Le couronnement du Prince de Sherbrooke

Suivant Arianne de près, Lotus souriait aux invités, lorsque Mikael quitta
son bras pour prendre celui d'Arianne. Le sourire de Lotus disparue
quelque instant, à peine un battement de cil. Elle serra le bras de Paradoxe
et ce laissa entrainer à sa suite.

En arrivant près des gens de Québec, Lotus avait retrouvée son aplomb
et son sourire. Elle pris note mentalement des noms et de leur rang, ainsi
que de lA'ttention que leur portait Arianna. Elle fit une révérance, voyant
faire Paradoxe et Mikeal. Ne sachant quoi dire elle les observa etécouta les
autres faire s leur présentations.

Aux paroles de Paradoxe, elle ne put retenir un fou rire qu'elle sut calmer asser vite.

Alan avait écouté toutes les paroles de Lise. Il trouva ça drôle de voir l'état dans lequel elle se trouvait face à cette discution. Il prit la parole sur un ton amical, mais courtois.

-Je trouve triste que la solidarité entre membres de clan n'est pas la même dans chaque ville. Je dois être trop vieux, je ne dois pas comprendre les intérêt à avancé seule dans la non-vie. Pour ce qui est de la peinture, je peinds comme ça me vient, je n'ai pas d'inspiration prédéterminé. Je suis un artiste qui suit le courant du temps et des émotions qui l'habite. Les artiste que vous m'avez nommé sont célébres, mais les copiés serait leurs manqué de respect, pour ce qui est de s'en inspirer, je crois qu'on s'inspire indirectement de tous ce qui nous entoure pour créer de nouveaux styles, vous n'êtes pas d'accord?

Alan fit un pause avant de reprendre sur le même ton.

-Pour ce qui est du risque, je ne sais pas de qu'elle aventure vous vouliez parler madame, moi, je voulais parler de faire votre portrait Je ne demande rien d'autre que ce que je vous ai déjà proposé. De toute manière, si vous avez peur de moi, il y a d'excellent hôtel à Washington, surtout ceux ou les dignitaire d'autre pays viennent séjourné. Mais je suis sur que la visite de Washington va vous faire du bien. Vous pouvez amener un ami si vous le voulez. C'est à vous de voir.

Alan fit un pause et regarda la foule se mouvoir dans la pièce. Il semblait attendre la réponse de Lise.

Alexandra avait écouté les paroles d'Alister avec intérêt. Elle se souciait très peu de la femme qui venait les déranger si souvent. Il y a des gens qui se sentent obliger de faire des choses comme ça. Elle prit la parole sur un ton amical.

-Je suis certaine que vous ferez tous ce qui est en votre pouvoir pour que cette camarilla puis vivre de par elle-même. Je ne suis pas sur si tous les gens qui la compose sont près à faire ce grand saut et tout faire pour que ça marche. Je suis sur qu'avec votre charisme et l'esprit de direction d'Arianne, vous avez toutes les cartes dans vos mains pour que ça fonctionne. Il suffit d'un peu de bonne volonté de tous. Pour ma part, je suis prête à vous donner des conseilles comme dans le passé, si vous le désirez. Ma porte n'est pas fermé parce qu'on n'est plus dans la même Camarilla. Il me fera toujours plaisir de vous aider. Pour ce qui est de votre sir, si je le croise ou je lui parle, je me ferez un point d'honneur de lui annoncer les bonnes nouvelles vous consernant. Je comprend ce lien d'attachement qu'on peut avoir avec son infant et son sir.

Alexandra resta silencieuse et attendit qu'Alister continue la conversation.

Vitel avait écouté les paroles des dames autour de lui, il fut soulagé de voir quitter la chose qui avait pour nom Jack. Il se concentra sur Evra et pris la parole sur un ton charmeur.

-Madame Von Hörsten, je suis certain que vous trouverais un peu de temps pour m'accompagner dans la ville lumière. Pour ce qui est de votre amie Arianne, je suis sur qu'elle est comme moi d'avis qu'un peu de vacance vous ferais un très grand bien. Le surmenage n'est pas bon, même pour nous les gens de la nuit. Vous avez fait tant de chose pour Arianne depuis un certain temps, peut-être pourriez vous prendre une pause. Je peux lui demander pour vous si vous être trop gêner pour lui demander, une amie comme Arianne devrait être compréhensive et comprendre vos besoins comme vous avez fait pour elle.



Diane prit la parole lorsque Marcus fit une pause, elle prit un ton intéressé.

-Madame Von Hörsten, j'aimerais bien savoir ce que vous avez accompli pour Arianne dernièrement. Je sais que c'est une femme fort occupé et qu'elle n'a pas toujours le temps de voir ces amis, mais qu'elle est le projet que vous avez fait pour elle dernièrement?

Marcus reprit la parole sur un ton courtois.

-Madame Von Hörsten, a réussi à former une alliance entre trois camarilla, le tout lors d'un Vernissage organiser pour Arianne. Arianne est venu exposer ces plus belles oeuvres dans la ville de Washington. Deux Princes qui connaissaient bien cette femme sont venus sur mon territoire. Nous avons parlé ensemble et sommes arrivés à une entente. C'est grâce à madame Von Hörsten. car sinon je n'aurais pas connu Arianne, et le vernissage n'aurait pas eu lieu. Le vernissage fut organisé par madame Annie De Louis-Seize, primogène Toréador de Québec. Elle a toute organiser avec l'aide des toréador de Washington bien sur.

Diane reprit la parole sur un ton courtois.

-Madame de Gonsaque a fait un vernissage à Washington et n'a pas invité ses amis de son clan en France. Je connais énormément de gens qui risque d'être attristé en attendant cette nouvelle. Je comprend monsieur Vitel, madame Von Hörsten, lorsqu'il vous propose des vacances, et Paris est si jolie à cette période de l'année. Vous devriez vraiment y penser.

Diane attendit la réponse d'Evra.

Les gens qui était autour du groupe formé d'Arianne, Paradoxe, Lotus et Mikael, avait un sourire sur les lévres en entendant la salutation de Paradoxe.



Monsieur Landreville prit la parole sur un ton amusé.

-Chère Arianne, vous ne devez pas vous ennuier avec des personnes aussi sympathique que monsieur Paradoxe. Je suis enchanté de faire votre connaissance à tous. Pour ce qui est de vous madame D'Archer, plusieurs personnes s'arrachent votre attention ce soir. C'est vrai qu'une femme de votre envergure, il ne faut pas la laisser seul trop longtemps de peur de perdre son attention. Je suis vraiment content de votre nomination au poste de prince de cette ville madame D'Archer. J'espère que votre règne sera aussi long que le mien ou bien celui de monsieur De La Verra, félicitation madame D'Archer.



Rebecca prit la parole sur un ton amical.

-Nous sommes tous contents de vous rencontrer, madame Lotus, Paradoxe et Mikael. Il est certain que les gens d'Ottawa n'auraient râté cette événement pour rien au monde. Il est toujours intéressant de voir les gens qu'on a eu sous notre tutelle un temps progressé. Je suis vraiment fière de toi Arianne. Moi aussi je te souhaite un très long règne et beaucoup de succès.

Rebecca attendit la suite de la conversation.

Le sourire d'Evra disparu momentanément...Si elle avait su garder sa façade aussi longtemps, elle commençait à la trouver moins drôle...Toutefois, malgré une lueur de colère dans les yeux, elle retrouva rapidement son attitude courtoise et respectueuse après avoir détourné son regard du groupe quelques instants. Un large sourire revint sur les lèvres d'Evra alors qu'elle répondit d'une voix 'enjouée'.

- Mais voyons mon cher Marcus, ce fut loin d'être un effort pour moi de vous présenter ma chère amie! Au contraire, pour moi ce fut des vacances ce voyage à Washington.

Elle eut un léger rire courtois avant de répondre à Madame Monette.

- Mon fils William devait organisé un Vernissage à Washington pour Madame de Gonsaque mais sitôt que Monsieur Vitel a appris la nouvelle, il s'est empressé de reprendre le projet. Ce qui fut très courtois de sa part bien sûr! Cela a assuré à Dame d'Archer toute une visibilité...

Elle tourna son visage vers Vitel pour lui envoyer un de ses sourires que lui seul, la connaissant bien, pouvait déchiffrer parmi ce groupe. Ce genre de sourire qui voulait dire 'N'est-ce pas???' de manière un peu ironique. Elle retourna ensuite son regard vers Madame Monette.

- Pour ce qui est du voyage à Paris, Monsieur Vitel et moi auront sûrement l'occasion d'en reparler autour d'un bon verre, n'est-ce pas très cher?

À cette question, Evra posa son regard dans celui de Vitel...Encore une fois, il savait très bien déchiffrer ses pensées qui laissaient clairement sous entendre qu'ils devraient en reparler... Elle retourna ensuite son regard sur les trois dames de Paris toujours avec un sourire courtois.

- Madame de Gonsaque est certes compréhensive, sauf qu'elle aura besoin de gens de confiance pour bien établir son nouveau pouvoir après tout. Si cela ne me surprend guère que le pouvoir lui ait été remis, il n'en reste pas moins que nous avons tous été surpris de la rapidité à laquelle s'est déroulée le processus. Pour l'instant, il est encore difficile de savoir si elle ferra appel à mes services pour l'épauler voilà pourquoi je préférais ne pas trop m'éloigner à l'immédiat. L'invitation, par contre, est certes intéressante...Nous vous en redonnerons des nouvelles rapidement soyez en assurée.

Evra finit par se taire, exaspérée d'avoir à patiner ainsi...malgré tout, sa façade resta impécable...en espérant que cette conversation n'allait pas la poser en situation plus inconfortable encore...

Mikael eut un sourire en coin en entendant le Prince d'Ottawa avant d'adresser ses salutations avec une étiquette sans faille faisant honneur à l'éducation que sa mère lui avait inculquée.

- Permettez moi à mon tour de vous faire part de l'honneur que cela me fait de rencontrer des gens de votre stature. Il ne fait aucun doute en mon esprit que Dame D'Archer ferra un travail impeccable en tant que Prince de Sherbrooke. Elle a plus que le doigté et la patience nécessaire pour gouverner cette jeune ville. Et comme je puis le voir, elle aura aussi des gens d'expérience et de qualité pour l'appuyer si nécessaire.

Mikael adressa un léger sourire vers Arianne avant de tourner la tête vers le fond de la salle en direction de sa mère le regard momentanément inquiet. Il finit par retourner son regard sur le groupe retrouvant immédiatement un sourire courtois et poli.

- Une chose est sûre Dame d'Archer, vous pourrez toujours compter sur notre famille pour vous appuyer dans vos fonctions. Après tout ce que vous avez fait pour nous, c'est la moindre des choses de vous rendre la pareil.

Le tremere adressa un sourire amical à Arianne avant de retrouver son silence alors qu'il réalisa le départ de Jared de la salle.

Lorsque M. Clerson reprit la parole, Lise fronça les sourcils, contrariée d'avoir été aussi mal comprise. Son doux visage exprimait son désaccord face ce que M. Clerson interprétait comme un manque de solidarité et un désir de solitude.

- Je crois, Monsieur Clerson, que vous vous méprenez à mon sujet.

Elle jeta un coup d'oeil vers Black Jack tout en continuant de parler au primogène de Washington.

- La solidarité n'a rien à voir avec le fait que certaines étapes sont à franchir dans une relation interpersonnelle avant d'obtenir l'illustre privilège de qualifier cette relation d'amitié. Comme je vous l'ai déjà mentionné, je ne connais pas Monsieur Jack, si ce n'est de par ses prouesses pour nous divertir... Je n'oserais donc pas porter insulte à aucun de nous en me targuant d'une quelconque amitié avec ce dernier.

Elle prit un ton plus enjoué pour continuer et retrouva son sourire superbe et renversant:

- Quoi qu'il en soit, je suis absolument certaine que le style que vous développez en peignant selon les courants et vos émotions de passage est tout-à-fait unique et particulier. Le plagiat est en effet un outrage scandaleux et jamais je n'aurais osé insinuer que vous pouviez être adepte d'une pratique aussi rustre. Je suis en effet bien d'accord pour dire, comme vous, que de toute évidence tout artiste s'inspire d'une variété inouïe de styles observés dans son entourage qui s'adaptent à son interprétation propre et personnelle. Je serais curieuse et impressionnée d'apprendre si vous connaissez personnellement certains des artistes que je vous ai cités, Monsieur Clerson...

Lorsqu'Alan évoqua le désir de la peindre, Lise parût surprise, même peut-être prise au dépourvue. Son regard se perdit dans une pensée, ou peut-être était-ce un souvenir. Elle répondit, le regard toujours dans cette pensée:

- Faire mon portrait, dites-vous? Il y a fort longtemps qu'on ne m'a pas peinte, je dois l'avouer. Ce serait évidemment un honneur, Monsieur.

Puis, son attention revint sur Alan. Son regard était franc et profond, le ton plus sérieux.

- Je considère seulement qu'il est risqué de voyager seule, tel que vous le proposiez plus tôt... J'ignore pour quelle raison vous pouvez croire un instant que je puisse avoir peur de vous et que je puisse ainsi donc refuser votre offre généreuse puisque je viens de vous assurer que je tâcherai de me souvenir de votre délicate invitation.
Vous êtes un homme tout-à-fait charmant, Monsieur Clerson. D'interpréter mes paroles de la sorte pourrait nous mener à moultes maldonnes fort regrettables, il va sans dire. Cependant, si vous préférez me retirer l'invitation en votre demeure pour me faire découvrir, à la place, ces excellents hôtels qui font partie de l'orgueil de Washington, je me soumettrai humblement à votre volonté.

Le regard de Lise accompagna ensuite celui d'Alan sur la foule qui se déplaçait et se regroupait ici et là dans la salle...

- Loin de moi le désir de vous paraître insolente, Monsieur Clerson, mais je ne crois pas connaître tous ces visages illustres qui nous ont fait la grâce de leur présence ici ce soir. Je serais tout-à-fait honnorée de leur être introduite par quelqu'un d'aussi charmant que vous, si vous m'en jugez digne...

* S'adressant a Monsieur Landreville *

- Le couronnement de dame Arianne est une excellente chose et elle aura mon apuie tant que je serai dans cette ville. I^l ne fait aucun doute que Arianne va prendre exemple sur vous et sur M. De la Verra dans ses nouvelles fonctions alors son règne sera grand.

- Je ne sais pas si je peux me permettre, n'hésitez pas si vous ne voulez pas parler de cela mais je suis sur une enquête a titre personnel et je me demandais si vous connaisiez des regroupement de chasseurs qui oeuvraient à Berlin a l'époque de Napoléon. Je ne veux pas briser l'ambiance alors si vous jugé cette question déplacé, ignorez la simplement.

*Arianne remercia M. Landreville et Rebbeca. Elle rendit ses sourires à Mikael et sourit aussi à Paradoxe. Arianne semblait ne pas se sentir très bien. Elle lança un coup d'oeil à Rebbeca. Elle s'adressa au groupe*

- Veuillez m'excuser. Je n'ai pas encore fait mes salutations à tous les invités. Je vous laisse en bonne compagnie que vous saurez apprécier j'en suis sure. Vous êtes biensur les bienvenus chez moi pour passer la journée, si d'aventure vous n'aviez pas arrêter le choix de votre toit pour demain. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser.

*Arianne salua les personnes à qui elle s'adressait, puis se déplaça un peu pour arriver à la hauteur des membres de Québec qu'elle salua.*

- Annie, j'aimerais te remercier pour la superbe soirée que tu as organisée pour moi. Suzie et toi vous êtes vraiment dépassées pour ce soir. J'aimerais biensur te faire part de ma reconnaissance, aussi j'ose espérer que ton séjour à Sherbrooke pourra duré un peu plus longtemps que prévu.

*Arianne s'adressa ensuite à Isabelle.*

- Vous m'avez l'air de bonne humeur ce soir. Vous avez du remarquer que j'ai tenté de vous contacter ces derniers temps. Il est évident que vous deviez être très occupée, aussi je crois qu'il nous sera possible après les événements de ce soir de prendre rendez-vous dans un avenir proche. J'ai des choses, qui ne se prêtent pas à l'esprit de fête du moment, dont j'aimerais vous parler. Je suis convaincue que de votre côté, vous avez le désir de discuter avec moi.

*Puis, Arianne s'adressa à nouveau à M. De La Verra. Elle jeta juste avant un regard vers le groupe comprenant le trio de femmes et le couple Vitel-Evra.*

- J'espère que le déroulement de la soirée vous est agréable. À voir les gens présents ce soir, j'ose croire que votre dernier voyage s'est bien passé. Je serais curieuse de savoir quelles nouvelles vous ramenez avec vous. Peut-être auriez-vous croisé de mes amis.

*Arianne avait le regard sérieux. Elle semblait attendre quelque chose de M. De La Verra, plus que des banalités dont elle parlait.*

Arthur se rendit bien compte que Mathew avait de la misère à gérer la situation autour d'Arianne. Il se doutait qu'un jeune homme comme lui pourrait avoir besoin de conseil. Il s'approcha de Mathew et lui parla près de l'oreille en chuchotant.



Mathew semblait trouver la proposition d'Arthur intéressante, car il sourit en entendant les paroles d'Arthur. Il lui répondit sur le même ton près de l'oreille. Après Mathew se dirigea vers la belle Arianne avec un sourire sur les lèvres. Il arriva derrière Arianne et l'embrassa langoureusement dans le cou. Il lui chuchota quelque chose dans l'oreille. Il avait toujours le même sourire satisfait sur les lèvres.

Arthur arriva peu de temps après sur le côté de Mikeal qui était toujours près d'Arianne. Il le regarda avec un regard sérieux et prend un ton neutre.

-Je crois monsieur que vous avez bien du culot de ravir la partenaire d'un autre homme. Vous semblez bien jeune et moi et Mathew pensons que votre éduaction devrait être prolongé. Je ne sais pas qui est votre sir monsieur, mais il aurait du vous apprendre le savoir vivre et les bonnes coutumes en société.

Arthur fit une pause avant de reprendre sur un ton courtois vers les gens de Québec et Ottawa.

-Chers membres de la grande ville de Québec et d'Ottawa. Moi et Mathew sommes désolé de perturbé votre discution. En temps normal, j'aurais rien fait, mais vu que la chevalerie est de mise ce soir et qu'il faut éduquer certaines personnes, je crois qu'il serait bon que cela se produise devant des gens d'expérience qui partage mon opinion et celle de mon jeune collègue de New-York.

Arthur fit un autre pause avant de poursuivre sur un ton sarcastique.

-Mon cher monsieur dont je ne connais pas le nom, et dont je me fous royalement, vous devriez apprendre les bonnes manières. Lorsqu'on veut devenir le cavalier d'une dame qui a déjà une escorte, vous devriez demander la permission à cette personne avant de pouvoir devenir le cavalier de cette dame. Vous devez pensez à la courtoisie et au respect des traditions. Avant qu'un conflit commence en ces lieux, je vous demanderais de vous excusez à Mathew pour l'insulte que vous avez fait à lui et à son rang. Pour ce qui est du reste je donne la parole à Mathew.

Mathew prit la parole sur un ton très sarcastique.

-Je crois mon cher jeune homme, que des excuses à moi et madame Arianne s'imposent. Devant tout les gens de cette assemblé, mais aussi à mon primogène qui n'aimerais pas savoir que vous méprisez l'honneur des gens de New-York...



Monsieur Victor Duffield arriva sur le fait même près de la discussion qui semblait animée. Il prit la parole sur un ton sérieux.

-Je suis bien d'accord avec ces deux jeunes hommes. Donc je vais aussi demandé à Suzie qu'elle vous laisse la parole mon cher jeune homme insouciant.

Victor ce dirigea vers Suzie, et lui parla à l'oreille.

Suzie et Victor reviennent près du groupe. Suzie prend la parole sur un ton très courtois.



-Messieurs et mesdames, je vous prierais d'excuse cette petite intérruption dans votre discussion. J'ai une petite rectification à faire à tous.

Suzie prit la parole pour que tout les gens de la pièce puisse entendre ces paroles.

-Mes chers amis, ce soir l'éducation d'un jeune jouvençeau doit être fait. Pour qu'il puisse apprendre de ces erreurs et ne jamais les reproduire. Je demanderais au fils d'Evra de prendre la parole et de bien vouloir s'excuser d'avoir rien compris à la politesse et les règles de bienscéances.

Suzie attendit que ce jeune homme prenne la parole.

Mikael fut totalement surpris par tout le cirque qui se déroulait autour de lui...Il allait s'adresser à Suzie lorsqu'Evra s'excusa poliment auprès des Dame de Paris et de Vitel pour ensuite se tourna soudainement dans une colère noire. Elle quitta le groupe et se dirigea vers le centre de la pièce ou se déroulait et se tourna vers le compagnon d'Arianne avec toujours son regard noir. Sa voix montra clairement son insulte.

- Je pourrais savoir ce dont exactement vous accusez mon fils...Étant mon infant et ayant un devoir de responsabilité, j'aimerais savoir quelle est sa faute. Pourquoi devrait-il s'excuser à cette assemblée?

Mikael sembla totalement dépassé par le tout...Était-ce son clin d'oeil complice qui avait offensé l'homme? Ou le murmure qu'il a posé dans l'oreille d'Arianne...Il avait pourtant jamais prétendu être le compagnon d'Arianne. Il regarda alors sa mère et lui fit un regard voulant dire qu'il allait régler cela. Il voyait bien qu'elle pompait et vu son caractère des derniers temps, ce n'était pas une bonne idée de la mettre en colère. Il prit la parole d'un ton courtois et repentant.

- Mère, ne vous inquiétez pas pour cela. Monsieur ici prétend que je lui ait ravis sa place en tant que compagnon de Dame d'Archer, ce que je n'aurais jamais osé faire. Semble-t-il que le fait que j'ai félicité Dame d'Archer pour son poste dans un murmure, et le fait aussi que je lui ai fait un clin d'oeil complice et amical ait été mal perçu par l'homme ici. Alors voilà je m'excuse officiellement devant cette assemblée pour cet affront de taille à l'étiquette et je tâcherais de me tenir loin de votre compagne, une bonne amie de notre famille, pour vous rassurer. Ainsi je réitère mes excuses pour cette confusion que mes actions ont pu causé et je vous assure, que je n'ai aucun désir de vous ravir votre partenaire. Je n'aurais jamais la prétention d'offrir mon bras à la nouvelle Prince de Sherbrooke. J'adresse aussi mes excuses à tous pour avoir perturbé cette soirée...

Mikael allait rajouter quelque chose lorsqu'Evra explosa dans un colère qu'on lui connait bien...Mais pas à tel amplitude....Sa voix était glaciale et sans être irrespectueuse, elle ne respirait pas le respect non plus...

- Je vous demande pardon Monsieur, vous venez d'insulter l'éducation que j'ai légué à mon fils...Pour un murmure et un clin d'oeil complice...À la limite un demi sourire??? Vous perturbée la réception de VOTRE compagne, son couronnement, pour une simple crisette de jalousie? Si vous tenez tant à accompagner Dame D'Archer, comment se fait-il que vous ne soyez pas à ses côtés présentement? Mon fils n'a jamais eu l'intention de vous VOLER votre compagne, il se trouve que nous sommes dans une réception qui regroupe plusieurs personnes qui connaissent bien la future Prince, et qui entretiennent de bonne amitié avec elle et quie on PLEINEMENT le droit de lui accorder ne serait-ce que quelques minutes de leur attention pour lui adresser leurs félicitations. D'AUTANT plus si elle le permet.

Elle se tourna ensuite vers la sénéchal de Québec d'un ton neutre mais respectueux.

- Madame Desbiens, mon fils a fait ses excuses. Maintenant, pour éviter des crises de jalousie plus problématique, il va quitter la réception. J'espère que cela vous satisfait.

Personne..mis à part Mikael et Vitel...n'avait déjà vu Evra dans une telle colère. Elle bouillait et ne se gênait pas pour dire sa façon de penser. Elle aggripa fortement le bras de son fils pour se diriger vers la sortie alors que Mikael eut un regard totalement effrayé au visage...Il ne le cacha pas, il avait peur de la suite...Il se déroula toutefois assez de temps avant la sortie pour que d'autres personnes réagissent.

Louve avait été témoin, bien malgré elle, de cet imbroglio, digne des soaps américains. Elle se recule et met sa main sur sa bouche pour ne pas éclater de rire, face au ridicule de cette situation." Comment faire une montagne avec un grain de sable, pensa-t-elle. "

Elle ne pouvait plus se retenir, tellement qu'elle marche d'un pas rapide vers la sortie par respect pour les invités. Elle sort un moment pour se laisser aller à rire, comme elle n'avait pas ri depuis un bon moment. Elle s'était suffisamment éloignée pour que personne ne puisse l'entendre.

Elle reste dehors un moment pour ensuite revenir à l'intérieur, s'essuyant les yeux. Elle retourne s'asseoir sur le bord de la fenêtre, d'où elle peut voir le plus beau spectacle d'acrobaties et de pirouettes sociales jamais présentés.

*Arianne se cripsa légèrement lorsque Mathew l'embrassa dans le cou de façon si "attentionnée". Elle eu l'air surprise lorsque celui-ci lui chuchotta à l'oreille. Elle lança un regard réprobateur à Arthur lorsqu'il commença son discours. Devant l'ampleur que prenait les événements, Arianne leva les yeux au ciel, son expression exprimant la lassitude. Elle agrippa Mikael par le bras et lui murmura quelque chose à l'oreille et le relâcha. Elle s'adressa à tout le monde autour du groupe.*

- Si vous voulez bien m'excuser messieurs, mesdammes.

*Arianne se retourna ensuite vers Suzie et l'agrippa elle aussi par le bras l'emmenant un peu plus loin, elle lui parla tout bas, lançant un coup d'oeil vers madame Larochelle.*

Lotus écoutait les conversation, visiblement pas très à l'aise avec les mondanités.
Elle détourna la tête quand Paradoxe posa se question sur Berlin. Elle attendit la
réponse des invités avec attention. Quand Arianne quitta elle la suivit des yeux
quelques instant et fut témoin de l'altercation entre Mikael et les autres. Elle serra
le bras de Paradoxe pour lui faire comprendre que quelque chose n'allait pas. Quand
Evra se mella à la conversation, Lotus ouvrit grand les yeux, elle ne pensait pas que
la dame pouvait se mettre autant en colère. Elle regarda Evra se diriger vers la sortie
après avoir émmis la directive que son fils quitterait pour le reste de la soirée. Lotus se
penchat à l'oreil de Paradoxe pour lui parler.

Voyant quer la situation pouvait dégénérer à chaque instant, Guillaume s'approcha du groupe qui venait de perturber la quiétude de la soirée. Il vint près d'Arianne et lui murmura quelque chose à l'oreille.

Il regarda ensuite Matthew et Arthur avec un visage sérieux, mais sans être menaçant,

- Messieurs, en tant que gardien de cet élysée, je considère que vous étiez les premiers fautifs dans cette altercation. Sachez que votre façon de reconquérir votre place auprès de notre prince était cavalière et peu courtoise. Continuez votre manège et vous n'aurez plus l'occasion d'être au bras de notre prince ce soir.

Sur ces derniers mots, Guillaume balança son regard vers la porte.

-Suis-je assez clair?

Alister profita du silence imposé par la voix grave du Nosferatu pour s'excuser auprès de la Primogène Ventrue et prendre la parole d'un ton courtois malgré une fermeté relative a l'attention de Matthew.

- Je vois que les bonnes manières sont une richesse en voie de perdition d'autan plus lorsque l'on en fait son arme de bataille mon Cher. Tout autan que l'indélicatesse dont vous faites preuve en critiquant celle parmi nous qui est la mieux a même de se vanter d'une éducation sans failles aucune. En outre, je ne pense pas avoir accompli le chemin qui est le mien au sein de cette ville pour voir mon Prince se faire souiller et insulter de la sorte, pas plus que de voir les illustres membres de cette assemblée subir la vindicte de vos pueriles critiques.

Par conséquent, eut égard a la nature festive de cette soirée tout autan qu'a votre rang dans notre société, l'affront qui aurait mérité une réponse aussi immédiate que passionnée ne sera sanctionné que par un avertissement courtois et définitif.
Ne recommencez pas cela monsieur, nous aurions tous mauvaise grace de voir cette soirée s'achever sur un mouvement inconsidéré de votre personne aussitot suivit de la riposte du peu d'honneur que nous sommes capable de mettre sur le tapis pour défendre nos intégrités.

Je vous remercie Monsieur de prendre bonne note de ces derniers mots, car il n'y en aura pas d'autres vous concernant.

Alister une fois fini sont discours détourna son fauteuil dans la direction d'Alexandra et reprit la conversation comme si de rien n'était.

Voyant Guillaume prendre les choses en mains, Lotus parut se détendre une fraction
de seconde, elle écouta les paroles du Nosfératu avec attention. Elle espérait de tout
coeur que les choses reviendrait danc l'ordre. Quand Alister prit la parole, Lotus
compris que les choses ne s'arrêterait pas l'à... Elle porta son regard sur les gens visés
par cette bouttade et souhaita que tous reprennent leur conversations, mais elle sentait
que c'était peine perdue. Lotus se racrrocha au bras de Paradoxe comme si c'était une
bouée. Elle tourna son regard vers les invités de Québec près d'elle, espérant qu'ils
avaient le goût de poursuivre la conversation sur un aute sujet... Elle souffla quelques
mots à son cavalier.

*S'adressant à Guillaume.*

- Si le fait de complimenter Arianne ici est une faute alors que nous soyons tous bruler immédiatement. Il n'a pas tenter de remplacer l'escorte de Madame Arianne car il était avec nous.

* Paradoxe ce désigna et Lotus*

- Jamais 2 sans 3 chez les Malkavians

-Les compliments ne sont pas la source du problème mon cher. C'est l'affront qui l'est, vous pouvez complimenter notre prince aussi souvent que cela lui plaira.

Josée ne comprenait vraiment rien à cette situation. Elle avait entendu Suzie prendre la parole sur un jeune qui n'avait pas de manière. Ensuite, elle vit madame Von Hörsten prendre la parole avec rage. Le jeune homme qui était le fils de madame Von Hörsten, prit ensuite la parole. Elle croyait que cette situation était excessive pour rien. Elle prit la parole sur un ton exaspéré.

-Monsieur Guillaume et madame Desbiens, je crois que cette situation est exagéré par les émotions de tous. La plupart des gens ne sont pas conserné par la discution, et ceux qui le sont, font du favoritisme pour un membre de la ville de Sherbrooke. Je suis contente de voir que cette ville commence enfin à ce tenir. Pour ce qui de ce petit divertissement qu'on m'a offert, je remercie les gens qui me l'ont donné. Je vois déjà cette soirée d'un autre oeil. Je crois que cette soirée peut se continuer sans que les gens veulent s'arracher l'attention de le futur Prince de Sherbrooke. Alors je remercie encore les trois jeunes qui m'ont donné ce spectacle. Si monsieur Guillaume veut mettre dehors de cet Élysée, les deux autres jeunes qui ne semblent pas venir de Sherbrooke. Je vous conseille de venir m'en parler avant, car je me porte garante de ces deux personnes pour le reste de la soirée. J'espère que personne à quelque chose contre ça, sinon, je risque de le prendre pour un affront personnel envers moi.

Elle fit un pause avant de continuer sur un ton courtois.

-Pour ce qui est du jeune homme de Sherbrooke, je lui souhaite un bonne soirée et je le remercie aussi pour le divertissement. Je crois que cette soirée peut continuer sans menace et avertissement de toute sorte.

Josée sourit à Suzie, ensuite à Annie et pour finir à Guillaume.



Suzie avait écouté les paroles de Josée et avait un sourire sur les lèvres.

-Oui madame Josée, je crois que c'est plus que clair, j'espère que tout le monde va oublier cette incident, et continuer la soirée comme si rien n'était. Merci de vos paroles sage madame Josée.

*Arianne semblait sur le moment se sentir humiliée lorsque Josée prit la parole. L\'expression sur son visage passa très rapidement, revêtant un parfait masque social souriant. Elle se détourna de Suzie pour retourner près de Mathew, tout en conservant une certaine distance. Elle posa sur Arthur un regard froid totalement dépourvu d\'émotion au passage. Arianne fit un subtile signe à Mathew d\'aller un peu plus loin. Elle lui parla tout bas.*

- Je ne suis une des trainées dont tu as l\'habitude. Ne l\'oublie pas, tu es avec un Prince, non avec une fille qui attend le prochain homme infidèle au bout d\'un trottoir. Mais avant tout, je suis mariée, j\'ose espérer que tu ne me feras plus honte. Je ne t\'appartiens pas, je ne suis pas l\'une de tes conquêtes à tes pieds, n\'oublie pas ta place, car moi je n\'oublierai pas la mienne, est-ce clair?

*Arianne soupira et continua aussi bas, mais sur un ton plus doux.*

- Mathew, ne me fait pas ça tu comprends? Pas ce soir. Pourtant, tu me connais bien, non? C\'est ce genre d\'attention que tu attends de moi? Je crois pas. Je sais pas ce qu\'il y a, mais s\'il-te-plait pense un peu à moi.

*Arianne revient vers les membres de Québec sans attendre la réponse de Mathew.*

- Je suis sincèrement désolée pour la perturbation. Veuillez m\'en excuser, cela ne se reproduira plus.

Vitel avait écouté la conversation pendant un certain temps. Quand Josée prit la parole, un sourire se dessina sur ces lèvres. Il prit la parole après Suzie sur un ton courtois.

-Madame Von Hörsten, je crois que ce petit incident est maintenant réglé. Josée a décidé que la situation serait comme suit, pour ce qui est de la manière dont les choses ont été faites, comme Josée l'a dit précédament, tous le monde était empreint à leurs émotions. Il y a des choses qui se sont dites ce soir que certaines personnes vont regretter après. Je vous demande madame Von Hörsten de bien vouloir ne pas laisser vos emotions prendre le dessus sur votre raison. Je vous demande aussi de faire comme si rien n'était arrivé.

Vitel s'approcha d'Evra et lui murmura quelque chose dans l'oreille en regardant Suzie.