La nuit du 7 juin 2008

*revennant sassoir,Morgan dira*

Moi jai seulement fait ce que on ma dit de faire,c'etait rien de personnel,jai obeis aux ordres men veut pas.

Au fait,Moi c Morgan,du clan Brujah,deputé du prevost,triste que on se sois connue dans des circonstance comme celle la.

Alister avait écouté avec grand intérêt sans toutefois le laisser paraître.

- Hum, la mémoire est une chose volatile et fugace de nos jours plus qu'a l'accoutumée. C'est aussi un divan confortable lorsque les choses viennent a s'envenimer.
Pour autan, je suis certain que les prochains arrivants seront tous aussi amnésiques que les derniers qui nous furent présentés.

Il semble que la mode soit a la perte de mémoire, au point de me demander si nous ne ferions pas mieux de mettre en place un centre de traitement Vampirique de ce genre de symptome. Car si c'est la un moyen pour le Sabbat d'infiltrer nos rangs en toute impunitée, il est clair que d'ici peu les candidats risquent de faire la queue devant cette porte par laquelle nous sommes rentrés.

Alister fit un pause et posa son regard sur la Nosfératu, puis vers Arianne.

-... D'un autre cotès, je suis sur qu'une rapide entrevue pourrait parfaitement venir a bout de nos doutes, et même assister cet infant égarée lui permettant de retrouver rapidement mémoire, moyens et connaissances.
Bien entendu toute chose en ce monde a un prix, et celui ci est élevé et ne sera pas sans faire scandale dans ce havre de paix.

Aussi, je préfère m'en remettre aux autorités, mais sachez que j'ai un certain mal a voir le risque d'infiltration de nos réunions augmenter de manière immodérée.

Alister porta ses doigts a sa bouche pour essuyer les commissures de ses lèvres qu'il savait parfaitement propre avant de reprendre.

- Pour le reste, je fait une confiance tout à fait logique aux principes de précautions posés par la Prévotée, d'autan que le cas semble l'exiger. Ces méthodes bien que discutables sur l'éthique nous immunisent contre ce que nous craignons le plus. Par ailleurs, il n'est rien ni personne qui ne fut tué ou molester plus que de rigueur.
Et j'invite tous ceux qui pensent le contraire a se rendre dans la ville de Montréal pour constater l'acceuil qu'il y ait fait... et les pratiques autochtones qui ne sont pas sans rappeller les scènes de saccages d'un autre age.

- Nous avons besoin seulement de savoir si elle sera fidèle a nos principe et si elle n est pas torturer de spirale obscure sur sont âme ?

- Et si jamais, le cas échéant de sont acceptation, je crois que sont éducation devrais être prise en charge par Guillaume !

Foxy avait recommencé à tirer les mailles de son chandail et enrouler les fils autour de sa main. Puis à l'attention de l'assemblée:
Hey! Chu là! C'tu possible de pas m'ignorer. Pour vot info, j'ai pas bouffé personne, j'ai pas fait chier personne, pis j'ai pas d'perte de mémoire...

À l'attention d'Arianne

Pis j'attaque pas ceux qu'j'aime pas leur linge.

J'ai jusse demandé un p'tit bout d'égout.

André se tourna vers la nouvelle venu avec un grand sourir ...

-Bonsoir je suis André et je vous souhaite la bienvenue il faut pardonner si vous avez été quelque peu interrogé avec vigueur, ici il semble qu'on est jamais sur de rien. Mais n'ayez crainte j'ai pas envi de vous tabassé...

André repris sa position initial.

*Arianne se retourna vivement vers Foxy.*

- Surveillez votre langue, petite ingrate! Ne me faites pas regretter de m'être chargée du soin de votre personne durant ces dernières semaines quand il aurait été plus aisé de simplement vous détruire. Que ce soit bêtise ou mensonge, rien d'autre ne sort de votre bouche.

*Arianne fit une lourde pause laissant glisser son regard vers le sol où Foxy gisait toujours.*

- Les aboiements que vous émettez à chaques tentatives d'expression ne nous incitent aucunement à vous considérer. Seul un chien croupirait ainsi dans un coin quémendant un peu de reconnaissance d'un éventuel maître.

*Arianne laissa son regard posé un moment sur Foxy. Puis, elle regarda du coin de l'oeil André, l'air mauvais. Elle reporta son attention sur la salle dans son entièreté.*

- Dame Arianne elle est rustre, mais pas a ce point, soyer patiente et indulgente je vous prit. Si nous lui donnons aucune chance de comprendre la situation, nous sommes pas mieux que les ennemies que nous détruisons !

Jack demandais du regard l approbation des autres présents

Assise aux côtés de Michel, Lise démontrait, quoique dignement, des signes de désaprobation de plus en plus évidents. Elle ne semblait guère familière à tant de manifestation de violence et de jeux de pouvoirs. Elle regarda Arianne d'un tout nouveau regard, plus distant qu'auparavant. Elle gardait pourtant le silence et dévia ses pensées sur quelque chose qui semblait soudain ne rien avoir à faire avec ce qui se passait dans l'assemblée. Elle plongea sa main dans son sac à main, sortit son calepin, une plume luxueuse, et s'apprêta à la faire glisser sur le papier...

*Arianne allait répondre à Black Jack lorsqu'elle vit la réaction de Lise. Elle s'arrêta, légèrement ébranlée. Elle semblait soudainement quelque peu malaisée.*

Isabelle avait écouté l'échange entre Foxy et Arianne. Elle regarda Foxy avec un sourire mesquin. Elle dit sur un ton neutre.

-Foxy, je présume, je vais vous expliquer une chose fondamentale dans notre société. Vous avez écouté le discours d'Alister sur nos ennemis et les précautions qu'on prend. Si un Fléau était nommé dans cette ville vous seriez morte aujourd'hui. Vous n'etes pas reconnue dans cette ville et je n'étais pas au courant de votre présence. Vous devriez être reconnaissante envers madame Arianne pour vous avoir laissé envie. Deuxièment, la ville de Montréal est Sabbat et nous Camarillienne, il n'est pas bon de dire qu'on vient de cette ville. J'espère que vous comprenez encore Arianne pour les précautions. Donc, je vous serais grés de vous présenter et dire d'où vous venez. Nous dire aussi pourquoi vous cherchez asile sur notre territoire. Après peut-être que vous allez comprendre notre démarche et nous comprendre votre arrivé parmis nous.

-Foxy, qu'elle est votre clan, votre secte d'allégeance et vos motivations dans ce territoire. Je ne vous conseille pas de nous mentir car, je peux savoir si vous nous mentez et j'en serais déçu.

Isabelle attendit la réponse de Foxy.

André regardait Foxy avec un sourir quelques peu sarcastique, que ce passe t'il dans sa tête, à quoi pense t-il ???

Hmmmm, la dernière fois qu'un dirigeant d'une ville a attendu aussi longtemps une réponse sa mal tournée. À voir comment Isabelle utilise le député pour se défouler, que va t'elle faire a cette pauvre petite... ? Fais longtemps j'ai pas assiter à une belle correction, me demande si le spectacle va être bon ?? Quel morceaux va tomber en premier ? ... m'en vien trop sadique avec le temps. Entk on va bien voir

André continuait de sourir tout bonnement

Hors-jeu:

Je crois que si la joueuse ne répond pas c'est qu'elle ne le peut peut-être pas. Je ne prétendrais donc pas en-jeu que la réponse se fait trop attendre, à moins qu'un post mentionne que le personnage laisse un long moment passer avant de répondre.
Ben quoi, y en a qui ont peut-être aussi une vie en dehors du monde vrtuel!

Foxy se relève, tente de redresser son dos et de se tenir le plus droit possible. Elle s’avance devant Isabelle en essayant (maladroitement) de ne pas boiter. Il manque déjà un bon bout de manche à son chandail, révélant quelques furoncles et pustules sur son bras dénudé. Elle monte doucement ses mains à son visage et dégage lentement ses cheveux. Une infime partie de son visage semble être demeuré intacte et laisse imaginer de quoi elle avait pu avoir l’air de son vivant. Le reste n’était que muscles, chair pendante et une majeure partie des lèvres manquaient à l’appel.

Elle fixa Isabelle droit dans les yeux.

La vérité? J’dis jusse ça depuis que j’suis partie d’chez nous. Mais vu qu’vous …

Elle se râcle la gorge et retient un crachat.

Mais étant donné que vous avez pas entendu l’histoire, j’vais la raconter une autre fois.
J’suis Foxy, du clan Nosferatu. J’suis née à Montréal, J’suis morte à Montréal pis j’suis née à Montréal. Mon père, mon sire, s’appelle Antoine. J’sais pas si il vient d’Montréal aussi, mais c’est lui qui dirige notre famille pis c’est lui qui m’a appris c’que j’sais.

Il m’avait prévenu que l’monde était dangereux pis qu’y avait des bad guys Sabbat qui fallait éviter comme la peste, pis c’est ça qu’j’ai fait. J’en ai jamais vu d’vos Sabbat, pis j’ai jamais vu d’cami non plus. On était six, pis on faisait nos affaires tranquilles dans notre coin. Y’a jamais personne qui s’est approché d’notre repaire, sauf des clochards pis des fugitifs. Vous avez beau dire qu’on était tolérés par la Sabbat, moi j’dis qu’y savaient pas qu’on est là.

En tout cas, j’suis partie parce qu’Antoine voulait que j’vois le monde de mes yeux. Il m’a dit d’faire le tour des grosses villes, qu’y aurait p’t’être un prince qui dirige pis d’faire c’qu’il dit. Ça fesait une semaine que j’était partie de chez nous, pis j’était arrivé ici la veille quand votre employé d’hôtel m’a trouvé.

Comme j’ai déjà dit, j’étais pas au courant pour votre réunion pis j’savais pas qu’vous étiez là, j’cherchais juste à m’nourrir.

Quand à c’que j’vas faire icitte, j’ai dis à….. J’ai dit que j’pourrais peut-être vous aider à quelque chose, mais faut croire que l’idée plait pas à tout le monde.

C’est ça toute l’histoire. Là, la dernière fois qu’j’ai raconté ça à…. quelqu’un, j’ai été attaquée par surprise, on m’a pieutée, on m’a déguisé en clown, on m’a mis un collier assez gros pour un ours, on m’a jeté au beau milieu d’une foule comme une bête de foire, on m’a reproché d’être énervée, agitée, d’essayer de me libérer, on m’a traité de chien qui demande de l’attention, on m’a plusieurs fois menacé de me tuer et j’sais toujours pas ni pourquoi ni ça fait combien de temps que j’suis prisonnière.

J’veux bien comprendre que j’ai l’air d’un monstre pis qu’à la gang que vous êtes, vous avez peur pour votre peau, mais y a tu quelqu’un qui peut essayer de se mettre à ma place un peu? Là, si vous voulez m’tuez, fine! C’est pas que j’tiens à mourir, mais comptez pas sur moi pour vous supplier d’me laisser vivre. J’tiens à garder l’peu de fierté qui m’reste.

Puis Foxy reste debout et fixe Isabelle du regard.

*Arianne avait fixé Foxy tout au long de son discours. Elle se tenait parfaitement droite. Elle releva un sourcil vers la fin du discours, insultée. Elle serra légèrement les poings et détourna le regard vers Isabelle quand Foxy eut fini.*

Louve avait écouté le discours très franc de la jeune Nosferatu, non pas sans un brin de méfiance. Elle marche vers Arianne, posant doucement une main sur son épaule, cherchant son regard pendant quelques secondes. Ses yeux sont d'une douceur inouïe et appelait au calme. Louve murmure quelques mots à l'oreille d'Arianne. Puis, Louve fait quelques pas vers Foxy, toujours avec cette attitude détendue

- D'abord, tu as été parfaitement claire sur qui tu es, ce que tu as fait. Les événements des derniers mois, nous ont appelé à la méfiance. Donc, je trouve normal que les autorités de la ville prennent les dispositions nécessaires pour assurer la sécurité de tous ici présents. La manière dont une personne se présente peut avoir une incidence directe sur la manière dont elle sera traitée.

Louve s'arrête puis poursuit, un sourire aux lèvres - elle tourne le regard un instant vers Michel - puis vers Foxy.

- C'est en prenant sa place que l'on s'attire le respect, non pas en jouant au martyr.

Louve retourne à sa place sans un mot, les mains croisées sous le menton.

Michel avait rouvert les yeux et relevé la tête lors de l'intervention de Foxy. Puis il s'accota sur son poing durant celle de Louve, à qui il répondit :

Ouais, c'est ça...

S’adressant ensuite à Foxy :

Bon. Effectivement, c’est plutôt clair, votre histoire. Je dois dire qu’un de ses éléments m’intrigue. Vous dites venir des égouts de Montréal, c’est ça? Je ne sais pas trop, mais il me semble que mon sire m’ait apprit que cette ville était le plus gros repaire Sabbat du nord de l’Amérique du Nord. Il me semble aussi que leur contrôle sur la ville était un peu plus stable que celui de la camarilla sur Sherbrooke. Bref, je trouve épatant qu’un groupe de vampires ait pu habiter cette ville au nez et à la barbe de la secte… Surtout si un des membre de ce groupe se fait capturer par *il se tourna vers Arianne* elle…

J’ai bien l’impression que c’est plus facile d’éviter les problèmes à Sherbrooke qu’à Montréal. Alors, après avoir si bien survécu à Montréal, n’est-ce pas un exploit de vous être trouvé autant de trouble à Sherbrooke?

Alister était resté silencieux pendant toute la tirade de la Nosferatu. Il n'avait pas bougé comme a son habitude plongé d'attention dans les dires de ceux qui parlaient a l'assemblée.
Puis quand vint son tour de parler il dit.

- A titre personnel, je ne crois rien des faribolles de cet être abjecte. Pour autan, force est de constater que ceux du Sabbat ne sont pas si prompts a implorer ou a quémander la mort, habitués qu'ils sont a défendre leurs insupportables existences.

Aussi, sans doutes serait il bon de rappeller a tous ici, que l'institution que nous défendons a fait le voeux de rassembler tous les cainites quels qu'ils soient.
De ce fait, malgré la difformité et l'aspect général de...

Alister cherche un moment dans les notes qu'il a prises pendant le discours puis reprends.

-... Mademoiselle Foxy, nous ne pouvons que lui offrir une éducation digne de ce nom et un enseignement de nos règles au travers de ses frères de clans qui ne sont certes pas nombreux parmi nous, mais qui je suis sur, sauront mener a maturité cette jeune Cainite.

Alister dévisage une dernière fois la Nosferatu avant de dire.

- Pour autan, il est clair que même notre ami Guillaume, aura certainement du mal a se faire à cette nouvelle compagnie. Au passage, nous pouvons être fiers en voyant cette nouvelle arrivante de la classe et du savoir vivre de notre représentant du clan du Masque.
Et je propose en tout état de cause qu'il soit mis en charge de l'éducation de cette future membre de nos assemblée, il sera je suis sur, à même d'exercer sur elle la bienveillante attention qu'il sera nécessaire d'observer a son encontre jusqu'a ce que soient levés tous doutes au sujet de sa loyauté a la Camarilla.

Alister se tint silencieux.

- Il n'y a guere que cette histoire de Capture et d'humiliation qui ont certainement du violer la mascarade, mais il n'en est nullement la faute de cette infante, qui tant est qu'elle soit honnète mérite aux noms des valeurs de la Camarilla, un acceuil respectable a défaut d'être honorable.
Enfin si il est avéré que cette dernière nous ments ouvertement, je suis sur que nous saurons la renvoyer a ses maitres dans l'état le plus approprié, a savoir un assassin téléguidé en puissance.
Dans les deux cas, il sera plutot rentable de prendre cette infante comme l'une des notres le temps que soit faites la vérité.

Le regard toujours fixé sur Isabelle, Foxy resta impassible lors de l'intervention de Louve et Michel, puis elle se risqua à répondre:

J'ostine pas sur ce que vous savez de Montréal. Vous avez vos histoires, j'ai la mienne. J'me suis pas défendu, j'me suis pas méfié parce qu'Antoine m'a dit d'faire c'qu'on m'dirait, pis c'est c'que j'ai fait... pis c'est c'que j'fais encore.

Elle fait une pause.

Pis ceux qui pensent que je choisis de jouer aux martyrs, j'vous emm... j'vous souhaite de subir la même chose.

Alister en écoutant Foxy ne bouge toujours pas, sauf pour prendre la parole en une phrase.

- La dernière qui parlait de la sorte a fini en tas de cendre ma chère. Je pense que vous devriez raviser vos propos, surtout lorsque nous vous proposons des solutions et qu'en remerciement vous insulter cette assemblée qui tente de vous donner ce dont vous semblez le plus manquer.
La Politesse, la coopération et le savoir vivre.

Cela dit, dans le cas le plus tragique, je suis sur que vous fournirez ici a tous une attraction des plus pitoresques.

Une dernière chose, ne mordez pas la main que l'on vous tends jeune infante, car elle pourrait empoigner un baton et faire sur votre corps deja meurtri des dégats irréparables. Aussi, je vous sommes d'en revenir a des termes plus apropriés a l'illustration de vos demandes.

Alister plongea son regard dans celui de la Nosferatu.

DEMANDES!?!

Foxy se resaisit.

Demandes?... Quelles demandes? Non mais quelles demandes? J'ai RIEN demandé à personne. J'me cherchais quelqu'un pour me nourrir. Je....

Puis elle se tait, retenant un cri de rage.

Michel apporta sa main à son menton alors que Foxy parlait.

Voyez-vous, madame, il ne s'agit pas ici d'ostinage. Je reconnais aussi que nous avons nos histoires et que vous avez la votre. Seulement, je voudrais souligner l'incohérence entre nos versions...

Puis il se mordit les lèvres.

Et, voyez-vous, le droit de se nourir sur un territoire donné constitue effectivement, pour la camarilla, une demande...

Écoutant le discours de l'interrogée, Lise regarda Foxy le regard rempli de compassion en s'étirant le cou par devant de Michel qui la séparait d'elle.

Puis, Lorsque Louve et Michel parlèrent, elle les suivait respectivement des yeux, intéressée par leurs interventions. Pourtant, quand Alister prit la parole, Elle leva les yeux au ciel, implorant l'aide divine d'un sauveur quelconque pour que la société soit épargnée des paroles viles proférées par le Ventrue.

- J'aurais pourtant pensé, Monsieur McEnroy, qu'étant donné votre promptitude à évaluer que tous ceux que vous croisez sont plus vert que vous dans ce monde de nuit éternelle, vous auriez eû plus de jugement... l'aspect de votre esprit est sans doute plus répugnant que celui de son physique, si l'on tient compte de la quantité d'insultes que vous multipliez depuis que je vous observe... Maltraiter ou mettre en doute la parole de quelqu'un sous le seul prétexte du désagrément causé par la malédiction de son clan pour votre pauvre regard dédaigneux et méprisant est tout-à-fait infantile et mal indiqué. Mais, de toute façon, je crois qu'il revient plutôt à Dame Isabelle de se prononcer au sujet de ce cas, et je ne me rappelle pas l'avoir entendue nous demander notre avis avant de s'exprimer. N'est ce pas? Je n'ai pourtant pas demander le droit de me nourrir depuis mon arrivée... va-t-on me pieuter? Monsieur André? vous avez reçu une permission spéciale? Je n'en ai pourtant pas le souvenir...
L'auriez-vous fait en privé? Si oui, pourquoi alors le cas de mademoiselle Foxy serait traité en audience publique?

Elle regarda Isabelle attendant son verdict avec beaucoup d'attention.

Louve regarde Alister puis Lise et lève les yeux au ciel. Elle murmure pour elle-même :

- Et c'est reparti pour un tour...