La nuit du 10 mai 2008

Lise regarda sortir William, un peu mal à l'aise de rester ainsi, seule assise près de sa "mère", elle tenta donc de se faire des plus discrètes, et observant les membres de cette assemblée, elle sortit un calepin de son sac à main et commença à prendre des notes.

* Paradoxe repondit tout bas a Lotus *

- C'est pas grave, ce soir ça a l'air qu'on a l'air de poubelles personne ne nous a reconnu

Il fit un clin d'oeil.

- Mais j'aime pas non plus que les 3/4 des gogules tremere de washington aillent ma photo, J'aime pas les Men in Black.

Isabelle avait entendu les explications d'Evra. Elle la regarda avec un sourire et dit sur un ton amical.

-Si je comprend bien, vous avez apporté des goules sur ce territoire sans ma permission ou celle de votre primogène. Je crois que c'est une offense assez grave, je crois aussi que dans la situation actuelle, vous deviez avoir peur. La prochaine fois, vous demanderez la permission à votre régente si je ne suis pas disponible.

-Pour votre information, votre goule était sur le côté de l'hôtel quand je l'ai croisé. Je crois qu'il ne s'attendait pas à me rencontrer. Pour ce qui est du reste, j'aimerais m'occuper moi même de ces goules, elles ont commis une offence sur le territoire de Sherbrooke. Le lieu d'origine de ces goules est Washington.

-Pour ce qui est de la vrai question, c'est quoi la situation délicate, qui concerne les tremere de Sherbrooke pour que même Québec ne sache ce qui se passe avec vous et cette grande sécurité. Avez-vous des soucis que vous aimeriez partager avec nous?

Isabelle attendit la réponse d'Evra.

Evra hocha la tête, elle avait conscience du bris qui avait été commis et elle devait prendre le blâme. Elle appela rapidement William pour lui dire de ramener les goules, que Québec s'en occuperait et de contacter Dorfman que ses goules étaient maintenant sous le contrôle de Québec. Elle se tourna ensuite pour répondre à Isabelle le regard terne, un regard qui n'avait pas vraiment changé depuis le début de la soirée.

- Je croyais à tord que d'avoir averti vos seconds aurait suffit. À Québec, ils étaient au courant que mon Heaven avait été violé et que des ennemis bien connus à Québec étaient probablement à la base de cette violation, j'en avait averti ma régente. Pour ce qui est de la situation délicate, elle sera réglée prochainement par une intervention de Québec. Mes hommes devaient quitter ce soir suite à une dernière rencontre. Voilà pourquoi aussi ils n'étaient que deux ce soir, les trois autres étant avec mes deux autres infants. C'est effectivement mon Sire qui avait arranger avec William l'arrivée de ces goules sur le territoire et sachez que je prendrais le blame complet pour ces actions puisque cela était de ma responsabilité d'avertir la présence de ces hommes, mais avec la confusion hiérarchique qui reignait en ville, il semble que la communication de ces informations aient fait défaut.

- Pour vos inquiétude Monsieur Paradoxe, il ont vu qui vous étiez mais ne possède pas vos images constamment sur eux de plus, ils ne connaissent pas aucun des noms des personnes dans cette salle. Ainsi, cela revient au fait qu'il vous ont vu tous, ce soir la, lors de l'événement à l'Élysée et c'est tout ce qu'ils connaissent sur vous. Mais si vous le désirez, effacer leur mémoire est très facile. Cela est inutile de vous inquiétez à leur sujet, même s'ils leur arrivaient quoi que ce soit, ils seraient incapable de fournir quelconques informations à votre sujet mis à part ma personne et celle de mes fils. Encore la, leurs connaissances sont très faibles à notre sujet.

- Quoi qu'il en soit, leur présence est dû au fait que n'ayant plus la sécurité d'un Heaven, j'avais la sécurité d'hommes qui pouvaient veiller sur notre sécurité de jours puisque nos ennemis pouvaient en tout temps nous attaquer dans cette situation. Je suis profondément désolé de toute cette sécurité qui fut mal vue, elle s'expliquait seulement par le fait que je ne voulais pas prendre de chance de perdre des gens qui m'étaient chers. Ce faisant, le blame me revient en totalité.

Evra garda le regard las n'ayant pas changé de ton. La tristesse était même palpable. Quelques instants plus tard, le cellulaire d'Evra bippa.

- Madame, William désire savoir ou il doit amener les hommes.

*Arianne prit la parole, elle parla sur un ton très respectueux en s'adressant à Isabelle.*

- Pardonnez-moi, mais selon ce que Québec avait transmit comme information, il semblait que Monsieur le Député était votre remplaçant en matière de gestion de la ville et comme porte parole de Québec. Alors, s'il a reconnu comme légitime la présence des goules de madame (en faisant un signe vers Evra), cela implique que Québec supportait aussi cette décision. Cela dit, rien n'excuse l'acte qui a été comis ce soir par cet homme. Comprenez que je ne remets pas en question votre jugement, mais simplement que j'aimerais que la situation soit la plus claire possible, afin que nous en comprenions tous les implications.

Evra leva regard vers Arianne...

- Mais ce qui m'inquiète le plus, c'est que si un de mes hommes a tenté d'empêcher Dame Isabelle d'entrer alors qu'il ne la pas fait pour les autres, cela pourrait signifier que leur liberté d'action a été altéré et le seul moment ou cela a pu se produire, c'est entre le moment ou je suis sortie de mon véhicule et le moment ou Dame Isabelle est arrivé. À moins, bien sûr, que cette altération ce soit fait de jour, à notre insu. Le reste du temps, ces hommes étaient toujours accompagnés d'un de mes fils. Il y a donc un risque qu'une entité qui vous est hostile, Madame, soit dans les environs ou se soit trouvé près d'ici.

Evra avait tourné son regard vers Isabelle.

- Quoi qu'il en soit, des investigations dans la mémoire de ces goules nous permettrait de peut être trouvé ce qui s'est passé. Une fois de plus, je suis désolé de tout ceci..Sachez toutefois qu'avec Dame Morgan, ils ont aussi contribué à la sécurité de la ville durant votre absence. Je connais assez ces hommes Madame, pour vous affirmer qu'ils n'auraient pas agit ainsi à votre égard sans y avoir été contraint. Je leur faisait assez confiance pour mettre ma non vie et celles de ma famille entre leurs mains...Ce faisant je ne peux expliquer ce qui s'est passé...

Jack arrive en moto sport, de cuir vêtu, ce stationne et regarde l autre moto.

Puis ce dirige dans l hotel.

- Bonsoir tous, tu as une belle moto Michel !

*Arianne salua Black Jack avec un sourire. Cependant, elle lui fit un léger signe de tête apaisant, lui indiquant de se faire plus discret.*

Lise prenait toujours des notes. Elle s'arrêta soudain pour observer Evra. Elle plissa les yeux, analysant les échanges qui avaient court.

Quelque chose d'étrange était en train de se produire, et quelque chose de fâcheux était sur le point de survenir. Elle en était sûre. Son regard passait constament entre Isabelle et Evra, contemplant ses propres pensées qui témoignaient de son inquiétude.

Lise se sentait de moins en moins confortable et choisit de se lever, doucement, s'excusant timidement, et marcha autour du périmètre de la salle, comme prise au piège, à la recherche d'une autre issue. Mais, elle prenait bien soin de ne jamais rejoindre la hauteur d'Isabelle, ni, encore moins, de passer derrière elle.

Elle avait, bien sûr rangé son calepin dans son sac à main qu'elle amenait toujours avec elle comme un bien plus précieux encore que son propre coeur.

Il y avait un moment qu'elle était arrivée. Elle avait observé de loin, ce qui s'était passé. Le petit boisé situé à l'ouest de l'hôtel, lui avait donné le loisir de la discrétion. Ses yeux perçants lui avaient permis de voir de très loin tout ce qui se passait aux alentours de l'hôtel. Elles avaient vu des hommes qui ressemblaient à des agents secrets patrouiller autour de l'hôtel. " Bravo pour la discrétion " se dit-elle. Elle eut un sourire quand elle vit les deux hommes repartir un peu plus tard. Elle avait garé sa voiture près du parc et avait marché. Témoin de l'arrivée de plusieurs personnes, elle sentait une animosité dans l'air, comme quelque chose de palpable.

Louve avait délaissé son manteau d'hiver pour des shorts montrant de petites égratignures aux cuisses. Elle portait néanmoins un chandail à manches longues ; les nuits sont encore fraîches.

Quand elle entre dans la pièce, elle regarde tout le monde, sans dire un mot. Son regard noir (littéralement) se pose sur Evra, puis parcourt la salle. La Gangrel cligne des yeux et ces derniers redeviennent d'un vert profond. Elle regarde Isabelle et le député :

- Désolée pour le retard. (Elle les salue de la tête). Madame Isabelle, monsieur le député.

Louve va prendre un siège, encore découragée d'être ainsi confinée dans un espace sans fenêtre.

*Arianne regardait Lise faire les cents pas. Elle semblait un peu absorbée. Puis, elle lui fit un sourire qui se voulait rassurant. Elle regarda ensuite du coin de l'oeil monsieur le député, une expression neutre au visage.*

Salut Jack!

Comment t'as d'viné qu'c'tait la mienne? Le casque, c'est ça!? Y'a des indices qui mentent pas...

Michel tira une chaise et, sentant Lise mal à l'aise,

Tsé, Lise, si tu cherches une place pour t'assoir...

* Sentant la tension monter Paradoxe commencait a ce mordre les lèvres. Alternant son regard sur Evra et Isabelle. Il commencais a tapoter des doigts sur la table et a faire de trembler sa jambe de façon frénétique. *

Il ce pencha vers Lotus et dit tous bas :

- On retrournes-tu en vacances?

*ce fut au tour de Morgan dentré dans la salle,elle a de nouveau vetement,vetue avec des vetement de marque en plus,classe,mais avec la touche rebelle indeniable,(je vous mets la photo des que je la retrouve)et ca lui va faut le dire vachement bien,elle regarde chaque personne et dira*

Desollé de mon retard,jai été prie quelque part de pas a coté je vien de revennir

Evra se tourna soulagée vers Morgan...En plein la personne qu'elle avait besoin pour plaider sa cause...Dans son état actuel, elle était incapable de se défendre elle même. Elle avait la tête ailleurs et ne pouvait de toute manière rien y faire...Soit quelqu'un avait voulu s'attaquer à elle en poussant ses goules à attaquer Isabelle...Soit cette même personne avait voulu s'en prendre à Isabelle. Quoi qu'il en soit, elle n'avait aucun preuve de l'innoncence des goules et n'y pouvait rien...Mais Morgan connaissait la situation, elle avait travaillé avec ses hommes.

- Dame Morgan... Vous avez travaillé avec mes agents, vous les savez dignes de confiance...Un des gars a tenté d'empêcher Isabelle d'entrer dans l'Élysée...Je ne comprends pas leurs ordres étaient pourtant clair. Enfin quoi qu'il en soit, Dame Isabelle m'accuse maintenant d'avoir gardé illégalement des goules sans le consentement des autorités....Ce doit être une confusion...

*Morgan regarda Evra,lecoutant,et arqua un sourcil,puis regarda Isabelle*

C quoi cette histoire la? ses ghoul on les avais autorisé,enfin je les avais autorisé,donc le consentement des autorité est donné,etant donné que je suis lautorité quand vous etes absente,et gardé des ghoul illegalement,c quoi encor le rapport? selon les lois camarilienne,elle na commis aucne faute,aucun bris de tradition,et en plus,ces ghouls,comme elle le dit,je les connais pour les avoir cotoyé,elles sont competentes et bien encadré,donc je me demande bien,quel regles elle a enfrein,mais peut etre pourriez vous meclairé,car la......

*la lassitude et lecoeurement de Morgan vis a vis des stupidité de la ville et ses broutille commence a lennervé*

*Arianne écarquilla les yeux d'étonnement en écoutant Morgan. Elle ne dit rien. Elle prit soin de ne pas regarder Isabelle.*

Isabelle avait écouté les arguments d'Evra et d'Arianne. Elle était sur le point de prendre la parole quand Morgan fit son entrée et prit la parole. Le regard d'Isabelle se posa sur Morgan. On pouvait sentir la haine dans ce regard.

*elle reste la a regardé Isabelle,sans air de defie ou de mennace,mais elle ne sassois pas,attendant sa reponse*

Le député regarda Arianne et lui rendit son sourire. Il écouta tous ce qui se disait autour de cette table. Il regarda Morgan pour essayer de lui faire comprendre qu'elle se dirigeait vers une pente glissante. Quand Morgan eu fini de parler, il regarda Isabelle et décida de prendre la parole.

-Isabelle, je vous demande de prendre la parole. Je vais mettre les choses aux claires. Pendant votre absence, madame Suzie Desbiens m'a conféré les pouvoir de cette ville. Arianne ici présente à parlé avec madame Desbiens et peut confirmer ce que j'avance. En plus, personne ne m'a parlé des goules, je venais d'arrivé. Je n'avais pas un recensement des goules et des vampires de la ville. Je crois que cette confusion peut se régler par seulement la perte des goules, mais c'est vous qui allez décider madame Isabelle.

Le député attendit la suite...

*morgan prie la parole*

Excusé moi dinterrompre a nouveau,mais je doit specifié ceci

Monsieur le deputé,jetait au courant de tout cela,et je ne vous ai jamais vue me demandé linformation,je crois que on a un serieux manque de communication dans notre organisation et cela nuit a tout le monde,tous ici on sais combien une bonne ghoul est rare......alors pourquoi cherché a les eliminné toutes pour les fautes de une seul?

Lotus écoutait tout le monde tirer leur bout de couverture. Elle fron^ca les sourcils à la
mention de goule...

Dit? C'est quoi une goule???
Et si ça dégénère... je coirs bien que nous allons effectivement retourner en vacances plus vite que je ne crois...

Isabelle avait écouté la conversation, elle regarda le député et ensuite Arianne. Elle dit sur un ton autoritaire.

-Arianne, il serait bon que tu remets ton député à sa place, je parle ici de Morgan. Pour ce qui est de la goule fautive, je me chargerais moi-même de faire appliquer sa sentence. Pour ce qui est du reste, je crois que le sujet est clos, il est vrai qu'il a eu un mal entendu et tout va se régler se soir par les annonces que j'ai à faire. Donc, je vous remercie de votre collaboration madame Evra et je crois que vous pouvez comprendre ce petit incident.

Isabelle attend la réponse d'Evra.

Dans la tristesse d'Evra, ses yeux brillèrent de reconnaissance...Oui oui de reconnaissance. Elle était visiblement soulagée et mal à l'aise de tout cela.

- Je vous remercie Madame. Sachez que je considère vous devoir une faveur pour cette affront fait à votre personne. Pour les autres goules, si vous acceptez, je les renvoyerais dès ce soir à Washington pour que nous n'ayons plus de problèmes avec elle. Pour la goule fautive, elle le mérite. Par contre, une investigation sur elle en profondeur serait bien...Je dois vous avouer que j'aimerais bien savoir ce qui s'est passé dans sa tête à celui la...Ainsi, elle vous sera remise. Ou voulez vous que William l'apporte?

Evra fit un signe de tête en respect à Isabelle attendant sa réponse.