Nuit du 18 août Élysée

(Voici une description de l'endroit pour évité les confusion. En entrant par la porte principale de l'hôtel, on arrive au rez-de -chaussé à la réception. Dans les étages, il y a les chambres et salles de conférence ainsi que le bureau d'Arianne. Au rez-de-chaussé se trouvent certains locaux administratifs et des locaux d'entretien. Lorsque vous vous présentez à la réception, un homme vous accompagne à un escalier qui est derrière une porte double coupe-feu dans un couloir à pas plus de 4 mètres à gauche de la réception. La double porte coupe-feu mène directement aux escaliers qui descendent au premier sous-sol qui donnent aussi directement sur une deuxième porte double coupe-feu. Derrière cette dernière porte, donc au premier sous-sol, se trouve la salle où s'est déroulé le dernier élysée. C'est une grande salle meublée de divans et de tables basses et une grande table de conférence entourée de plusieurs chaises, décorée avec goût, mais sobre. Sur un mur près de la grande table se trouve deux blasons arborants les armories de deux familles. Je vous prierais de bien identifier l'endroit où vous vous trouvez si jamais vous vous déplacez dans l'hôtel. Si vous avez besoin de plus de détail, envoyez-moi un mp et j'ajouterai à la description.)

*Arianne attend les membres de sa ville, elle semble fatiguée.*

*ce fut Morgan qui arriva la premiere ce soir,silencieuse et l'air un peu defaite.
A son arrivé,l'homme vien a sa rencontre et elle le suis jusque a la salle qui a été prevue pour la soiré,le tout en silence.
Elle appercoit Arianne,elle la salut poliement et va se prendre un siege sans trop de conviction ni de motivation.
Elle retire son blouson le pose sur le dossier de la dite chaise,croise les bras devant elle et pose son menton dessus,dans un visage froid,et silencieux,pas meme le gout de dire des vacherie ou quoi que ce soit,et elle attend.*

*Arianne dévisage Morgan un moment.*

- Tu as de mauvaises nouvelles? C'est à propos de Lise?

*un regard a arianne*

-Non c pas a cause de Lise c de loin bien pire,Lise est sauvé elle...ca a rien a voir avec ca.....ou presque

*Arianne écarquille les yeux de stupeur.*

- Quoi? Lise est sauve? Elle n'est pas morte, tu l'as retrouvée?

-je l'avais trouvé......mais quelqun a eu la brillante idée d'agir et de ruiné mes efforts,ce qui a tout foutu a l'eau......et empiré les choses......ce qui me menne a une des raison de ma vennue ce soir,que jannoncerais plus tards.

Quand Louve arrive à l'hôtel, elle se demande ce qu'elle vient faire à l'intérieur par une si belle nuit. Cependant, ne voulant pas se mettre quiconque à dos, elle s'était plié aux exigences du conseil interne en faisant acte de présence.

Elle salue l'homme qui lui indique la salle avec son plus beau sourire. Ses cheveux flottent derrière elle comme le manteau de la nuit. Quelques aiguilles de pin et de feuille se sont accrochés à sa chevelure et à son manteau; résultats d'une bonne chasse en forêt.

En entrant, elle constate que les absents sont presque tous revenus. Elle chantonne puis prend le temps de saluer tout le monde avec un regard, puis s'attarde sur celui d'Arianne:

- Madame Le Prince, bonsoir.(Elle se tourne vers les autres présents). Bonsoir à tous, quelle magnifique nuit, n'est-ce pas ?

Puis, la Gangrel continue à chantonner tandis qu'elle prend un siège innoccupé en attendant le début de la réunion.

*Arianne note l'arrivée des invités, puis sourit étrangement à Louve.*

- Vous me semblez d'excellente humeur, je dois donc en conclure que vous avez de bonnes nouvelles à m'apporter en ce qui a trait à la situation de l'homme dont vous devez assurer la sécurité. De telles nouvelles seraient très appréciées. Je n'ai eu que peu de contact avec lui et aux dernières nouvelles, son destin semblait prendre des chemins peu plaisants. Je m'attendais à vous voir à tout le moins la mine basse pour ne pas avoir réussi à accomplir votre devoir envers lui. Je ne peux attribuer votre entrain qu'à un changement quant aux perspectives d'avenir de notre ami, à moins que la nature de vos relations avec lui n'ai été altérée, ce dont je doute. Je vous prierais donc de me rassurer, si cela est dans vos capacités.

"Toujours aussi plaisante" se dit Louve en elle-même avant de regarder la Prince, en n'ayant pas perdu son sourire.

- Pour répondre à votre question, Madame, j'ai tenté de suivre la piste des gens qui sont partis avec notre cher Sénéchal, cette dernière piste m'a menée vers l'aéroport, d'ou je n'ai malheureusement pas pu le suivre. De plus, lorsque Monsieur MacEnroy a besoin de mon aide, il me le fait savoir. Ce soir-là, je ne pouvais rien pour lui, et il m'avait demandé de ne pas m'en mêler. Alors, j'ai suivi ses ordres à la lettre. J'ai tenté de le rejoindre à plusieurs reprises, sans succès.

La Gangrel se leva, sentant très bien qu'elle pourrait plus facilement céder à la colère ce soir-là.

- Pour ce qui est de ma bonne humeur, je ne puis que dire ceci : j'ai réussi à protéger un territoire qui était un territoire garou, soit dit en passant, d'un déboisement certain. Ne croyez pas ici que je ne soucie pas du sort de Monsieur MacEnroy, bien au contraire, mais ce soir-là, ses directives étaient claires et, j'ai appris désormais de ne pas aller à l'encontre des ordres qu'on me donne, quand ceux-ci viennent de mon employeur ou d'une personne supérieure en hiérarchie, cela va de soi.

Louve reste debout, se demandant pourquoi la Prince tentait de la faire sortir de ses gonds.

Lise avait suivit Michel jusqu'à cette place quelconque, tout à côté de lui.



Elle était aussi élégante que belle, et sa démarche distinguée n'avait rien perdu de sa grâce malgré les derniers événements qu'elle venait d'éprouver.

Tout au long du trajet entre la porte et la chaise, elle avait regardé Arianne. Sans perdre son joli sourire naïf et serein, elle s'était inclinée devant elle avec un immense respect juste avant de s'asseoir, mais sans un mot.

Une fois assise, elle avait salué Morgan d'un hochement de tête et avait attardé un moment son regard sur elle, les yeux dans les yeux, cherchant à lui transmettre le plaisir qu'elle éprouvait de pouvoir la revoir.

Son attention fut détournée par l'entrée de Guillaume. Elle le regarda longuement, jaugeant son expression. Elle lui rendit la politesse de la salutation, pinçant les lèvres et inclinant la tête avec une timidité qui ne lui était pas commune.

L'entrée de Louve, chantonnant et trouvant la nuit si belle, la fit froncer les sourcils. Elle la salua malgré tout et reposa son regard sur Arianne.

Jack avait très peu attiré son attention puisqu'elle anticipait déjà la première phrase qui sortirait de la bouche de la Principauté. C'est avec un étonnement intéressé qu'elle suivit le reste de la discussion qui venait de débuter dans un silence absolu.

*Arianne leva un sourcil pour ponctuer son étonnement.*

- Vraiment? Vous avez "sauver" un territoire de chasse garou d'une déforestation? Peut-être ces même lycanthropes on mendié votre intervention en échange de promesse quelconque dont nous pourrions nous exposer la nature. J'espère bien que ce qu'ils promettent en échange en vaut la peine.

*Arianne prit une attitude pensive.*

- Voyez-vous, le déboisement était prévu à des fins d'expansion de la ville, il me semble. Je crois que vous vous étiez improvisée diplomate ou médiateur entre nos deux sociétés. Si je me souviens bien, ces fonctions ne consistent pas à travailler pour la partie adverse au détriment de son propre camps. Ne vous souvenez-vous donc pas que les lycanthropes ne sont ni nos amis, ni nos alliés? J'espère bien que cette tentative d'amadouement portera ses fruits parce que vous venez de faire tomber une partie des efforts de ceux qui ont comme objectif principal de développer la ville.

Suite à la réponse de la Prince, Louve se pince les lèvres pour éviter une remarque assassine. Elle s'appuie contre le mur, choisissant chacun de ses mots.

- Si vous me permettez, Madame, les garous ne sont pas venus me demander quoique ce soit. J'aimerais que vous sachiez que c'est pour le bien de nous tous ici, que je tente de maintenir une entente tacite entre nous et cela inclue le territoire, malheureusement. Depuis presqu'un an, il ne s'est rien passé avec les garous et je crois que c'est un plus pour cette Camarilla.

Louve ferme les yeux un instant, se concentre puis revient à la discussion.

- La ville a encore plein d'espace pour être développée, Madame. J'essayais simplement d'éviter de déclencher une guerre qui serait pour nous, perdue d'avance. Je me suis fait un devoir de surveiller le territoire forestier jusqu'ici et je n'ai aucun incident à déplorer. Je suis d'accord sur le fait que les garous ne sont ni nos alliés, ni nos amis mais, je pense qu'il serait pertinent qu'ils ne deviennent pas nos ennemis.

Louve retourne ensuite à son mutisme, se demandant pourquoi la Prince s'avançait-elle sur un territoire qu'elle ne connaissait même pas, et pourquoi elle s'acharnait sur elle depuis le début de la soirée. Ces simples mots avaient réussi à lui arracher le peu de bonheur qu'elle portait en elle depuis le début de la soirée.

Michel, qui avait écouté la conversation sans trop y porter attention, se permit un commentaire :

- Parce que c'est vrai que, si les humains développaient la ville en y retirant l'boisé, les garous y verraient là une déclaration de guerre ouverte de notre part...

A cette dernière remarque, Louve laisse échapper un rire guturral en renversant un peu sa tête vers l'arrière, laissant voir ses crocs. Elle reprend ensuite un calme glacial en tournant la tête lentement vers Michel :

- Tu as envie d'aller leur demander, peut-être ?

-Personellement pour avoir affronté un jeune,et je dit bien le mot jeune garou,et avoir faillie crevé alors que on etait 4,si une guerre debute avec les garou moi je disparais......surtout que on va etre en guerre pas seulement avec eux,mais avec quelque chose d'autre,on ne peut se permettre un conflit du genre quel quil sois ou avec qui que ce sois sans i laissé notre peau.

*puis elle se tait*

Lise suivit la conversation avec beaucoup d'intérêt. À l'intervention de Michel, Elle le regarda avec un air de fierté, approuvant son point de façon évidente. La réponse de Louve la fit tiquer, cependant. Elle laissa parler Morgan, sans quitter Louve des yeux, et s'avança légèrement sur sa chaise.

- Hum! Excusez-moi... Si je puis me permettre, j'aimerais faire part de mon incompréhension de cette attitude que vous adoptez, Madame Louve, teintée de condescendance théâtrale et de léger mystère.

- Ce rire, digne des plus passionnants films de suspense de série "B", n'explique en rien pourquoi ces bêtes horribles et monstrueuses que sont les Garous attribueraient d'emblée la responsabilité des actions humaines à notre société nocturne. Ni pourquoi, vous, qui êtes tellement au-dessus de cette animosité entre nos deux camps, ne sachiez pas faire comprendre à ces créatures sauvages que nous ne sommes pas nécéssairement responsables des faits humains.

- De lancer ici le défi d'aller demander directement à ces êtres abjectes ne serait pas de la pure provocation? Doublée d'une façon très douteuse d'éviter d'éclaircir cette question, d'ailleurs? Car, voyez-vous, personne ici n'a questionné le danger que représentaient ces bêtes immondes, mais seulement l'imminence de cette fameuse guerre ouverte que vous annoncez en corrélation avec le développement d'une ville. Ne savent-ils pas que nous ne sommes pas la mairie? Parce que...

Elle lance un bref regard vers Morgan,

- ... Si d'autres guerres sont plus qu'imminentes, comme le soulève Madame Morgan, il nous faudrait connaître les véritables enjeux et départager les dangers potentiels des dangers immédiats afin de mieux établir les priorités de notre communauté, ne croyez-vous pas?

Elle ne la quittait pas des yeux, visiblement déçue de cette femme qu'elle avait, selon elle, de toute évidence, surestimée.

Louve sentit la Bête brasser violemment sa fragile cage au creux de son être, suite à cette intervention de Lise.

Elle s'accroupit le long du mur, croisant les mains devant son visage. Elle sentait son sang bouillir dans ses veines, tant l'envie la tenaillait de sauter à la gorge de quelqu'un. Ses yeux devinrent rougêatres et étrangement brillants. Elle les ferma un instant, préférant se taire, plutôt que de laisser libre court à un fiel verbal et physique, qui risquerait de la mettre davantage dans le pétrin.

Elle releva finalement la tête; ses yeux étaient toujours aussi brillants mais sans cette lueur sanguine...

- Contrôler vous je vous pris ! Il serait plus que déplaisant dans arriver a être tous obliger d'utiliser la violence pour vous stopper . Je vous en pris Louve, vous devriez nous expliquer pourquoi nous avons un problème avec ces garous que d'autre ville non pas !?

Lise se recula dans sa chaise, satisfaite d'avoir soulevé une question qui n'intéressait pas qu'elle, et d'avoir pu étoffer le point apporté par Michel dont elle était si fière. Elle n'ajouta cependant rien, fixant toujours la Gangrel qui lui paraissait à court d'explications pertinentes et cédant déjà au désarois d'un l'animal coincé.

Michel qui avait écouté, l’air sceptique, les commentaires de Louve et de Morgan, semblait à la fois satisfait des précisions amenées par Lise et intrigué du fait que ces précisions soient nécessaires. Il approuva d’un hochement de tête le commentaire de Jack. Il enchaîna.

- Ouin, calmes-toi! À moins qu’tu nous dises qu’les garous t’ont fait savoir qu’y zallaient nous attaquer si les humains déboisaient c’te place là, y’m semble que ça sert à rien d’travailler pour eux d’même, non? Ou même de crier au loup… T’sé, à’a quantité d’avertissements qu’tu lances en l’air, de même, on va finir par pu t’prendre au sérieux… Tu penses pas?

HORS JEU :

L'admin désire mettre cette scène en pause jusqu'à ce qu'il ait le temps de se connecter lui-même, ce qui devrait arriver ce soir. Aussi, l'idée est que nous attendions qu'il lève la pause avant de poster une suite quelconque aux événements actuels.

Merci de votre compréhension et de votre patience,

- un joueur qui fait un message de la part de l'admin.