Le couronnement du Prince de Sherbrooke

- Et bien je vous remercie de cette présentation Dame Evra, de suis ravi que de jolie dame en cette soirée soit accompagner de grand dignitaire comme Monsieur Vitel... Je ne peux que me prosterner devant sont rang et m' éclipser devant lui pour vous avoir comme cavalière, puisque la Dame n est pas en détresse, en sa compagnie je me propose comme cavalier de vous mes Dames !

il ce fend d une courbette française

- A moins que vous aimeriez plus que j introduise mon compagnon goule que Dame Evra na pas l air d apprécier la couleur, je reconnais bien que que ce soir il serais inopportun qu une goule circule ici parmi les invités de Dame Arianne.

- N ayez crainte pour Monsieur Vitel chère Dame Evra, car nous avons été présenter indirectement par Monsieur Clerson un peux plus tôt, sans pour autant avoir une discussion sur notre venue de moi et Dame Lise a Washington. Je souhaite que cela pourras être fait plus tard peut être ce soir si Monsieur le prince Vitel le désir.

Mathew quitta Arianne quelque instants, il se rendit près de Guillaume et lui parla pas fort près de l'oreille, tout en restant à une certaine distance pour ne pas effrayer Guillaume.

Après Mathew retourna au près d'Arianne, il l'embrassa dans le coup quand il arriva près d'elle. Après, il lui prit la main et attendit la suite des événements.

Isabelle parlait depuis un certain temps avec l'homme qui était venu la rejoindre au début de la soirée. Ils c'étaient déplacés pour parler avec monsieur De La Verra et la délégation d'Ottawa. Elle avait oublié les petites agitations au loin. Elle n'avait près que pas remarqué Louve. Quand elle la remarqua avec sa main bandé. Elle comprit et lui dit sur un ton neutre.

-Bonsoir Louve, j'étais absorbé par la conversation que j'avais. J'espère que tu n'as pas entendu trop longtemps. Si c'est pour savoir si tu peux guérir tes blessures, il est certain que tu peux le faire. Je croyais que tu le ferais ce soir avant de venir ici, mais c'est pas grave. Tu peux te retirer pour enfin passer à autre chose fasse à cette punition. Je suis content que tu es comprit l'enseignement derrière cette blessure. Je te souhaite bonne chance pour l'avenir.

Iasbelle attendit la réponse de Louve.

Louve incline la tête en souriant, son regard s'illumine à la réponse d'Isabelle.

- J'ai très bien appris ma leçon, madame. Si j'ai attendu, c'est pour être certaine de faire les choses comme il se le devait et ne pas manquer à ma parole. Merci beaucoup. Si vous voulez m'excuser, je vais me retirer un moment. Bonne soirée à vous.

Louve traverse la salle, encore tout sourire, elle marche vers Alister et la femme qui est devant lui.

- Bonsoir, je suis désolée de vous interrompre.

Louve se penche à l'oreille d'Alister pour y murmurer quelques mots. La gangrel sort précipitamment ensuite de la salle pour se retirer dans un endroit plus discret, à l'abri des regards.

Au dehors, elle voit le lac et va s'asseoir sur le bord, regardant la lune briller dans toute sa splendeur.

Alan avait été agréablement surpris de la réponse de Lise, on pouvait voir un sourire sur les lévres. Il était sur le point de répondre à Lise quand Black Jack sortit de sa léthargie. Il ne comprit pas grand chose de la réponse de cette homme autre qu'il aurait aimé venir à Washington, qu'il voulait sauver Arianne, mais qu'il est allé voir Evra. Il prit la parole sur un ton amusé.

-Je m'excuse pour le délai dans ma réponse. Je n'ai rien compris de ce que disait votre ami. Il voulait venir à New-York ou non. Es-ce qu'il voulait sauver la dignité d'Arianne ou bien de madame Von Hörsten. Je crois qu'il risque gros à insulter cette femme et monsieur Vitel.

Il fit une pause, avant de reprendre sur un ton charmeur.

-Madame, je crois que si votre ami s'en prend trop à monsieur Vitel, mon invitation va juste être pour vous. De toute manière, j'aime prendre des risques, surtout avec une belle femme comme vous. Et de toute manière, vous pourriez venir habiter chez-moi pendant votre séjour dans la ville de Washington. Quand pensez-vous?

Alan attendit la réponse de Lise.

Guillaume sembla ne pas écouter les paroles de Mathew, continuant plutôt de scruter la salle. Il eut un sourire poli à l'égard de ce dernier, trahissant ainsi l'attention que le Nosfératu portait à son égard.

Il observa une dernière fois la salle, puis se déplaça en direction du groupe d'Evra. Arrivé près de l'attroupement de Toréadors, il les salua chacun d'un signe de tête amical en débutant par Mme. Tucci. Il fit de même pour Evra.

-Pardonnez-moi cette brusque intrusion. Monsieur Jack, Madame D'Archer aimerais vous rencontrer...le plus rapidement possible. Il attendit quelques secondes et ajouta à l'attention d'Evra, Si cela ne vous dérange pas j'aimerais m'entretenir avec Mademoiselle Foxy quelques instants.

Guillaume fit signe à Foxy de le suivre. Il se retira du flamboyant groupe, tout en restant à proximité.

Alister était en train de répondre a Alexandra sur un ton extrèmement soutenu et emprunt de petits gestes inconditionnels qui fondaient la politesse du clan.

- Madame, a vrai dire, le couronnement d'Arianne n'est pas sans me contenter, en effet je suis sur que notre famille aura a gagner de cette investiture, aussi vrai que dans le futur il se peut que notre illustre clan et celui de la rose se rapprochent afin de permettre de faire de Sherbrooke ce qu'elle n'aurait jamais du cesser d'être.
Au demeurant ces choses necessiteront évidement un investissement massif de nos activités, mais je pense pouvoir mener a bien la tache qui est mienne présentement, et plus encore celle qui pourrait me voir incomber.

A ce moment, alors qu'Alister tentait d'exposer a la Primogène tous les tenants et les aboutissants de manière aussi subtile que formelle, il vit s'approcher Louve a grands pas.
Elle se penchat a son oreille et murmura quelques mots.
Il acquiessa promptement d'un air soucieux et regarda partir Louve en haussant un sourcil.
Alister s'empressa de s'excuser auprès d'Alexandra une fois que la Gangrel fut parti.

- Pardonnez ma distraction Madame, il s'agit de Louve Sullivan du Clan Gangrel, elle veille sur moi a titre personnel et sur notre assemblée a titre formel. Elle est ici réellement la clé de voute de mes plans et de ma sécurité.
De ce fait, veuillez pardonnez mon incartade mais les informations dont elle me gratifie sont a chaque fois des plus primordiales.

Après un léger silence assortis d'une humble réverrence, il reprit sur le ton qui le caractérisait le mieux.

- Je suis confus de revenir la dessus, mais il me semble que le choix d'Isabelle ne fasse pas l'unanimité chez les anciens. Bien que je respecte en tout lieux le choix qu'elle a fait, j'aimerai savoir ce que pense notre famille de cette accession aussi soudaines qu'impromptue et ce en toute humilité bien entendue.
Il est bien évident que je prendrais pour Prince celui qui m'aura été désigné, je ne suis pas de ceux qui se posent beaucoup de questions lorsque les ordres sont clairs directs et univoques.

Alister resta dans son fauteuil fasse a l'élégante latine en ne manquant pas une de ses paroles, ni un des gestes de l'étiquette qui caractérise une dialogue entre ventrues initiés.

Foxy accueille l’arrivée de Guillaume avec soulagement. Elle fait un révérence maladroite, se prend presque les pieds dans sa robe et suit Guillaume dès qu’il le demande.

Elle lui dit plus bas :
- Merci. J’allais fondre là-dedans.

Foxy se redresse et se mets plus à l'écart, loin des oreilles, invitant Guillaume à la suivre.

Elle se penche ensuite à son oreille et parle le plus bas possible.

Vitel avait écouté la conversation depuis le début de son arrivé dans ce groupe. Il avait sourit poliment au trois dames pendant que Suzie faisait leurs présentations. Il sourit aussi au départ de Suzie qui alla rejoindre Guillaume. Il trouva l'intervention de Black Jack plus que déplacé. Dans sa ville, un affront de cette envergure envers lui, la personne souffrirait. Il salua aussi Foxy quand elle fut présenté par Evra. il aurait aimé lui parler, mais Guillaume est venu la chercher avant. Il prit la parole sur un ton courtois.

-Je suis enchanté de faire votre connaissance madame Hélie Laliberté, sénéchal de Paris, et madame Diane Monette primogène Toréador de Paris.
Pour ce qui est de madame Josée Tucci, je suis content de vous revoir après tous ce temps, es-ce que madame Guil va bien, je suis sur qu'elle va bien.

Marcus ce retourna vers Evra, avec un sourire sur les lévres, il dit sur un ton amical.

-Merci madame Von Hörsten, je sais qu'il n'est pas toujours facile de comprendre les gens qui ne se comprennent pas eux-même. Je vous remercie de prendre ma défense madame, mais si cette personne vient ici en essayant de faire bonne impression, il n'a pas apprit les bonnes manières, il doit être sans sir, ça doit être pour cette raison qu'il ne sait pas comment aborder les gens et surtout pas les femmes. Je suis vraiment attristé de voir que cette ville compte des membres avec si peu de tact et de courtoisie envers les gens qui méritent plus de reconnaissance de leur part. Je vous demande aussi mesdames de Paris et Josée de nous disocié de cette présence qui est avec nous et qui ne mérite pas notre attention. Je crois que le mieux serait d'aller jaser plus long.



Diane prit la parole sur un ton courtois et respectueux.

-Je suis d'accord avec vous monsieur Vitel, les toréadors de part chez-moi, sont obligé d'apprendre le savoir vivre sinon, notre suzerain, les tues sans avertissements. Il ne faut surtout pas entâcher la réputation de la famille sinon, on est mort, qu'on soit un toréador ou d'un autre clan. La discipline est plus efficace sur le vieux continent. Pour ce qui est de moi, et je crois que je parle aussi pour mes deux autres amies, nous nous accompagnons ensemble et n'avons pas besoin d'un cavalier qui va nous faire honte.

Diane regarda Evra avec de la piétié dans le regard, d'être obligé de supporté ça à tous les jours.

Pour ce qui est de Marcus, il passa son bras sous celui d'Evra.

Evra eut à nouveau un sourire satisfait aux lèvres alors qu'elle prit la parole une fois qu'elle fut assurée de n'interrompre personne.

- Mes milles excuses Mesdames, avec toute cette agitation, j'ai homis de vous faire part à quel point cela est un honneur pour moi de faire vos connaissances. J'ai bien de la chance de pouvoir converser avec des gens de votre stature. Je tiens aussi à vous remercier grandement de vous être déplacées en cette ville pour honorer de votre présence le couronnement de ma bonne amie Arianne D'Archer. D'ailleurs, à ce propos, comment va la ville de Paris. Je dois avouer qu'il y a déjà un certain temps que j'y ait mis les pieds mais j'ai toujours adoré cette magnifique cité qui a toujours été grandement convoitée.

Ignorant totalement Black Jack, et d'ailleurs très satisfaite de pouvoir s'en débarasser au profit d'Arianne qui tentait sûrement de sauver les meubles, elle attendit la réponse des dames avec grande attention et pour une rare fois de sa part, avec grande humilité.

Hélie prit la parole avec un sourire sur les lévres. Elle avait écouté les conversations depuis un certain temps, elle était amusé de la tournure de la situation. Elle regarda Evra et dit sur ton amical.

-Pour la France, car le règne de monsieur Villon s'étend à toute la France, et non pas juste à Paris. La France se porte très bien, il est certain qu'on a des petits ennuis avec des êtres indésirables comme toute bonne camarilla. Notre plus grand problème pour le moment c'est la Sabbat et les anarch à l'occasion. Sinon la France se porte très bien, notre situation face à ces deux sectes est beaucoup plus agréable que de nombreuse camarilla d'Amérique. Pour ce qui est de Paris, monsieur Villon se porte très bien, il tient toujours les brides du destin de cette ville avec fermeté. Il aurait aimé se déplacer en personne pour rendre hommage à madame de Gonsacque. Des choses en France le retiennent pour le moment, peut-être une autre fois, aura-t-il la chance de venir ici en personne. Je ne savais pas madame Von Hörsten que vous éties déjà venu en France. Vous êtes venu à Paris, es-ce que ça fait longtemps? Je me souviens assez bien des gens que je rencontre dans ma tâche de Sénéchal, je suis vraiment attristé de vous avoir manqué. Pour ce qui est de ma part, je suis ici car je connais assez bien l'époux de madame de Gonsaque, et c'est pour toutes ces raisons que je suis ici, en plus il y a si longtemps que je n'étais venu au Québec.



Josée prit la parole après Hélie, elle dit sur un ton amusé.

-Pour ma part, je suis venu faire mon travail et venir dire bonne chance à madame de Gasconque ou bien D'Archer, je ne sais plus. Je trouve qu'il y a plus d'activité dans cette soirée que dans un braillerie brujah. On peut voir la fougue de certain jeune dans la pièce, c'est divertissant.



Diane prit la parole sur un ton courtois.

-Pour ma part, je suis ici pour prendre des nouvelle d'Arianne et savoir comment elle va. Aussi pour prendre la place de son mari qui aurait été le représenté de notre clan se soir ici, mais il est lui aussi prit par une urgence. Alors c'est pour cette raison que je suis ici et contente de faire votre connaissacnce.

Les trois femmes semblaient à l'aise dans cette soirée.

- Je me vois désoler de vous dire que mon sir est du style classique française de la cour du roi de France d une certaine époque et que j ai bien appris au près de lui à tiré mon épingle du jeux.

- Je suis fortement surpris, Monsieur Vitel que mes paroles qui non aucun poid envers un homme de votre stature ce sent insulté, tout ce que j ai dit n étais pas déplacer. Il y a insulte et il y a veine bravade, je suis plus de la deuxième. Je m en excuse pour les paroles offensantes que j ai prononcer. Mon seigneur Vitel, Maitresse et Dames de Paris, je suis demander au près de la nouvelle dirigeante de Shebrooke. Veuillez m excuser, je vous pris!

Evra écouta avec attention et intérêt les paroles des trois dames...Intéressant d'en apprendre un peu plus sur Arianne. Son mari n'est pas présent pour son couronnement, semble-t-il que les problèmes d'Evra ne sont pas si distant de ceux d'Arianne. Après avoir écouté chacune des dames, elle reprit parole à nouveau.

- Effectivement Madame, je n'ai jamais mis les pieds à Paris dans mon état actuel. Mais j'ai vécu en France durant ma vie, plus exactement en Alsace-Lorraine. Ainsi, la France et l'Allemagne sont un peu mes deux pays d'origine. Mais, depuis que j'ai été infanté, j'ai rarement quitté l'Amérique, si ce n'est que pour de brève voyage avec mon Sire. Le temps n'y a pas été propice autrement avec deux infants à éduqués. Je ne le semble pas ainsi, mais je suis plutôt jeune.

Evra eut un léger rire sympathique, ce genre de rire qu'on fait dans les soirée mondaine lorsqu'on raconte une blague plutôt ennuyante mais qui sont si appréciée pour tenter d'alléger l'atmosphère. Par la suite, elle garda son large sourire et posa quelques instants son regard sur Vitel. Si elle avait eu un verre, c'est là qu'elle aurait pris une gorgée, ne sachant plus quoi rajouter...

Vitel avait un sourire sur les lévres lors qu'Evra annonça à ces grandes dames qu'elle n'avait jamais été à Paris. Il prit la parole sur un ton amical.

-Je suis vraiment attristé d'apprendre madame Von Hörsten, que vous n'avez jamais mis les pieds dans la ville lumière, la ville ou l'art est omniprésent. Je crois que je suis dû pour prendre des vacances, peut-être pourrions nous allez faire un tour à Paris et dire bonjour à ces dames qui ont pris la peine de venir au couronnement de votre nouveau Prince, c'est la moindre des choses je crois. Quand pensez-vous mesdames?



Diane prit la parole sur un ton enjoué.

-Je suis bien d'accord avec vous monsieur Vitel, je sais que madame Laliberté risque d'être occupé en rentrant en ville. Pour ce qui est de ma part, je suis ravie de vous faire visiter la ville et les choses palpitantes qu'on peut voir. Il y a tellement de belle chose à voir, que je crois quand quelques semaines, on aura pas le temps de voir l'essentiel, vous allez devoir venir plus d'une fois. J'ai déjà hâte de vous faire visité la ville.

Diane cessa de parler, elle semblait prise dans ces pensées.

Evra eut un demi sourire alors qu'elle se reprit.

- Pardonnez ma langue ma fourchue. Ce que je voulais dire, c'est que j'ai été à Paris de mon vivant seulement. Toutefois, la ville a changé il ne fait aucun doute depuis que j'y ait mis les pieds. Nous pourrons voir pour les vacances, mon horaire du temps risque d'être chargé prochainement vu mon récent séjour à Washington. Je garde en mémoire cette invitation mon cher.

Elle posa son regard sur Vitel avec un léger sourire. Pour ensuite retourner à nouveau son regard sur le groupe de dames venues de Paris.

- Je vous remercie Madame Monette de cette gentille attention à mon égard. Je serais honnorée d'être accompagnée par vous si je venais qu'à séjourner dans la belle ville de Paris. Je mentirais si je disais que la France ne me manque pas.

Evra retrouva son silence toujours essayant de conserver tout son tact et de jouer le jeu des soirées mondaines

Alexandra écouta les propos d'Alister, elle fut très peu perturbé par la présence de Louve dans la conversation. Elle reprit la parole après Alister.

-Monsieur, je suis contente que votre sécurité vous tienne à coeur. Je crois que c'est bien que nos employés viennent nous faire des rapports à l'occasion. Pour ce qui est de votre question, je crois qu'elle mérite d'être posé. Pour commencé, le choix du Prince de cette ville n'est pas venu de la part d'Isabelle. Même si Isabelle avait comme tâche de prépare la ville à devenir un camarilla et trouver les gens les plus suceptible de devenir Prince. Votre nom a déjà sortit pour devenir le nouveau Prince de cette ville. Il y a des gens qui peuvent être très persuasifs. Monsieur De La Verra avait ces raisons pour ne pas vouloir donner le poste de Prince à n'importe qui. De toute façon, il y a beaucoup de gens dans cette pièce qui sont prêt a donné un coup de main à Arianne si elle est mal prise. Je connais Arianne de réputation, et je suis sur que c'est une très bonne chose qu'elle devienne Prince. Je comprend votre questionnement, mais dans la situation actuelle, il y a des qui nous dépasse tous les deux. Je suis sur que vous allez aider Arianne du meilleur de vos connaissances.

Alexandra attendit la réponse d'Alister.

Après un certain temps, Louve vient se joindre à la foule. Elle entre dans cette salle remplie de robes somptueuses et de costumes dispendieux. Elle observe avec amusement les invités de cet événement qui, se complaisent dans leurs prouesses sociales, pour épater la galerie.

Elle essuie rapidement les larmes de sang qui avaient coulé sur ses joues, ses cheveux sont ruisselants de rosée et flottent derrière elle comme le voile de la nuit. Elle traverse la salle ,magnifique, comme si la lumière de la lune suivait son passage.

Des yeux, elle cherche Alister, en pleine conversation avec cette femme.
Elle marche vers lui, avec ce sourire aux lèvres.

- Pardon de vous déranger à nouveau, votre conversation me semble pour le moins importante, alors je serai brève.

Elle se penche à nouveau à l'oreille du Ventrue et murmure quelques mots dans uns langue étrange.Elle pose ensuite sa main droite, gantée de velours vert son l'épaule du Ventrue, pendant quelques secondes, puis retourne s'asseoir sur le bord de la fenêtre, l'air rêveur.

*Morgan observais toute cette activité,le visage de marbre,pensive,mais attentive,se disant,mais quelle putain de gros ramassis d'hypocrite bureaucrate c'est dingue.
Observant chacun des membres de la ville,car les autre,elle s'en moque faut dire,mais elle imprime bien leur visage dans sa tete,surtout quelque un d'entre eux.
Louve qui avait pleuré....ca c'est moche,et elle est prete a juré que c la faute de quelqun en particulier,des europeens......tous des pretentieux trop sur de eux meme et amoureux de leur propre ego demesuré.
Un leger soupire,et elle se leva,l'envie de partir de ce rassemblement lui tiraille l'idée,elle dit a Jared que elle va marché un peu,mais ceux qui la connaisse bien peuvent dire,que elle ne veut que foutre le camp,alors pour passé un bout de temp,elle marcha a traver la foule,attentive au moindre faux pas de chacun*

Lise ne vit pas tout de suite la confusion chez M. Clerson. son regard portait vers ce Jack qui avait toutes les allures du clown de service de la soirée. À la question d'Alan, Lise continua de ragarder Jack et répondit...

- Selon ce que je connais de lui, je doute ici qu'il s'agisse de Madame D'archer ou de Madame Von Horstën, mais bien particulièrement de lui-même. Il n'y a personne d'autre à sauver ici ce soir, n'est-ce pas?

Sur ces mots, Lise se tourna vers M. Clerson pour lui faire face. Elle détailla son visage et s'approcha de son oreille pour lui murmurer quelque chose à l'oreille. Puis reprit:

- Votre intérêt pour les risques semble marqué, Monsieur. J'espère que vous ne me tiendrez pas rigueur de ne pas affectionner ce type d'aventures moi-même. J'ai appris que la prudence est garante de notre sécurité dans ce monde où tous les risques farandolent au quotidien. Mais votre hospitalité est tout à votre honneur, je vous remercie infiniement. Je tâcherai de m'en souvenir afin de bénéficier de votre générosité sans fautes, soyez-en assuré. Dites-moi, Monsieur Clerson, vos toiles s'inspirent-elles d'un chef de file en particulier? Manet, Bordeleau, Degas, Renoir? Ou êtes vous sufisamment scrupuleux pour innover votre propre style d'une avant-garde surprenante?

Alister une fois entendu les réponse de la Primogène mets se caresse le menton comme pour réflechir jusqu'a ce que Louve revienne dans la conversation. Après avoir écouté les paroles de la Gangrel Alister acquiesse brièvement de la tête en sa direction puis se retourne vers Alexandra.

- Pardonnez une fois de plus ma distraction Madame. Les affaires petites et grandes que cette Camarilla entretient nécessite une attention primordiale dans les premières heures de sa constitution définitive. Pour le reste, je suis totalement de votre avis, il y a sans doutes des choses qu'il vaut mieux ne pas chercher à comprendre et ni vous ni moi ne serions la si nous ne l'avions pas comprit dans nos premières nuits.
De ce fait, j'assisterai au mieux Madame d'Archer.
Je suis certain que votre assitance et votre bienveillance m'aideront dans ma tache bien plus que le simple fait de me montrer dévoué.

Alister marqua une pause et acquiessa au regard étonné de la Primogène.

- En effet, vous n'êtes certainement pas sans savoir, qu'Arianne et moi même avons eu un petit déconvenu il y a peu. Rassurez vous, les choses sont a présent arrangées et notre intérêt pour la ville de Sherbrooke surpasse grandement nos querelles de voisinages.
Pareillement, Arianne devenant Prince, elle aura besoin de personne aussi solides qu'inflexibles pour asseoir l'essence du pouvoir remis par Quebec. En cela, je crois bon de me rendre disponible dans les prochains jours afin de mener a bien la possible tache qui me serait confiée.
Enfin, je suis certain que les choses sont déja établies de ce cotès la par vos bons soins a vous autres primogènes de la ville de Quebec. De ce fait, je suis sur que nos futures rencontres ne manqueront pas de mettre au jour le blason de notre clan.
Il est certain que par dela les mots que nous échangeons nous nous comprenons sur les buts a atteindre.

Alister fit une énième réverence en direction d'Alexandra comme pour lui faire passer un message.

- Excusez mon outrecuidance Madame, mais j'ai une requete pour vous, si d'aventure dans un avenir prochain, vous croisez mon estimé sire ou simplement entretenez avec lui une discussion épistolaire, je vous prie de lui faire savoir que je vais bien et que je tente d'assurer ici ce que j'ai manquer de réussir a Boston.
Je vous en serait très reconnaissant.
Car malgré les évenements, je reste très attaché, plus que ce que je ne l'aurais cru de prime abord a ce lien paternel qui nous unis, mais je pense que ce doit être la même chose pour chacun d'entre nous.
Bien sur, ne voyez la aucune faiblesse, simplement du respect, nous en convenons.

Alister regarda Alexandra avec une légère mélancholie dans les yeux qu'il arrivait a peine a masquer.

Après sa discussion avec Guillaume, Foxy recommence à arpenter le tour de la salle, observant les gens mais sans s'approcher d'un groupe. Elle se contente de faire des signes de tête à ceux qui lui font signe.