé le bon fonctionnement de cette assemblée. Je demande la même chose à Michel, une dette mineur au gardien des élysées pour avoir perturbé la soirée.

-Es-ce que je suis assez clair ou une personne aimerait donner son opinion, soit sur la soirée du 14 juin, ou bien sur la soirée de ce soir. J'aimerais vous entendre pour savoir si je devrais être plus sévéres ou juste pour donner votre opinion comme Alister aime tant la donner.

Isabelle regarde Arianne et dit sur un ton vraiment froid.

-Je te remercie de prendre leurs défense, mais dans peu de temps, tu ne pourras plus le faire.

Isabelle attendit de voir qui voulait prendre la parole.

* Paradoxe leva la main comme un écolier voulant demander la parole a la maitresse d'école.*

Isabelle regarda Paradoxe avec un sourire sur les lévres. Elle prit la parole sur un ton neutre.

-Vous pouvez prendre la parole Paradoxe. Je vous remercie pour cette attention à mon égard.

Isabelle attendit les paroles de Paradoxe.

*Arianne soutint le regard d'Isabelle lorsque celle-ci lui adressa la parole. Elle sembla vouloir répondre, mais se ravisa et détourna le regard pour le poser sur Alister, puis sur Louve. Elle reporta ensuite son attention sur les gens de Québec. Elle se tenait bien droite, tendue.*

Lotus envoya un regrad empli de question vers Paradoxe.

* Paradoxe abaisse sa main et dit:*

- Comme vous le faites souvent remarquer, l'assemblée ici présente est composée de jeunes qui peuvent ne pas tout savoir sur les règles en vigueurs. Pouvez-vous spécifier, ou expliquer, ce qu'est une dette mineur. Afin que personne de crois que s'acquitter d'une dette mineure ce n'est qu'être obliger donner le beurre a celui qui le demande ou passer la tondeuse chez sa mère. Je crois que ces précisions pourrait permettre au chacun de nous de comprendre mieux cette sentence.... *rajoute timidement plus bas* en tous cas moi... dette mineure, moi, ça ne me dit rien...

De plus, je n'ai qu'un petit commentaire sur la sentence de Louve, je la transmets en toute humilité. Mais couper les griffes de Louve, un excellent moyen de défense qu'elle possède. Ce n'est pas un peu imprudent sachant que nous somme surveillé. Si nos ennemis le savaient, ils pourraient profiter de cette sentence pour mettre leurs plans en action. Non pas que Louve est la seule personne en ville à pouvoir les repousser mais elle est un bon atout.
Je n'ai plus à questionner votre jugement je voulais juste vous faire partager cela...
marci m'dame... et j'ai plus rien a dire... enfin ... plus rien d'utile...sauf peut-être... euh... non, j'ai plus rien a dire ... d'utile....

Isabelle avait écouté la question de Paradoxe. Elle la trouvait pertinente et donna suite à sa question. Elle prit la parole sur un ton neutre.

-Paradoxe, pour ce qui est de la sentence de Louve, elle a une autre main pour se battre et nous pourrions lui permettre de mettre fin à sa sentence si la ville était vraiment dans une situation difficile. Pour l'instant, personne ne semble vouloir s'en prendre à nous et si c'est le cas, nous pourrons reconsiderer la situation.

Isabelle fit un pause avant d'ajouter.

-Pour ce qui est des dettes de prestations dans la Camarilla, il y a la dette mineur, la dette majeur et la dette de vie. La dette mineur n'affecte pas vraiment la situation de la personne qui contracte cette dette. On peut demander un somme d'argent pour réparer la faute, ou bien demander d'être appuié dans une proposition à soumettre à l'assemblée. Pour ce qui est de la dette majeur, c'est plus contraignant, c'est souvent de remplacer la mort d'une goule par un de ses goules, ou bien me céder une partie de sa fortune ou bien de ses terres. Apporter les ressources nécessaires pour aider a gagné un conflit. Pour ce qui est d'une dette de vie, la dette se termine quand la personne qui réclame trouve que celle qui donne à donnée suffisament pour payer sa dette. Sa peut-être énorme et jusqu'à donner sa vie pour réaliser la demande du réclameur. Ce types de dette ne doit pas être prit à la légère. Il est vrai que le principe de dette de prestation se perd avec le temps. Pour tant c'est une façon de faire qui a fait ses preuves.

Isabelle fit une dernière pause avant de conclure.

-J'espère que j'ai répondu à vos questions Paradoxe, pour ce qui est des autres personnes dans cette pièce, es-ce qu'il y a une personne qui aimerait rajouter quelque chose.

Isabelle attendit la suite de évenements.

Anne-Marie avait entendu la réplique d'Arianne qu'elle trouva très déplacer et qui était vraiment incompréhensible. Elle avait aussi écouté la sentence d'Isabelle. Elle prit la parole sur un ton courtois.

-Madame Isabelle, je crois que votre décision est vraiment à la haute de votre sagesse, la ville de Québec s'ennuie de votre savoir et je suis certaine qu'elle aimerais vous retrouver dans un avenir proche. J'espère que vous considérez cette offre lors que vous passerez vos pouvoir à madame d'Archer. Je crois que ça se passe dans deux semaines si je ne me trompe. Je suis certain que monsieur De La Verra et madame Desbiens aimerais continuer à travailler avec vous si vous le désirez. Je vous remercie de vos paroles et de votre enseignement ce soir, pour ce qui est des deux membres de ma ville, ils seront jugé par notre Prince dans la semaine à venir. Je vous remercie encore. Et je souhaite un long règne à madame D'Archer.

Anne-Marie regarda Arianne avec un sourire sur les lévres.

*Arianne s'adressa à Louve, respectueusement.*

- Vous pouvez vous détendre, madame, pour le moment. L'humiliation publique ne fait pas partie de votre sentence, aussi elle ne vous sera pas appliquée ici. Nous nous déplacerons dans un endroit approprié avant la fin de la nuit.

*Arianne se retourna vers Anne-Marie, un faux-sourire sur les lèvres. Elle répondit sur un ton courtois.*

- Merci de votre si charmante attention, madame. Cependant, je crois que cette anonce aurait sans doute été mieux faite si, comme cela aurait du être, elle avait été faite officiellement par Isabelle. De plus, si vous n'êtes vous-même pas certaine de la date de l'événement, je vous prierais madame de ne pas vous avancer sur ce point. Mais passons, cela n'a pas une si grande importance. Pour ce qui est des avis de notre Prince et de madame Desbiens, vous me rassurez. Isabelle a prouvé mainte fois sa place à Québec et que ces deux personnes souhaitent qu'elle quitte et coupe toute relation m'aurait réellement étonnée.

*Arianne fit une pause.*

- Laissez-moi vous demandez de mettre à ma disposition Emmanuel un certain temps cette nuit. Comme vous êtes venue ici ce soir pour m'assister, je crois que ce ne devrait vous causer aucun problème?

Après avoir garder le silence la grande majorité de la soirée, Evra décida qu'il était temps pour elle de s'adresser à l'assemblée. Elle se leva et posa ses yeux bestiaux, qu'elle avait depuis le début de la soirée, vers Isabelle attendant que celle-ci lui laisse le droit de parole. Une fois que ce fut chose faite, elle s'avança silencieusement avant de prendre parole. Sa voix était froide et sans émotion.

- Dame Isabelle, je m'interroge sur un fait qui s'est passé lors de cette soirée. Beaucoup de gens semblent avoir remis en question le jugment de notre maitre des élysées, Monsieur Guillaume, lors de cette soirée. Et, selon les informations que j'ai reçu et aussi que j'ai entendu ce soir, je réitère cette inquiétude qui ne fut aucunement abordé. Je ne remet pas en cause vos décisions vis à vis Dame Louve ni Monsieur MacEnroy, toutefois, je ne crois pas qu'ils aient été les seuls en cette soirée à manquer de jugement. Vous savez Dame Isabelle, le respect et l'estime que je possède pour Dame d'Archer mais, il n'en reste pas moins, qu'en cette soirée, elle avait perdue ses facultés durant une période plus ou moins courte ce qui fait que je m'interroge sur la décision de Monsieur Guillaume qui a décidé de tout de même laisser Monsieur MacEnroy entre les mains de notre prévôt qui a pourtant eu un malaise dont la fin n'était pas assurée. Même si Dame d'Archer SEMBLAIT avoir repris ses esprits, personne dans cette soirée à ce que j'ai su et entendu ce soir ne s'était ASSURÉE de ce fait. Ce faisant, il serait bien d'entendre les motivations de Monsieur Guillaume face à cette décision. Il est un des rares statués en cette ville et nous devont tous pouvoir faire confiance aux capacités de jugement de ceux-ci, savoir que peu importe la situation, ils la traiteront tous avec gravité et professionnalisme. Si Dame d'Archer n'avait pas été au bout de ce malaise et qu'elle aurait tout de même pris la charge de Monsieur MacEnroy, s'aurait pu être un danger non seulement pour Monsieur MacEnroy, mais pour elle aussi.

Evra avait entretemps posé son regard sur Guillaume, de toute évidence, gardant sa pose fière ne se cachant aucunement de la perte d'estime qu'elle avait eu pour cet homme.

- Sur ce, je crois que cette précision éclairera beaucoup de gens dans cette salle sur les motivations de notre maître des Élysées en cette soirée, qui je le précise, est venu à mes oreilles jusqu'à Washington...

Evra fit un regard de salle démontrant qu'elle n'était pas très heureuse et plutôt inquiète de la tournure des événements lors de cette soirée. Suite à cela, elle fit un signe de tête respectueux vers Dame Isabelle pour la remercier de lui avoir laissé la parole et retourna s'assoir.

(HRP: Considérez qu'Evra a répondu SUITE à la réponse d'Isabelle acceptant son droit de parole.)

Alors qu’Evra prend la parole, Foxy bouge la tête frénétiquement, allant d’Evra, à Guillaume, à Evra, … Elle serre les poings à plusieurs reprises et lâche sur un ton exaspéré et paniqué.

- Quoi?... Hein?!... WTF?! Voyons donc M’dam Evra! J’tais avec lui tout l’temps… Y a fait c’qui fallait. (elle se lève) Y étais pas pour désobéir à Arianne lui avec… Common, c’est toi qui m’a montré ça, que l’obéissance…

Pis elle s’arrête, figée et jette un regard tout autour. Elle s’arrête sur Guillaume, et Isabelle…

Sur un ton plus à l’attention d’Isabelle (et surtout de Guillaume) :
- Scusez, j’farme ma gueule promis

Et elle s’assit, les poings toujours crispés.

Michel avait eu l'air éberlué par certaines récentes interventions. Puis, sans demander la parole, il s'adresse à Isabelle.

- Oui, m'dame. Merci m'dame pour vot' jugement.

Anne-Marie regarda Arianne avec le même sourire sur les lévres. Elle prit la parole sur un ton courtois.

-Madame D'Archer, il me ferait plaisir de vous prêter mon député, si celui-ci le veux bien. Je ne voudrais pas aller contre sa volonté. De toute manière, j'ai déjà hâte que cette ville ne soit plus associée à la merveilleuse camarilla de Québec. Excuse-moi, je me laisse emporter par mes sentiments. Veillez m'excusé madame Isabelle, je ne voulais pas vous manquer de respect. Pour ce qui est de mon député, vous pourrez lui demander à la fin de cette rencontre, madame D'Archer.

Anne-Marie semblait à l'aise avec la situation.

Isabelle écouta les répliques des deux prévôts. Elle écouta aussi celles des autres par la suite. Elle prit la parole sur un ton neutre.

-Merci mesdames pour ce spectacles distraillant, pour ce qui est de Michel, je te remercie pour ta réponse. Pour ce qui est de madame Von Hörsten et de Foxy, je crois que c'est la partie qui reste à régler avant de mettre fin à cette rencontre. Je demanderai à Guillaume de bien vouloir donner sa version des faits, pour qu'il se défende aussi. Je crois que c'est la moindre des choses que Guillaume puisse se défendre.

-La parole est à Guillaume.

Isabelle attendit la réponse de Guillaume.

(HRP: Juste le souligner en majuscule:

CE FAISANT, IL SERAIT BIEN D'ENTENDRE LES MOTIVATIONS DE MONSIEUR GUILLAUME FACE À CETTE DÉCISION

Je crois qu'Evra a spécifié qu'elle désirait entendre la défense de Guillaume, j'aimerais juste le respécifier car il est désappointant de se faire reprocher quelque chose qui a été fait. Merci de votre compréhension à tous. Si je réagis ainsi c'est que ce n'est pas la première fois que cela arrive.)

Guillaume se leva douvement de sa chaise. Il semblait songeur puis regarda Evra avec un sourire.

-Madame, premièrement sachez que plus les histoires et les rumeurs voyagent rapidement plus elles se déforment et trahissent réellement les événements et les faits. Ce qui semble être le cas présentement. Je vais donc rectifier le tir pour que vous puissiez renseigner vos informateurs des faussetés qu'ils colportent.

Il fit une pause de quelques secondes. Il commença à marcher lentement, s'avançant vers Evra. Arrivé près d'elle, il se tournera vers l'assemblée.

-Certes il est vrai que j'avais moi-même remarqué la distorsion mentale dont souffrait Madame D'Archer. Or, ce que vos contacts ont semblé oublier Madame Von Hörsten c'est qu'Arianne se considérait encore prévôt et sous les ordres de Isabelle de surcroît. Donc, selon mon JUGEMENT elle était encore apte à contrôler la situation épineuse qui venait de surgir. Cet éclaircissement vous satisfait? rajouta-il tout en continuant de regarder l'assemblée

Evra fit un signe de tête vers Guillaume avant de lui répondre.

- Je ne crois pas que cela soit à moi de juger sur votre jugement ou non. Il en revient à Dame Isabelle de juger si oui ou non vous avez bien fait. Toutefois, Monsieur Guillaume, je vous invite à étudier les différents troubles mentaux dont les vampires peuvent être momentanément victimes suite à une attaque. Certains nous laisse totalement conscient de notre personne, de nos statuts et des ordres sous lesquels nous sommes, mais cela ne veux pas dire pour autant que dans cette situation nous avons toute la rationnalité nécessaire pour bien juger ce qui est nécessaire de faire dans une situation aussi délicate. Certes, si mon jugement me dit que vous auriez du prendre le contrôle de la situation dans le respect de vos fonctions et responsabilités, il reste que mon jugement n'est pas le vôtre. Je laisse à Dame Isabelle le soin de considérer mes inquiétudes et votre motivation pour considérer s'il y a eu manque de jugement. Toutefois, cela n'est aucunement dans mon intention de vous voir perdre votre poste, seulement que vous réalisiez que cette décision aurait pu être dangereuse pour la ville, plus que si vous aviez pris la situation en main ou tout du moins, si vous vous étiez assurer HORS DE TOUS DOUTES que Dame Arianne avait retrouvé toute sa tête.

Evra posa ensuite son regard vers Foxy, un regard désapprobateur.

- Dame Foxy, si vous avez des désaccords avec mon point de vue, sachez que je suis toujours ouverte à la conversation. Certes, je vous ai appris que VOUS devez constamment suivre les ordres des statués de la ville, tout comme toutes personnes ici qui n'a pas de statut. Toutefois, en sa qualité de maître des Élysées, Guillaume peut décider de passer outre l'ordre du prévôt s'il considère que cet ordre manque de jugement ou encore que cet ordre ne serait pas sécuritaire pour la ville. Ce soir, j'ai seulement voulu apporter les inquiétudes de bien des gens sur cette décision, est-ce que cela veut dire que Monsieur Guillaume est incapable dans sa qualité de maître des Élysées, aucunement et en aucun cas cela a fait partie de mes pensées. Je crois seulement qu'il aurait du agir plus que par une simple approbation d'un ordre donné par la prévot.

Evra se tut immédiatement après laissant la parole à d'autres qui aurait une opinion a émettre...

Isabelle avait écouté les paroles de Guillaume et celle d'Evra. Elle prit la parole sur un ton neutre.

-Madame Von Hörsten, je crois que vous avez raison de vous en faire sur ce point. Il est certain que Guillaume aurait pu prendre les choses en main dans cette soirée. Il semble que les choses se sont passées si vite qu'il n'a même pas eu le temps de faire les choses que vous lui avez conseillé. Il y a des gens qui espéraient profiter du moment de réflexion de Guillaume pour faire à leurs tête, et c'est gens ont eu leurs sentences ce soir dans cet Élysée. Je ne crois vraiment pas que Guillaume n'est pas compétent dans son travail, je crois qu'il y a des gens qui ont profité de lui. Je suis satisfait de Guillaume pour le travail qui fait dans les Élysées et de toute, manière la ville de Sherbrooke va avoir un nouveau dirigeant dans deux semaines, soit Arianne D'Archer. Alors quand se sera fait, Arianne nommera les gens qu'elle veut au poste de la ville. Pour ce qui est de Guillaume pour le moment, je crois qu'il n'a pas pu faire son travail efficacement à cause de la vitesse à la quelle toute les événements ont défilé à la fin de cette soirée.

-J'aimerais vous invité au couronnement d'Arianne, ça va se passer au Manoir Hoovey, le 5 juillet à 22 heures.

-J'aimerais conclure cette rencontre avec les excuses officiel de monsieur MacEnroy envers Alex.

Isabelle attendit la fin de cette rencontre.

Lotus écouta sagement tout le monde. À la proposition d'Isabelle de finir bientôt la
réunion, le regard de Lotus s'ilumina et elle se pencha vers Paradoxe pour lui glisser
un mot.